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, éternel et urgent. Je demande à M. Nizan si son
appel
à une philosophie vraiment humaine, dont les pensées concernent chaqu
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chaque situation de sa vie de chaque jour, si cet
appel
n’a pas trouvé la seule réponse possible et réelle dans le message év
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devant Dieu, c’est celui qui répond à la foi, cet
appel
. Quand on parle de romantisme, d’anarchie, d’individualisme, on ne pa
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e du chrétien est position, obéissance. Si donc l’
appel
de Dieu isole du monde un homme, c’est que le monde, dans sa forme dé
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», pas d’autre révolution créatrice. Et tous nos
appels
à l’esprit, s’ils ne sont pas ce retour au Réel, ne sont que poursuit
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nt n’ose vivre. Et comment vivrait-il sinon par l’
appel
de la Providence ? Et comment se rendre à l’appel, si l’on pose ses c
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appel de la Providence ? Et comment se rendre à l’
appel
, si l’on pose ses conditions : « l’intelligible providence surnaturel
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première Épître aux Corinthiens : c’est dans ses
appels
à l’union, précisément, que Paul établit avec le plus de force la lég
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ion d’esprit en profondeur. En d’autres termes, l’
appel
à l’union ne s’adresse pas aux dissidents virtuels de chaque Église,
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iquement absolutisé, il n’y a pas de recours ou d’
appel
possibles de la part du fidèle. Il doit se soumettre ou sortir. S’il
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l. C’est une sorte d’angoisse diffuse d’où naît l’
appel
à une communauté nouvelle et plus solide, où l’individu isolé retrouv
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oppose au plein : plus le vide est absolu, plus l’
appel
est puissant. À bien des égards même, l’étatisme ne fait qu’achever l
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iser en même temps ce qu’il y a de valable dans l’
appel
communautaire que le totalitarisme a diaboliquement utilisé et dévié.
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ale des chefs, des doctrines et des partis est un
appel
à une autorité nouvelle. Si les Églises n’y répondent pas, personne d
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les forces dont je manquais. De toutes parts, un
appel
est ressenti : je le nommerai la nostalgie fédéraliste. Des auteurs i