1
n qu’une passion contenue peut donner à l’homme d’
action
. Enfin, le voici en mesure de produire des quantités énormes d’autos.
2
faible pour nous conduire ? Ou bien est-ce notre
action
qui est devenue trop effrénée, trop folle, pour être justiciable enco
3
ncé définitivement le divorce de l’esprit et de l’
action
. III. Le fordisme contre l’Esprit La formidable erreur de la bo
4
stilité à l’égard des valeurs établies…, goût des
actions
des hommes lié à la conscience de leur vanité…, refus surtout. » Refu
5
ettement à quels mobiles extérieurs obéissait son
action
. C’est peut-être qu’il n’y en a pas. Perken, comme Garine, est de ces
6
ces êtres qui agissent par désespoir, parce que l’
action
, à tout prendre, est une défense contre la mort — la mort partout pré
7
aventureux et atteints jusque dans leur goût de l’
action
par un intellectualisme anarchique. Je tiens au contraire le cas Malr
8
ant du maître ? Ainsi apparaissent au travers des
actions
et des discours d’un Garine, d’un Perken, les traits d’une individual
9
a puissance de l’homme, celui de la valeur de son
action
, celui, en somme, de l’imperfection du monde. Je pense que tout chrét
10
retenue mondaine ce que perd le pittoresque de l’
action
, encore que l’évocation de cette haute société anglaise ne soit pas d
11
ge le pouvoir de séparer le bien du mal parmi les
actions
d’autrui qu’il estime connaître. Simplement, il enregistre les effets
12
ts d’une justice immanente. En même temps que les
actions
de ses héros, il note les jugements contradictoires qu’elles provoque
13
ici entièrement suffisants et rendent superflue l’
action
de la grâce). Mais quoi ? Nous laisserons-nous vraiment « tenter » pa
14
ale et virulente. Qu’une telle œuvre commence son
action
en France au moment où l’intérêt passionné de beaucoup se porte à la
15
, de plus proche de sa grandeur. L’existence et l’
action
de Kagawa, telles qu’il les raconte dans ces deux volumes, témoignent
16
on autorité sur lui. L’état d’esprit de l’homme d’
action
s’accommode rarement d’une réflexion impartiale et d’une description,
17
C’est même un des malheurs de notre temps, que l’
action
devenue trop rapide suppose une cécité partielle chez ceux qui s’y li
18
ège admirable de Kagawa, c’est qu’il poursuit son
action
en pleine connaissance de cause et de buts, en plein accord avec son
19
Il peut livrer sans crainte le secret d’une telle
action
; sans crainte et sans vanité non plus, car son œuvre écrite n’est en
20
sions qu’impose cette œuvre avec l’autorité d’une
action
, arrêtons-nous quelques instants devant la beauté singulière de l’âme
21
et extrême. Tous les excès lui sont possibles, en
action
, surtout dans le bien, dans la sainteté, mais toujours ils s’accompag
22
eau, ou au contraire en s’excitant sur ses belles
actions
. Il les note, simplement, sans oublier d’indiquer ses hésitations, le
23
particulièrement dans l’analyse des motifs de ses
actions
journalières. Par là, il fait souvent penser aux grands Russes, à Tol
24
ntales ou rassurantes qui pourraient dépasser une
action
immédiate ou voiler sa difficulté. Les rares allusions qu’il fait à s
25
r quoi mesurer la valeur chrétienne d’une âme ? L’
action
même est souvent trompeuse. Mais la qualité du regard qu’un être pose
26
de toute exigence unifiante entre la pensée et l’
action
. Certes, nos prédicateurs affirmaient le salut gratuit par la foi ; m
27
désolidariser de certaines formes de pensée ou d’
action
dans lesquelles nos pères crurent trouver des appuis, mais dont nous
28
s à l’utile. Bornons-nous à « réaliser » dans nos
actions
ce que Dieu jugea bon de nous révéler dans l’Évangile. Et en présence
29
i de certains biographes ? Mais comment juger les
actions
