1 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
1 , éternel et urgent. Je demande à M. Nizan si son appel à une philosophie vraiment humaine, dont les pensées concernent chaqu
2 chaque situation de sa vie de chaque jour, si cet appel n’a pas trouvé la seule réponse possible et réelle dans le message év
2 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
3 devant Dieu, c’est celui qui répond à la foi, cet appel . Quand on parle de romantisme, d’anarchie, d’individualisme, on ne pa
4 e du chrétien est position, obéissance. Si donc l’ appel de Dieu isole du monde un homme, c’est que le monde, dans sa forme dé
5  », pas d’autre révolution créatrice. Et tous nos appels à l’esprit, s’ils ne sont pas ce retour au Réel, ne sont que poursuit
6 nt n’ose vivre. Et comment vivrait-il sinon par l’ appel de la Providence ? Et comment se rendre à l’appel, si l’on pose ses c
7 appel de la Providence ? Et comment se rendre à l’ appel , si l’on pose ses conditions : « l’intelligible providence surnaturel
3 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
8 première Épître aux Corinthiens : c’est dans ses appels à l’union, précisément, que Paul établit avec le plus de force la lég
9 ion d’esprit en profondeur. En d’autres termes, l’ appel à l’union ne s’adresse pas aux dissidents virtuels de chaque Église,
10 iquement absolutisé, il n’y a pas de recours ou d’ appel possibles de la part du fidèle. Il doit se soumettre ou sortir. S’il
11 l. C’est une sorte d’angoisse diffuse d’où naît l’ appel à une communauté nouvelle et plus solide, où l’individu isolé retrouv
12 oppose au plein : plus le vide est absolu, plus l’ appel est puissant. À bien des égards même, l’étatisme ne fait qu’achever l
13 iser en même temps ce qu’il y a de valable dans l’ appel communautaire que le totalitarisme a diaboliquement utilisé et dévié.
14 ale des chefs, des doctrines et des partis est un appel à une autorité nouvelle. Si les Églises n’y répondent pas, personne d
15 les forces dont je manquais. De toutes parts, un appel est ressenti : je le nommerai la nostalgie fédéraliste. Des auteurs i