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al à égal avec beaucoup d’États ; le plus parfait
aussi
. Son succès sans précédent le met à l’abri de toutes les attaques, du
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donc à ne l’apercevoir que dans ses servitudes5.
Aussi
la critique du matérialisme entreprise par certains philosophes des s
3
sée le plus souvent les a laissés — sont au moins
aussi
« objectifs » que les faits physiques élaborés par la science. Mais,
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l existé un modèle gréco-latin, un canon de l’âme
aussi
bien que du corps. Il est possible que ce mythe ait animé l’humanisme
5
uteur. C’est un roman plus dépouillé, plus inégal
aussi
à certains égards et qui cette fois ne montre pas l’homme aux prises
6
t d’où les facilités de certaine foi apparaissent
aussi
« fausses » que l’effort désespéré de ces conquérants de désert. 9.
7
’y pourra rien, si radical soit-il. Un pessimisme
aussi
féroce que celui de MM. Malraux, Nizan, etc., ne laisse plus subsiste
8
vastes locaux, pourra donner accès à un ensemble
aussi
complet que possible d’artistes nés dans le protestantisme. Et l’on p
9
ans l’édition française — d’un rythme plus inégal
aussi
, il ne lui est pas inférieur par l’intérêt humain, et sa qualité d’ém
10
idérations matérielles fastidieuses ; cela permet
aussi
de résoudre certains conflits apparemment sans issues : les acteurs d
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moine, et qui marche pieds nus, à l’étranger lui
aussi
; puis il y a eu votre pauvre tante Cornélia… Ce fut un terrible coup
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peut survivre à cet acte suprême, à cette grâce.
Aussi
notre bonheur humain n’est-il en aucune mesure le signe de la vérité.
13
us très éloigné peut-être de cette joie qui, elle
aussi
, est « par-delà », — cette joie « qui surpasse toute connaissance ».
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is qu’un écrasant symbole de l’éternité ? — C’est
aussi
quelque chose qui devrait être surmonté, nous souffle une voix émouva
15
le ton de celui qui les a conquises, physiquement
aussi
. Toute l’œuvre de Nietzsche est pleine de repères alpestres. « Comme
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urope dont il rejette la religion24. Nous savions
aussi
que ce leader social, cet économiste et cet évangéliste se doublaient
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pauvreté de sentiments des chrétiens ; il pensait
aussi
que lui-même, à la fin du mois, devrait gagner sa pension et son écol
18
oute la sympathie d’Eiichi… Si c’est à des tâches
aussi
inutiles que les procureurs passent leur vie, pensait Eiichi, il est
19
ce que cela veut dire ? Pourquoi me regardez-vous
aussi
insolemment ? Le Procureur continuait à enrager ; sa figure se contra
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l accepterait tout de l’existence. Il accepterait
aussi
la religion avec le courage du suicide. Dans sa résolution, il se sen
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et net, parfaitement exprimé et mûri. Mais comme
aussi
tout cela manque d’enthousiasme, d’« endieusement », selon l’étymolog
22
ou Contrepoint d’Aldous Huxley. Combien actuelles
aussi
ces remarques sur le déclin de la personnalité, la profondeur des sen
23
t utile et nécessaire, aujourd’hui, de confesser.
Aussi
bien, la force qui nous est promise doit-elle nous rendre ce courage
24
ntes d’où naquirent les Tragiques d’un d’Aubigné.
Aussi
bien avons-nous d’autres raisons d’espérer. Car si la forme artistiqu
25
z un membre de l’Académie des sciences qui serait
aussi
directeur de la Comédie française et ministre de l’Intérieur, et qui,
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l’Aufklärung et le rationalisme. C’était le temps
aussi
du « Sturm und Drang » auquel Goethe devait donner l’expression litté
27
i par les cheveux. Il est sûrement à vos trousses
aussi
, j’espère voir le jour où il vous rattrapera ; mais je ne puis répond
28
e soif d’action directe et de service peut porter
aussi
bien, par exemple, à militer en faveur du marxisme, philosophie antic
29
mande à des millions de nos contemporains. Il y a
aussi
ceux qui se bornent à affirmer la nécessité d’une pensée active, mais
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nier révèle ses origines politiques, et peut-être
aussi
sa jeunesse. Il critique des erreurs au nom d’une vérité toute statiq
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rteau ». Ce peut être le marteau du constructeur,
aussi
bien que celui du démolisseur. ⁂ M. Paul Nizan, lui, critique moins à
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ire pour les hommes. Très bien. Nous le demandons
aussi
. (Nous avons même un scepticisme plus profond que le sien à l’endroit
33
rolétaire marxiste, fondée sur des considérations
aussi
abstraites et discutables que la plus-value, recouvre la réalité de t
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écis et « sérieux » qu’on exhibera dans un cercle
aussi
excité qu’incompétent. De là cette multitude d’écrits, dont le propos
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dénoncée et battue en brèche. Notre époque, elle
aussi
, possède sa chance de grandeur. Je dirai même qu’elle a plus de chanc
36
s connaissons trop bien, et dont nous connaissons
aussi
la signification réelle. C’est l’argument des gens en place qui, chaq
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mmes. Napoléon, César, Lénine ont un destin. Mais
aussi
chacun de nous a un destin ; dans la mesure où chacun de nous possède
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ois railleurs devraient leur envier. C’est juste.
