1 reçu dans le sein de l’Église catholique… le seul acte de ma vie que je suis parfaitement certain de n’avoir jamais regretté

2 ifier son amour. Mais elle ne peut survivre à cet acte suprême, à cette grâce. Aussi notre bonheur humain n’est-il en aucune

3 ur avec notre bien, et à taxer d’immoralisme tout acte qui entraîne des ruines humaines. Mais la vérité, elle, est indiffére

4 ttaques contre le christianisme officiel furent l’ acte de Kierkegaard. Après cet acte, il mourut. Comme Hamlet. » Et voici

5 officiel furent l’acte de Kierkegaard. Après cet acte , il mourut. Comme Hamlet. » Et voici comment il faut situer Kierkega

6 e voir le reste du chapitre consacré au récit des actes qu’immédiatement Eiichi produit en témoignage de sa conversion. En my

7 de la résoudre d’abord pour son compte et par un acte intérieur contraignant, un acte d’incarnation. Il y a là une exigence

8 compte et par un acte intérieur contraignant, un acte d’incarnation. Il y a là une exigence immédiate et par conséquent plu

9 , vers l’unification de ses aspirations et de ses actes  ; dans une âme responsable de ses contradictions. Sans doute, la psyc

10 ion urgente à se risquer en faveur des hommes, un acte , un combat. Fin de l’esprit désintéressé, cela signifierait pour les

11 e, ce n’est pas de voir le vrai, c’est d’oser les actes qu’il faut, et que nous connaissons très bien. Trop souvent, nos maît

12 u siècle ou destin de l’homme ? Loi historique ou acte personnel ? Irresponsable ou responsable ? Telle est, je crois, en dé

13 alculé, sauf ce qui est en effet incalculable : l’ acte de l’homme. Mais le temps vient où les hommes se lassent de théories

14 instant en instant, d’une tâche à une autre, d’un acte à un autre acte, toujours imprévisible, toujours aventureuse. Elle vi

15 nt, d’une tâche à une autre, d’un acte à un autre acte , toujours imprévisible, toujours aventureuse. Elle vit dans le risque

16 es. Et toutes deux ne sont possibles que dans cet acte unique d’obéissance à l’ordre de Dieu, qui s’appelle l’amour du proch

17 qui s’appelle l’amour du prochain. Je dis bien : acte , et il faut insister là-dessus. Le monde s’est emparé des paroles du

18 sporté dans l’histoire cet amour qui doit être un acte , une présence et un engagement immédiat. Acte, présence et engagement

19 un acte, une présence et un engagement immédiat. Acte , présence et engagement, ces trois mots définissent la personne, mais

20 prendre : le prochain, c’est celui qui exerce, en actes , la miséricorde. Cet acte, en chacun de nous, peut être vainqueur de

21 t celui qui exerce, en actes, la miséricorde. Cet acte , en chacun de nous, peut être vainqueur de l’Histoire. Cet acte, à ch

22 n de nous, peut être vainqueur de l’Histoire. Cet acte , à chaque fois qu’il nous est donné de le faire, rétablit le rapport

23 eule société possible. Ne nous y trompons pas : l’ acte de la miséricorde, c’est l’acte le plus révolutionnaire qui ait jamai

24 trompons pas : l’acte de la miséricorde, c’est l’ acte le plus révolutionnaire qui ait jamais paru dans notre monde. Lui seu

25 ère ; il lui faut une rencontre, un événement, un acte . Et voilà le mystère devant lequel je vous laisse maintenant. Nous ne

26 t-on l’ajouter après coup ? On ne complète pas un acte avec des considérations sur cet acte ; ou c’est que la philosophie n’

27 plète pas un acte avec des considérations sur cet acte  ; ou c’est que la philosophie n’est qu’illusion et mystification. Une

28 e pensée qui aide à vivre, trouve son lieu dans l’ acte et nulle part ailleurs. Mais il faudrait d’abord qu’elle soit elle-mê

29 rs décrites par Nietzsche. Nous ne voulons plus l’ acte d’amour personnel — qui est une valeur héroïque —, mais nous prônons

30 ertain altruisme d’abord, qui prend la place de l’ acte de miséricorde ; une pitié veule et platonique qui est le contraire d

31 cassé. La première partie est un drame en quatre actes qui n’est pas à proprement parler une illustration de l’essai, mais q

32 Marcel trouverait sa place, entre la prière et l’ acte , seuls moments d’unité dans la vie du chrétien. v. Rougemont Denis

33 re de ses fiançailles avec Régine Olsen. Mais son acte , après lequel il put mourir, certain d’avoir accompli sa mission, ce

34 ie ; que les lois de l’histoire ne sont rien si l’ acte de l’homme les dément ; que la foi d’un seul est plus forte, dans son

35 rieuse de l’ironie ; contre l’histoire, il pose l’ acte de l’homme responsable de son destin. Mais tout cela va au martyre, d

36 rifice y tient lieu de mesure, parce qu’il est un acte , incontestable. Telle est la nouvelle grandeur, la nouvelle mesure de

37 rnité, attesta dans sa plénitude la primauté de l’ acte spirituel : Kierkegaard. Le grand mal de l’époque, et la terreur que

38 e de chaque homme devant la responsabilité de son acte . « Car une foule est une abstraction, qui n’a pas de mains, mais chaq

39 ’il a voulu bannir la possibilité scandaleuse des actes libres de la Providence. Entreprise effroyable et vaine, qui serait d

40 , de l’isolement devant Dieu. Et, d’autre part, l’ acte du « solitaire » n’est pas de ceux dont nous ayons à développer les c

41 pper les conséquences. Ou bien il est, et c’est l’ acte de Dieu, ou bien je l’imagine, et mon discours est vain. À qui presse

42 lectique historique de Karl Marx. En vertu de cet acte de foi, fait en révolte contre la vraie foi, ils se persuadent que l’

43 econnues ; à m’affirmer dans mon autonomie par un acte qui crée ma liberté, par un acte de révolte, s’il le faut ! L. — Tu

44 autonomie par un acte qui crée ma liberté, par un acte de révolte, s’il le faut ! L. — Tu crois donc détenir un tel pouvoir

45 nc Dieu n’est pas !70 », qui t’assurerait que cet acte de révolte échappe à l’éternelle Prévision ? Qui t’assurerait qu’en p

46 u’elle n’est pas, au contraire, la source de tout acte et de toute création, une invention totale et perpétuelle, une actual

47 du salut. Mais que le Christ ait dû mourir — cet acte extrême — pour nous sauver, fait voir que nous n’avons aucune liberté

48 son destin. (Pour le chrétien, c’est accepter, en acte , l’éternelle prévision du Dieu qui sauve.) La similitude étonnante du