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eoisie intellectuelle persiste à jouer l’autruche
aux
yeux clos, l’avènement de cette organisation toute-puissante n’est pl
2
que abandonnée par l’Esprit. À l’heure de toucher
aux
buts que sa civilisation poursuit depuis près de deux siècles, l’Occi
3
rs semblent bien apporter une solution définitive
aux
problèmes du surmenage et du paupérisme. C’est un résultat qu’on n’a
4
sous-estimer. Les griefs que les socialistes font
aux
capitalistes européens ne sauraient l’atteindre. Au contraire, il a r
5
n sociale d’une façon qui ne devrait pas déplaire
aux
doctrinaires de gauche, lesquels ont coutume de promettre à leurs éle
6
cédé très simple de la répétition, on fait croire
aux
gens qu’ils ne peuvent plus vivre heureux sans auto. Voilà l’affaire
7
Europe « chrétienne », applaudissent sans réserve
aux
thèses de cet orgueilleux et naïf messianisme matérialiste ? Un seul
8
dans ce que nous faisons et ne pensons pas assez
aux
raisons que nous avons de le faire. Tout notre système de concurrence
9
ie de celui que M. Cambon, dans sa préface, égale
aux
plus grands esprits de tous les temps. On me dira que Ford a mieux à
10
dit-on, que subsiste le peu de morale nécessaire
aux
affaires, tout ira bien. (On pense que les formes de la morale peuven
11
s, soumis plus subtilement encore que son travail
aux
lois d’une offre et d’une demande sans rapport avec ses désirs réels,
12
ute par ironie, « la vie les prend ». Irréguliers
aux
yeux du monde ; la proie d’on ne sait quelles forces occultes sans do
13
es humanités nous paraissaient devoir transmettre
aux
générations cette notion d’un équilibre proprement humain. Ainsi pass
14
rit à ses méthodes, c’est en réalité le soumettre
aux
lois de l’ordre matériel ; c’est se condamner donc à ne l’apercevoir
15
ns égards et qui cette fois ne montre pas l’homme
aux
prises avec l’humanité civilisée, mais avec la nature la plus sauvage
16
t, au travers des aventures des deux explorateurs
aux
prises avec les fièvres de la forêt tropicale, puis avec les sauvages
17
dehors de Dieu sur des bases purement humaines ».
Aux
yeux du « séculariste », bien entendu, la question religieuse apparaî
18
conscient des problèmes de ce temps, souscrirait
aux
critiques que M. Nizan fait à l’actuelle civilisation, souffrant comm
19
tion du monde moderne, clame-t-on de toutes parts
aux
chrétiens. Assez parlé de Vérité, ce sont des réussites qu’il nous fa
20
les pages, sur toutes les choses. Nous écrivions
aux
auteurs, nous recevions des livres, des lettres. Van Gogh, en qui nou
21
On a beaucoup remarqué la part importante ménagée
aux
œuvres de décorateurs : paravents, vitrines, coffrets, objets ouvragé
22
ui certainement est bien huguenote : elle remonte
aux
meubles de Boulle, aux Gobelins, aux poteries de Palissy. Ce goût de
23
n huguenote : elle remonte aux meubles de Boulle,
aux
Gobelins, aux poteries de Palissy. Ce goût de la belle matière mise e
24
elle remonte aux meubles de Boulle, aux Gobelins,
aux
poteries de Palissy. Ce goût de la belle matière mise en valeur dans
25
, sa nudité, ce sens de l’artisanat qui se refuse
aux
truquages, aux trompe-l’œil, ne dissocie jamais la recherche du beau
26
sens de l’artisanat qui se refuse aux truquages,
aux
trompe-l’œil, ne dissocie jamais la recherche du beau et le goût intr
27
tholique bénéficie certainement, pour lui-même et
aux
yeux du public, des facilités que donne à sa production l’appareil de
28
derne. Décidément, le goût du colossal — transmis
aux
Américains — reste un trait marquant de l’âme allemande : le choix de
29
ans le sens d’une philosophie de la vie qui rende
aux
valeurs spirituelles leur primauté : car c’est à cette condition seul
30
nt voici la traduction : L’amour de Dieu qui mène
aux
royaumes d’en-haut est contrecarré par le dieu de l’Amour. « Si vous
31
internationale. Cela permet à l’auteur autant qu’
aux
personnages de ne pas s’attarder à des considérations matérielles fas
32
elui, combien plus amer et noble, du consentement
aux
lois de la vie. Seule épreuve qui permette de nous en libérer. Car au
33
critique assuré qu’elle applique non sans acuité
aux
pratiques anglicanes. On serait tenté de soupçonner ici quelque invra
34
as dans ces indignations sentimentales la réponse
aux
premiers troubles que la grâce jette dans son âme. D’autre part, tous
35
hristianisme officiel ne peuvent être comparés qu’
aux
Provinciales. Kierkegaard est le Pascal du protestantisme, et il est
36
rnier grand protestant. On ne peut le comparer qu’
aux
grands fondateurs du christianisme, à Luther, à Calvin. Tous les autr
37
oi, certainement. Et « l’honneur de Dieu ». 21.
