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-la sous cet angle. Il y a d’abord la vision de l’
auto
routière : naissance de sa passion froide et tenace. Il s’efforce d’e
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ici en mesure de produire des quantités énormes d’
autos
. Seulement, pour pouvoir continuer, il faut vendre ; dans l’intérêt d
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ux gens qu’ils ne peuvent plus vivre heureux sans
auto
. Voilà l’affaire lancée. La passion de Ford se donne libre cours. Il
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ur les hommes. » C’est le bonheur, le salut par l’
auto
. Philosophie réclame. « Ce que j’ai à cœur, aujourd’hui, c’est de dém
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chez nous ne concernent pas particulièrement les
autos
et les tracteurs, mais composent en quelque manière, un code universe
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et divins. Mauvais loisirs. Ford lui a donné une
auto
pour admirer la nature entre 17 et 19 heures : vraiment, il ne lui ma