d’un être que nous n’avons pas connu, alors que nous-même… Alors que
30
oucieuse avant tout de réalisation personnelle, d’
action
éthique. Il n’a pas échappé à M. Benda que « le clerc moderne » (en t
31
st protestant ». Mais, d’autre part, cette soif d’
action
directe et de service peut porter aussi bien, par exemple, à militer
32
chrétienne dans son essence, et par suite, dans l’
action
qu’elle commande à des millions de nos contemporains. Il y a aussi ce
33
réelles et valables de récuser une pensée et une
action
tout entières dirigées vers l’organisation et l’utilisation des biens
34
Il discute M. Malraux et son goût désespéré de l’
action
pour elle-même. Il condamne le populisme de M. Thérive, il condamne l
35
soit-elle, où la philosophie actuelle exerce une
action
, ne fût-ce que sur les étudiants forcés de s’y intéresser au lieu de
36
proche. Ils nous répondent, avec raison, que leur
action
n’a pas les apparences d’une évasion, d’une démission ; qu’ils n’ont
37
inhumaine, en même temps que l’incohérence d’une
action
trop longtemps dépourvue de tout contrôle spirituel. N’est-ce point l
38
ienne existe, c’est à ce seul niveau où pensée et
action
se confondent. Si elle veut être digne de son nom, c’est à elle seule
39
on de l’ensemble. La « totalité d’expérience et d’
actions
vécues » que Scheler étudie dans ce petit livre, c’est le phénomène q
40
centre même de sa pensée, ou si l’on veut, de son
action
. Et ce centre, c’est « la catégorie du solitaire ». Bien des malenten
41
ude de l’homme qui ne veut plus être sujet de son
action
, qui l’abandonne aux lois mythiques de l’histoire. Kierkegaard au con
42
yant seul agit, et seul il peut être sujet de son
action
, mais c’est qu’il est, dans l’autre sens du terme, « assujetti » à la
43
s recueillies par des biographes amateurs, et à l’
action
de la polémique catholique (Denifle, Maritain, Grisar), mettent le pu
44
Esprit et la Bible, et constituant la véritable «
action
» de l’homme entre les mains de Dieu. Tels sont les thèmes qu’illustr
45
onnaît la fin, la somme, la valeur absolue de nos
actions
passées, présentes, futures, car elles sont dans le temps, Dieu dans
46
eu qui prétend voir plus loin que le terme de mes
actions
, — ce qui, avouons-le, les ridiculise complètement et les rend vaines
47
soit encore très loin d’une vision dynamique de l’
action
immédiate, c’est ce que prouvent ces mêmes déclarations. Elles souffr
48
ctement connues ou supposées de leur époque. Leur
action
fut puissante dans la mesure exacte où elle fut l’expression directe
49
l reconnaisse d’abord cette loi fondamentale de l’
action
. En d’autres termes, il faut que son action politique parte de lui-mê
50
de l’action. En d’autres termes, il faut que son
action
politique parte de lui-même, de ce qu’il a, de ce qu’il est, et de sa
51
ques qui s’y manifesteront tôt ou tard ; 2° que l’
action
, que le mouvement œcuménique peut et doit exercer sur ces processus r
52
rocessus religieux, préparera le terrain pour une
action
politique réaliste, c’est-à-dire tenant compte des données empiriques
53
tieux. Il veut l’être, parce qu’il doit l’être. L’
action
du chrétien n’est jamais partie de la prudente considération des forc
54
ce que je me tenais immobile, dans ma prudence. L’
action
risquée m’apporte les forces dont je manquais. De toutes parts, un ap
55
és morales et politiques (personnalisme). Point d’
action
constructive sans idéologie. Mais point d’idéologie valable sans théo
56
as dans des congrès, mais se manifestera dans une
action
risquée. De même que nous avons vu les Églises nées des missions en t
57
uit ? » Il y a quelques années, ayant écrit que l’
action
politique par excellence allait consister désormais à prendre des mes