Aux
Éditions de la Nouvelle Revue française , chez Fourcade et aux Éditi
38
e la Nouvelle Revue française , chez Fourcade et
aux
Éditions « Je sers ». i. Rougemont Denis de, « Kierkegaard », Foi e
39
nce est là, la tranquille et solennelle Puissance
aux
mille aspects, aux mille bruits. » Ce n’est plus l’homme que ces poèt
40
quille et solennelle Puissance aux mille aspects,
aux
mille bruits. » Ce n’est plus l’homme que ces poètes viennent interro
41
t être surmonté, nous souffle une voix émouvante,
aux
résonances vraiment altières, celle-là : la voix de Nietzsche. ⁂ Ici,
42
le confessait.) Deux chances sont encore offertes
aux
amateurs de risques authentiques : l’aviation et l’alpinisme. On comm
43
Littérature alpestre en France et en Angleterre,
aux
xviiie et xixe siècles. (Librairie Dardel, Chambéry.) 23. Dans Ess
44
qui nous fait pénétrer dans l’intimité d’une vie,
aux
sources mêmes de ses déterminations. ⁂ Ce qui frappe, dès les premièr
45
i écrivent leurs mémoires s’attachent d’ordinaire
aux
faits pittoresques ou exceptionnels qui marquèrent leur vie ; ils nég
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mandé avec quelque anxiété comment il ferait face
aux
dépenses du voyage, il décida de vendre ses livres. Mais son retour
47
? Il s’en rend compte lors de sa première visite
aux
bas-fonds : Eiichi était partagé entre deux désirs. L’un était de se
48
absence absolue d’hypocrisie de sa part qui donne
aux
choses les plus banales une nouveauté frappante. Cela éclate particul
49
ions journalières. Par là, il fait souvent penser
aux
grands Russes, à Tolstoï surtout. Et par tous les revirements intérie
50
ure certaine. Au cours d’un livre où il se peint,
aux
prises avec toutes les formes du mal, jamais vous ne surprendrez dans
51
le qu’impose n’importe quelle attitude politique.
Aux
yeux d’un incroyant, ceci peut sembler vague. Mais le sens chrétien p
52
e que saine. Je ne pense pas qu’il faille opposer
aux
suggestions d’un moraliste trop subtil les vaniteux verdicts d’une mo
53
destruction de l’Invincible Armada la mer devient
aux
trois quarts protestante — et l’est restée (la révocation fit quitter
54
28, dont cette œuvre serait comme le frontispice (
aux
beaux noirs et gris profonds). Un critique fort écouté29, à son propo
55
sez nous garder d’accepter des adhésions qui vont
aux
produits déviés de notre foi. Il est vrai que ceux-ci sont souvent le
56
âmes des complexités merveilleuses, un pathétique
aux
résonances profondes : Milton. Mais le moralisme détendu que la théol
57
omme, mais confiante dans la grâce, cède le champ
aux
idées de Rousseau, optimistes quant à l’homme et pratiquement athées.
