1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
1 es jeunes publie dans son numéro du 15 février15. M. Marcel analyse trois attitudes typiquement sécularistes : la philosophie des
2 communiste, est encore plus dur que l’article de M. Marcel , catholique, à l’endroit d’un philosophe caractérisé, nous dit-on, pa
3 partout ailleurs, qu’en cette commune antipathie, M. Marcel et M. Nizan s’opposent avec une netteté d’autant plus significative q
2 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
4 moins où il écrivait L’Homme du ressentiment 47, M. Marcel est catholique. Sa méditation sur le Mystère ontologique est la premi
5 e sa pensée, par rapport au Journal métaphysique. M. Marcel est un de ceux dont nous devons attendre qu’il fasse passer de l’air
6 t le triste Cicéron, et Montaigne l’en loue. Pour M. Marcel , on lui ferait plus volontiers dire que philosopher, c’est apprendre
7 éfinissable de l’être. « Il faut qu’il y ait, dit M. Marcel , ou il faudrait qu’il y eût de l’être, que tout ne se réduisît pas à
8 ce, — elles sont inséparables jusqu’au bout, note M. Marcel , qui m’apparaît ici très « dialectique » — démarche de la création qu
9 nt avec Kierkegaard me paraît s’imposer ici. 49. M. Marcel introduit ici le motif du recueillement, qui lui paraît essentiel à t
10  ». Je ne vois pas où le recueillement décrit par M. Marcel trouverait sa place, entre la prière et l’acte, seuls moments d’unité