1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 -la sous cet angle. Il y a d’abord la vision de l’ auto routière : naissance de sa passion froide et tenace. Il s’efforce d’e
2 ici en mesure de produire des quantités énormes d’ autos . Seulement, pour pouvoir continuer, il faut vendre ; dans l’intérêt d
3 ux gens qu’ils ne peuvent plus vivre heureux sans auto . Voilà l’affaire lancée. La passion de Ford se donne libre cours. Il
4 ur les hommes. » C’est le bonheur, le salut par l’ auto . Philosophie réclame. « Ce que j’ai à cœur, aujourd’hui, c’est de dém
5 chez nous ne concernent pas particulièrement les autos et les tracteurs, mais composent en quelque manière, un code universe
6 et divins. Mauvais loisirs. Ford lui a donné une auto pour admirer la nature entre 17 et 19 heures : vraiment, il ne lui ma