58
i donc l’homme, dans sa condition menacée, réduit
aux
seules défenses qu’invente son calcul. Voici l’homme livré à lui-même
59
té à faire par nous-mêmes le bien, dans l’abandon
aux
mains de Dieu, — aux violentes mains de Dieu. Un cantique nouveau
60
êmes le bien, dans l’abandon aux mains de Dieu, —
aux
violentes mains de Dieu. Un cantique nouveau Nous voici loin de
61
é et de la grâce souveraine. C’est cela qui donne
aux
romans de Dostoïevski ou d’Émily Brontë ces prolongements poétiques,
62
rspectives bouleversantes qui manqueront toujours
aux
œuvres nées sous le signe fatal du moralisme. La grande poésie naît d
63
stes du jeune Goethe et la part active qu’il prit
aux
réunions de « belles âmes » suscitées par l’apostolat du comte de Zin
64
aurait ici exagérer la responsabilité qui incombe
aux
« chrétiens » eux-mêmes, tels qu’ils apparurent à ce jeune homme plei
65
: La Crise est dans l’homme 38, s’oppose d’emblée
aux
thèses des économistes bourgeois ou marxistes, pour lesquels la crise
66
ntre ce qu’énonce la philosophie et ce qui arrive
aux
hommes en dépit de sa promesse. » M. Brunschvicg fait un cours sur la
67
atologiques de la méditation pourraient expliquer
aux
hommes vulgaires … la tuberculose de leurs filles, les colères de leu
68
le message évangélique. Et je demande maintenant
aux
chrétiens s’ils le savent eux-mêmes ; s’ils prouvent qu’ils le savent
69
le est radicalement dangereux, — salutaire. 38.
Aux
Éditions de la Revue française, chez Alexis Rédier, Paris 1932. 39.
70
ême). Que doit lire un homme pressé, s’il demande
aux
livres autre chose que ce que peut lui offrir le conte du journal, c’
71
z juste du genre. Son succès en Allemagne remonte
aux
premières années de l’après-guerre, illustrées par les livres monumen
72
rentre chez lui après 8 heures de bureau demande
aux
livres une évasion facile hors de la médiocre existence quotidienne.
73
toute la terre continuent de croire au Progrès et
aux
bienfaits de la richesse. Les campagnes se vident ; les jeunes gens n
74
Cette petite histoire ne s’applique pas seulement
aux
partisans attardés de Darwin, mais aussi bien aux partisans de Marx e
75
aux partisans attardés de Darwin, mais aussi bien
aux
partisans de Marx et de Gobineau. Il est tout à fait vrai que les ade
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se tomber. En cela, ils sont peut-être supérieurs
aux
libéraux et aux dilettantes qui tombent, eux aussi, mais continuent d
77
la, ils sont peut-être supérieurs aux libéraux et
aux
dilettantes qui tombent, eux aussi, mais continuent d’évoquer la libe
78
sont cruellement trompés de porte en s’adressant
aux
mythes collectifs. C’était l’homme qu’il fallait refaire. Nous avons
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ersonnaliste, la pensée qui ne veut s’attacher qu’
aux
seules tâches immédiates. La personne, au contraire, de l’individu pe
80
s esquiver. C’est une question qu’on pose souvent
aux
groupements révolutionnaires que je vous ai cités. Je voudrais y répo
81
s meilleurs esprits. À qui faut-il s’en prendre ?
