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914. Ainsi met-il en jeu les deux éléments dont l’
antagonisme
fait le fond de presque toutes les grandes œuvres romanesques : une i
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ge tout entier. Qu’il n’est que spectateur de ses
antagonismes
. Dès lors, la morale qui, pourtant, seule l’intéresse, n’est plus qu’
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lle génération. Quels que soient par ailleurs les
antagonismes
qui la divisent — bien plus extrêmes que ceux qui divisèrent les préc