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es croix dans une lumière dramatique, le corps du
Christ
déjà presque transfiguré en symbole mystique sur le ciel vert du plus
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ils, dans le vrai sens du mot, les successeurs du
Christ
? Ne sont-ils pas plutôt des fonctionnaires payés par l’État et avide
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né à une doctrine de haine le sort de ceux que le
Christ
aima, parce que leur dénuement était ce qu’il y avait au monde, de pl
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lution, il se sentait graduellement attiré par le
Christ
. Il se disait que ce n’était pas dans la mer qu’il fallait se jeter,
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r, il se décida à faire profession de disciple du
Christ
. Page étrange, en vérité, et dont l’accent presque nietzschéen choqu
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our obtenir la grâce de devenir capable de suivre
Jésus
. Une autre fois, à midi, il monta sur le sommet d’une montagne en fac
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pos délibéré, veut perdre sa vie, et non pas pour
Christ
, mais pour la rendre vraiment vivante, celui-là ne fait qu’usurper la
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la révérence, mais comme on craint le risque, que
Jésus
n’a jamais craint. Et c’est en quoi elle révèle la faiblesse de sa th
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e mes rapports sont meilleurs avec le Seigneur et
Jésus
son fils bien-aimé. C’est vous dire que j’ai acquis plus de raison et
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n, au sens antique du mot, depuis que la venue du
Christ
a modifié la nature même de l’homme et l’ensemble des données religie
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l’homme qui a pu dire qu’il s’inclinait devant le
Christ
comme devant la « révélation divine du plus haut principe de la moral
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r là-dessus. Le monde s’est emparé des paroles du
Christ
et il les a complètement perverties. On nous a présenté cet amour du
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s mots définissent la personne, mais aussi ce que
Jésus-Christ
nous ordonne d’être : le prochain. Lorsque les docteurs de la loi vou
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Lorsque les docteurs de la loi voulurent éprouver
Jésus
, l’un d’entre eux se leva et lui dit : Mais qui est mon prochain ? Ce
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est bien vague, cela me paraît assez sentimental…
Jésus
lui répondit par une parabole, celle du Bon Samaritain. Et le docteur
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’humanité » à l’amour du prochain commandé par le
Christ
: et c’est au nom de cet amour de l’humanité que nous revendiquons le
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nnemis » que la surnaturelle paix annoncée par le
Christ
à ceux qui luttent (dans leurs luttes et au-dessus d’elles) ; un égal
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s consolations pour ceux qui souffrent à cause du
Christ
. Il suppose, sans autre, que le chrétien souffre pour sa doctrine… »
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oule qui n’a pas de mains. » Tout seul en face du
Christ
, un homme oserait-il s’avancer et cracher au visage du Fils de Dieu ?
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ération paradoxale qui nous rend contemporains du
Christ
incarné, et qui nie par là même la valeur de tous les siècles qui nou
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pique d’un homme qui n’a jamais rencontré Dieu en
Christ
; pas plus qu’on ne saurait rencontrer la justice ; pas plus que la j
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par nos mots. Ils renvoient tous à la question du
Christ
: « … Et toi, maintenant, crois-tu cela ? » — Si tu le crois, si tu a
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donc, « tout est accompli », — depuis la mort du
Christ
sur la croix. Non seulement prévu, mais accompli ! C. M. — Si c’étai
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t attestée par l’Écriture, — or, cette Parole est
Christ
lui-même, — il me paraît que l’opinion de Luther n’est pas sujette à
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rbitre »71, dans les choses du salut. Mais que le
Christ
ait dû mourir — cet acte extrême — pour nous sauver, fait voir que no
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t tombe avec la foi dans l’union des chrétiens en
Christ
, cette foi pouvant être connotée par le rejet de l’hérésie unitaire.
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tentations que le diable dresse au désert devant
Jésus
. Toute la Bible exalte en revanche « la liberté des enfants de Dieu »