1 s de sa production, d’année en année. On pourrait ajouter à ces chiffres celui des milliards qu’il possède, ou plutôt qu’il gèr

2 ion de netteté, de solidité, de propreté. Si l’on ajoute à cela le plaisir qu’on éprouve toujours au récit de succès mirobolan

3 s très graves ne sont peut-être que transitoires, ajoute Keyserling. Nous traversons une crise d’adaptation, et il s’agit de l

4 . Là où Keyserling dit seulement adaptation, nous ajoutons régénération ; et lorsqu’il dit spiritualité, nous pensons connaissan

5 lieu social bien défini. À ces deux éléments s’en ajoute un troisième qui est moins visible, mais dont la présence constante d

6 ation et de nature toute française. M. Thibaudet ajoute à ce propos : On m’a fait observer très justement, à l’époque, que j

7 e de l’importance du phénomène Goethe. Maintenant ajoutons que l’homme fut supérieur à la somme de toutes ces activités et domin

8 trois ou quatre fois de suite la même chose, sans ajouter aucune clarté au dessein général. Mais celui-ci, par bonheur, est trè

9 ait ; il lui manque quelque chose : pourra-t-on l’ ajouter après coup ? On ne complète pas un acte avec des considérations sur c

10 re, une vingtaine de volumes, à quoi nous pouvons ajouter dix-huit volumes de papiers posthumes, fut composée en l’espace de do

11 . « Là encore, le clerc moderne est protestant », ajoute M. Benda, qui, en fait de protestants, ne connaît guère que Renouvier

12 Edschmid est d’une classe nettement supérieure. J’ ajouterai même que c’est un bel éloge du talent de M. Malraux que de constater

13 permanence de l’Église universelle, certaines ont ajouté , et peu à peu substitué en fait, un principe d’unité immanent, c’est-

14 n de mesures propres à faire le bien. Saint-Just ajoutait  : Ce qui produit le bien général est toujours terrible, ou paraît bi

15 que l’homme dure à cause de l’espérance. À quoi s’ ajoute un raisonnable espoir. La fin de l’homme, tout à l’heure, serait au m