Aux
critiques d’abord, et, en particulier, à cette espèce nouvelle de cri
82
s causes plus graves, qu’il faut attribuer autant
aux
philosophes qu’à ceux qui ne les lisent plus. Le public se figure que
83
é, et quel besoin alors d’un deinde. Que demander
aux
hommes, sinon qu’ils vivent bien ! On se souvient de la noble réponse
84
n’ont pas à subordonner la vérité de leur message
aux
calculs de l’opportunisme. Quelques exaltés, pensera-t-on ? Quelques
85
s chrétiens. Leur office n’est-il pas de rappeler
aux
peuples où se trouvent les vraies valeurs, sans attendre que d’autres
86
du ressentiment » que les natures faibles vouent
aux
valeurs aristocratiques. La haine jalouse et rancunière de l’esclave
87
démontre avec maîtrise dans un chapitre consacré
aux
valeurs humanitaires, qui me paraît renfermer l’essentiel de son livr
88
, qualité pratique (et non pas vertu) recommandée
aux
pauvres, et aux pauvres seuls, est désormais une vertu sans lien avec
89
ue (et non pas vertu) recommandée aux pauvres, et
aux
pauvres seuls, est désormais une vertu sans lien avec la notion de sa
90
manifeste une volonté très nette de passer outre
aux
prudences intéressées de la scolastique laïque. Nos après-venants ser
91
l’un de ses frères, ne voulant pas avoir affaire
aux
banques. Lorsqu’il mourut, à 42 ans, il n’en subsistait rien. L’argen
92
ki, à Pascal. Lui-même ne s’est jamais comparé qu’
aux
grands modèles apostoliques : à saint Paul, à Luther, mais pour se co
93
rnier grand protestant. On ne peut le comparer qu’
aux
grands fondateurs du christianisme, à Luther, à Calvin. Tous les autr
94
ire et les faux dieux Nous croyons à la foule,
aux
races, à l’histoire (ou plutôt à l’évolution des sociétés), à la révo
95
pas… Mais encore une fois, ce n’est pas échapper
aux
chimères publiques que de les dénoncer pour telles en vertu d’une idé
96
i s’en prévaloir pour rendre un culte sanguinaire
aux
faux dieux qu’elle a suscités. « Le philosophe dit à bon droit que la
97
ut plus être sujet de son action, qui l’abandonne
aux
lois mythiques de l’histoire. Kierkegaard au contraire nous répète :
98
qu’aucun ne veuille l’être. » L’inévitable rappel
aux
nécessités quotidiennes est encore un prétexte de l’angoisse. Si la v
99
lus massif, plus sain ; moins complaisant surtout
aux
voluptés de l’aventure, à la psychologie de la douleur physique. Ses
100
saurait trop recommander la lecture de ce recueil
aux
esprits suffisamment armés de sens critique, de certitudes théologiqu
101
tique. Je ne vois pas de meilleur moyen de donner
aux
lecteurs de Foi et Vie une idée, même assez grossière, de la riches
102
isme. Je ne puis tout citer : je me bornerai donc
aux
passages qui me paraissent prêter à un commentaire marginal, crayonné
103
ucoup plus scientifique et beaucoup plus conforme
aux
exigences de l’Histoire : le salut par la sempiternité. Mais n’est-ce
104
ition. Et celui qui n’est pas mort une bonne fois
aux
« croyances » héritées sans examen de son milieu, aux idoles édifiées
105
« croyances » héritées sans examen de son milieu,
aux
idoles édifiées par ses bons sentiments ou par sa peur de la réalité,
106
celle-ci, voilà une pensée qui est insupportable
aux
hommes. Ne voyons-nous pas au contraire le monde contemporain entièr
107
parfois « antivitale » ? — « Pensée insupportable
aux
hommes » ? Nietzsche écrivait ceci en 1880. Cinquante-cinq ans plus t
108
largement sauvé l’honneur de leur pays. Je pense
aux
ouvrages publiés par MM. Henri Strohl, J. Vignaud et Lucien Febvre, e
109
MM. Henri Strohl, J. Vignaud et Lucien Febvre, et
aux
cours qu’ont professés MM. Jean Baruzi et E. Gilson, pour ne rien dir
110
nnaissance courantes à l’égard de Luther, jointes
aux
diverses calomnies recueillies par des biographes amateurs, et à l’ac
111
ité (bien plutôt que « désarmé », comme il le dit
aux
premières pages) par les procédés de l’humaniste et du sceptique que
112
on seulement tous les humanistes, — des marxistes
aux
vieux libéraux, — y applaudissent ouvertement, mais encore jusque che
