1 toire qu’on ait jamais écrit contre elles ». Pour Rousseau , la montagne, c’est surtout le fond des vallées, — si l’on ose dire,

2 pire l’escarpement, nous changent des rêveries de Rousseau . Celui-ci se promène, l’autre escalade. Et comme elles s’opposent à l

3 ccessivement à des interprétations sociologiques ( Rousseau ), scientifiques (Saussure), romanesques (Sterne, Toepffer), lyriques

4 meilleure, si on la « préservait » du mal. Ainsi Rousseau le libertaire doit et peut être moraliste, tandis que Calvin l’orthod

5 nfiante dans la grâce, cède le champ aux idées de Rousseau , optimistes quant à l’homme et pratiquement athées. Voici donc l’homm