1
ique d’une condamnation, mais celui, combien plus
amer
et noble, du consentement aux lois de la vie. Seule épreuve qui perme
2
nes de formuler son opinion, et qui sont pleins d’
amères
protestations contre le règne de la masse et les outrages divers enco
3
s ? De ton péché ou de celui des autres ? Comique
amer
et infini de ce « croyant » qui tremble pour le sort de l’esprit dans
4
emand, un timbre de voix métallique, une sobriété
amère
et courageuse, un souffle, une grandeur enfin qui nous ramènent puiss
5
ifier » — c’est ainsi qu’il nommait les remarques
amères
qu’il ne pouvait s’empêcher de former au spectacle de la chrétienté e