1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
1 es croix dans une lumière dramatique, le corps du Christ déjà presque transfiguré en symbole mystique sur le ciel vert du plus
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
2 ils, dans le vrai sens du mot, les successeurs du Christ  ? Ne sont-ils pas plutôt des fonctionnaires payés par l’État et avide
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
3 né à une doctrine de haine le sort de ceux que le Christ aima, parce que leur dénuement était ce qu’il y avait au monde, de pl
4 lution, il se sentait graduellement attiré par le Christ . Il se disait que ce n’était pas dans la mer qu’il fallait se jeter,
5 r, il se décida à faire profession de disciple du Christ . Page étrange, en vérité, et dont l’accent presque nietzschéen choqu
6 our obtenir la grâce de devenir capable de suivre Jésus . Une autre fois, à midi, il monta sur le sommet d’une montagne en fac
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
7 pos délibéré, veut perdre sa vie, et non pas pour Christ , mais pour la rendre vraiment vivante, celui-là ne fait qu’usurper la
5 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
8 la révérence, mais comme on craint le risque, que Jésus n’a jamais craint. Et c’est en quoi elle révèle la faiblesse de sa th
6 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
9 e mes rapports sont meilleurs avec le Seigneur et Jésus son fils bien-aimé. C’est vous dire que j’ai acquis plus de raison et
10 n, au sens antique du mot, depuis que la venue du Christ a modifié la nature même de l’homme et l’ensemble des données religie
11 l’homme qui a pu dire qu’il s’inclinait devant le Christ comme devant la « révélation divine du plus haut principe de la moral
7 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
12 r là-dessus. Le monde s’est emparé des paroles du Christ et il les a complètement perverties. On nous a présenté cet amour du
13 s mots définissent la personne, mais aussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le prochain. Lorsque les docteurs de la loi vou
14 Lorsque les docteurs de la loi voulurent éprouver Jésus , l’un d’entre eux se leva et lui dit : Mais qui est mon prochain ? Ce
15 est bien vague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui répondit par une parabole, celle du Bon Samaritain. Et le docteur
8 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
16 ’humanité » à l’amour du prochain commandé par le Christ  : et c’est au nom de cet amour de l’humanité que nous revendiquons le
17 nnemis » que la surnaturelle paix annoncée par le Christ à ceux qui luttent (dans leurs luttes et au-dessus d’elles) ; un égal
9 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
18 s consolations pour ceux qui souffrent à cause du Christ . Il suppose, sans autre, que le chrétien souffre pour sa doctrine… »
19 oule qui n’a pas de mains. » Tout seul en face du Christ , un homme oserait-il s’avancer et cracher au visage du Fils de Dieu ?
10 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
20 ération paradoxale qui nous rend contemporains du Christ incarné, et qui nie par là même la valeur de tous les siècles qui nou
21 pique d’un homme qui n’a jamais rencontré Dieu en Christ  ; pas plus qu’on ne saurait rencontrer la justice ; pas plus que la j
11 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
22 par nos mots. Ils renvoient tous à la question du Christ  : « … Et toi, maintenant, crois-tu cela ? » — Si tu le crois, si tu a
23 donc, « tout est accompli », — depuis la mort du Christ sur la croix. Non seulement prévu, mais accompli ! C. M. — Si c’étai
24 t attestée par l’Écriture, — or, cette Parole est Christ lui-même, — il me paraît que l’opinion de Luther n’est pas sujette à
25 rbitre »71, dans les choses du salut. Mais que le Christ ait dû mourir — cet acte extrême — pour nous sauver, fait voir que no
12 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
26 t tombe avec la foi dans l’union des chrétiens en Christ , cette foi pouvant être connotée par le rejet de l’hérésie unitaire.
13 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
27 tentations que le diable dresse au désert devant Jésus . Toute la Bible exalte en revanche « la liberté des enfants de Dieu »