Aussi
bien la question revient-elle en définitive à savoir si la foi des ma
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seulement aux partisans attardés de Darwin, mais
aussi
bien aux partisans de Marx et de Gobineau. Il est tout à fait vrai qu
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aux libéraux et aux dilettantes qui tombent, eux
aussi
, mais continuent d’évoquer la liberté et les idéaux supérieurs dont i
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de partis et d’associations qu’aujourd’hui, mais
aussi
jamais moins d’accord réel, jamais plus de haine déclarée. L’amour de
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aissant leur condition concrète, mais connaissant
aussi
leur dignité, leur raison d’être personnelle ? Voulons-nous être des
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ent, ces trois mots définissent la personne, mais
aussi
ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le prochain. Lorsque les do
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rt humain, fonde notre destin personnel, et fonde
aussi
la seule société possible. Ne nous y trompons pas : l’acte de la misé
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ela que nous voyons depuis la guerre. On pourrait
aussi
supposer que la leçon des catastrophes dictatoriales va réveiller que
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t — nous seuls savons ce qu’ils font »). On parle
aussi
de l’« amour de ses ennemis » et l’on « sue à grosses gouttes ». Il
47
es, il avait sa légende d’« original ». On savait
aussi
qu’il était le meilleur écrivain de son pays. Sa première œuvre eut u
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es interprétations les plus diverses. Elle assure
aussi
à sa pensée une influence multiforme, et qui va croissant avec le tem
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moins déprimée d’un autre siècle avait tué. C’est
aussi
qu’il est devenu possible de saisir, dans le déploiement des faits, e
50
re temps ! Dans un monde où règne la masse, règne
aussi
le sérieux le plus pesant. On ne rit pas devant le dictateur, ni dans
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ns l’abîme infini où tu te vois, ou bien tu crois
aussi
à ce sérieux de l’existence symbolisé par la caisse d’épargne. Ou bie
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toute ta vie sur le pardon, ou bien tu te reposes
aussi
sur ta vertu. Ou bien tu vois que la question brûlante, c’est de savo
53
Mais qui ne voit que cette Âme du Monde le tient
aussi
, et jusque dans son scepticisme, lorsque Maurras proclame après Augus
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ie. La sujétion totale est seule active. Elle est
aussi
présence au monde. Dans ce temps de la masse, où nous vivons, le « so
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où nous vivons, le « solitaire devant Dieu » est
aussi
l’homme le plus réel, le plus présent. Parce qu’il sait qu’il existe
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nne, par l’artifice indispensable, mais peut-être
aussi
tout formel, de l’isolement devant Dieu. Et, d’autre part, l’acte du
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62. Pourquoi poser la question à propos d’un cas
aussi
exceptionnel que le martyre ? « Nous ne pouvons pas tous devenir mart
58
était parti pour le Venezuela, et qui a subi, lui
aussi
, des emprisonnements, le bagne, et des tortures physiques inouïes. Ma
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incomparable. Car, voyez-vous, Bell… rien ne rend
aussi
dur et aussi ardent que le malheur. Rien ne rend aussi brave et aussi
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Car, voyez-vous, Bell… rien ne rend aussi dur et
aussi
ardent que le malheur. Rien ne rend aussi brave et aussi passionné, a
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dur et aussi ardent que le malheur. Rien ne rend
aussi
brave et aussi passionné, aussi modeste, aussi patient et aussi endur
62
rdent que le malheur. Rien ne rend aussi brave et
aussi
passionné, aussi modeste, aussi patient et aussi endurant que le malh
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eur. Rien ne rend aussi brave et aussi passionné,
aussi
modeste, aussi patient et aussi endurant que le malheur. Et rien ne f
64
nd aussi brave et aussi passionné, aussi modeste,
aussi
patient et aussi endurant que le malheur. Et rien ne fonde une commun