113
érimé ; ceux qui traduisent : « Paix sur la terre
aux
hommes que Dieu agrée », par « Paix aux hommes de bonne volonté », to
114
la terre aux hommes que Dieu agrée », par « Paix
aux
hommes de bonne volonté », tous ceux-là sont, en fait, avec Érasme et
115
is cela n’apparaît qu’à celui qui ose aller jusqu’
aux
extrêmes de la connaissance de soi-même et de la connaissance de la f
116
re foi. C’est qu’il a poussé, comme Luther, jusqu’
aux
extrêmes limites de l’homme, jusqu’aux questions dernières que peut e
117
her, jusqu’aux extrêmes limites de l’homme, jusqu’
aux
questions dernières que peut envisager notre pensée. Pour échapper au
118
b ac Le mouvement œcuménique ne deviendra réel
aux
yeux des peuples qu’à partir du jour où il sera capable de répondre a
119
l sera capable de répondre avec force et autorité
aux
questions politiques de notre temps. Qu’il le pressente, qu’il ait au
120
division de leur langage. Il convient de laisser
aux
théologiens le soin de définir la doctrine positive de l’union au nom
121
n’en vois pas de meilleur que la première Épître
aux
Corinthiens : c’est dans ses appels à l’union, précisément, que Paul
122
stinction des personnes ? Posons ces questions-là
aux
docteurs de l’Église. Mais voici ce que nous devons affirmer dès main
123
autres termes, l’appel à l’union ne s’adresse pas
aux
dissidents virtuels de chaque Église, mais à leurs membres les plus f
124
té capable, grâce à Dieu, de se fermer totalement
aux
inspirations du Saint-Esprit. Aucune église ou secte n’a jamais nié q
125
ortir. S’il se soumet, il court le risque d’obéir
aux
hommes plutôt qu’à Dieu. S’il sort, c’est avec amertume, et l’Église
126
na (rôle social). C’est ce même terme qui servira
aux
premiers philosophes chrétiens à désigner la réalité de l’homme dans
127
e apporte du nouveau. Elle seule répond à la fois
aux
aspirations confuses des peuples et aux nécessités pratiques de la pa
128
à la fois aux aspirations confuses des peuples et
aux
nécessités pratiques de la paix. Elle seule s’oppose à la fois au cap
129
rra pas la gagner réellement s’il ne propose rien
aux
peuples de l’Europe. Or il dit qu’il n’en a pas le temps… Quant au rô
130
langage au-dessus des langages répond exactement
aux
besoins les plus légitimes de notre temps. Il nous rend les vraies fo
131
sulte, théoriquement, de ce que nous avons exposé
aux
chapitres 1-3. Le mouvement œcuménique est donc seul en mesure de pré
132
e des liens nécessaires unissant cet arrière-plan
aux
réalités morales et politiques (personnalisme). Point d’action constr
133
leurs : elle est d’avoir offert, ou plutôt imposé
aux
élites occidentalisées du tiers-monde un modèle totalement étranger à
134
Nord comme en Europe de l’Ouest, se voient amenés
aux
mêmes conclusions et le confessent… dans une conversation ou un collo
135
s lois. Quant au « grand public » de la droite et
aux
« masses » de la gauche, catégories de naguère aujourd’hui confondues
136
re nulle garantie de sécurité égale ou supérieure
aux
risques par elle-même créés et entretenus. Absurde, impossible et rée
137
sous toutes ses formes, des emballages plastiques
aux
déchets plutoniens. À partir de là, tout s’enchaîne. L’analyse des ca
138
naliste le levier politique qui avait fait défaut
aux
mouvements personnalistes des années 1930, puis aux fédéralistes euro
139
x mouvements personnalistes des années 1930, puis
aux
fédéralistes européens ou mondialistes de l’après-guerre. Je vois des
140
omène dialectique des régions fédérées s’opposant
aux
États-nations par l’intérieur et par l’extérieur. La formule des circ
141
unication mondiale : dans les deux cas on échappe
aux
contrôles de l’État-nation, dont les monopoles classiques se trouvent
142
tes comme E. F. Schumacher, pour qui l’avenir est
aux
« petites unités intelligibles » ; des politologues comme C. N. Parki
143
nous cacher une fois de plus derrière les arbres,
aux
forêts du passé profond ! — mais dans nos attitudes présentes. Si vou