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aussi passionné, aussi modeste, aussi patient et
aussi
endurant que le malheur. Et rien ne fonde une communauté comme le mal
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lus généralement humain. Destin allemand pourrait
aussi
s’appeler « La condition humaine ». Et plusieurs des paroles de Pilla
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’ai dit que cette œuvre pourrait s’intituler tout
aussi
bien « La condition humaine ». C’est qu’elle éveille, en dépit de ses
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penser d’une allégation qui paraît à première vue
aussi
exorbitante : je n’ai lu que de courts fragments des posthuma nietzsc
69
vie chrétienne est pleine de contradictions, elle
aussi
, mais Paul les a toutes rassemblées dans une formule unique qui renvo
70
de la trempe de celui de Nietzsche se livrer à d’
aussi
grossières confusions (pauvreté en esprit, ou esprit de pauvreté, con
71
tique : « Des hommes de commandement commanderont
aussi
à leur Dieu, tout en croyant le servir. » Formule qui n’est pas valab
72
mouvements fascistes ne se réclament-ils pas, eux
aussi
, d’un « spirituel » préalablement « mis au pas » ? Et ne retrouvons-n
73
i au nom de la Science, qui est son Dieu. On sait
aussi
qu’il n’a pas hésité à condamner la théorie d’Einstein parce qu’elle
74
ébat occidental par excellence, — mais au centre,
aussi
, de la Réforme, et de l’effort dogmatique de Luther68. On croit d’ab
75
ans. C’est peut-être mal raisonner. Si ton effort
aussi
était prévu ? Pourrais-tu ne pas le fournir ? Et si tu décidais : « J
76
, croire que sa volonté — qui a tout prévu — peut
aussi
tout changer en un instant aux yeux de l’homme, sans que rien soit ch
77
e erreur des plus grossières ? … C. M. — On peut
aussi
nier l’éternité, et affirmer que seul existe notre temps. Dans ce cas
78
en que cela, mais tout cela, avec confiance, mais
aussi
avec une inflexible conséquence. Résumons-nous : il ne s’agit pas d’a
79
e excellente méthode.) Est-il permis d’en appeler
aussi
au précédent des sept églises d’Asie, possédant chacune leur ange ? O
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ême, il aidera le cœur à être un bon cœur. Notons
aussi
que les Églises qui ne représentent pas spirituellement une fonction
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dividualisme et dictature, l’opposition n’est pas
aussi
profonde qu’on l’imagine. Il s’agit plutôt d’une succession inévitabl
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ans un monde christianisé. Car cet homme est, lui
aussi
, à la fois autonome et en relation. Ainsi, le mot personne avec son s
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plus contradictoires. Ce qui libère un homme est
aussi
ce qui le rend responsable vis-à-vis d’autrui. En retour, ce qui unit
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’autrui. En retour, ce qui unit la communauté est
aussi
ce qui l’oblige à respecter les vocations individuelles. La liberté d
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n. Là où est l’Esprit, là est la liberté, mais là
aussi
est la vraie communion. Il nous reste à développer maintenant les imp
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cédent dans notre histoire. La seule espérance et
aussi
la seule possibilité qui demeure, c’est l’organisation fédéraliste du
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si cette foi seule demeure, elle sera suffisante.
Aussi
bien, certaines raisons de croire que l’Église peut agir, raisons que
88
ssent celle qui les a dominés, mais c’est choisir
aussi
celle qui les a perdus ! Je leur propose l’Europe des régions, comme
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losion démographique, d’où famine, mais d’où soif
aussi
de nos industries, il est non moins vrai que l’Europe seule peut prod
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que nous sommes : du mal au pire si nous restons
aussi
mauvais, et quelque bien si nous devenons meilleurs, obéissant mieux
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ivre encore de nouveaux jours, de nouvelles nuits
aussi
, et d’y trouver plus de saveur et plus de sens. C’est pourquoi cette
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ntinelle a répondu : — Le matin vient, et la nuit
aussi
. Si vous voulez interroger, interrogez ! Convertissez-vous et revenez