1
naît fils de paysan. Il passe son enfance à jouer
avec
des outils, « et c’est avec des outils qu’il joue encore à présent »,
2
e son enfance à jouer avec des outils, « et c’est
avec
des outils qu’il joue encore à présent », dit‑il. Le plus mémorable é
3
s riche, au point qu’il peut parler d’égal à égal
avec
beaucoup d’États ; le plus parfait aussi. Son succès sans précédent l
4
onditions les plus rationnelles de la production,
avec
cette netteté et cette décision qu’une passion contenue peut donner à
5
pirituelles, le tout agrémenté d’humour et exposé
avec
un simplisme qui emporte à coup sûr l’adhésion du gros public : telle
6
au sous le soleil » derrière lequel on se réfugie
avec
une paresse et une légèreté inouïes, c’est le signe d’une complicité
7
légèreté inouïes, c’est le signe d’une complicité
avec
un état de choses funeste pour l’Esprit. Si l’Esprit nous abandonne,
8
herché le bonheur dans le développement matériel,
avec
l’arrière-pensée sournoise que, si cela ratait, on gardait toutes les
9
dit Ford. Et tout est dit ! Le simplisme arrogant
avec
lequel, de nos jours, on tranche les grandes questions humaines est u
10
ieuse.) L’homme moderne manie les choses de l’âme
avec
une maladresse de barbare. IV. « En être » ou ne pas en être Un
11
ux lois d’une offre et d’une demande sans rapport
avec
ses désirs réels, et dont il subit docilement l’abstraite et commerci
12
rudimentaires de son corps. Il a perdu le contact
avec
les choses naturelles, et par là même, avec les surnaturelles. Il en
13
ntact avec les choses naturelles, et par là même,
avec
les surnaturelles. Il en ressent une vague et intermittente détresse,
14
fectives ; et ces exigences sont en contradiction
avec
celles que le développement de la technique impose au monde moderne.
15
s. Et cette franc-maçonnerie sera bientôt traquée
avec
la dernière rigueur : avec la rigueur de la nécessité — puisqu’elle e
16
e sera bientôt traquée avec la dernière rigueur :
avec
la rigueur de la nécessité — puisqu’elle est inutile au grand dessein
17
ence du dilemme. Second pas : en poser les termes
avec
netteté et courage. Pour le reste, je pense que c’est une question de
18
onalisation » aura laissé de Raison à l’Occident,
avec
certains secrets de la méditation hindoue. Rêves, sans doute… Mais to
19
t qui cette fois ne montre pas l’homme aux prises
avec
l’humanité civilisée, mais avec la nature la plus sauvage. Comme Les
20
’homme aux prises avec l’humanité civilisée, mais
avec
la nature la plus sauvage. Comme Les Conquérants, c’est une sorte de
21
rs des aventures des deux explorateurs aux prises
avec
les fièvres de la forêt tropicale, puis avec les sauvages Moïs, donne
22
ises avec les fièvres de la forêt tropicale, puis
avec
les sauvages Moïs, donne au personnage un relief étonnant, mais contr
23
as aujourd’hui le livre « bien pensant » qui pose
avec
une pareille acuité le problème central de notre civilisation. À ce t
24
archiste et antichrétienne que Malraux inaugure10
avec
La Voie royale, mérite mieux que notre curiosité humaine, ou que notr
25
le n’invente ou qu’elle ne stylise. On peut dire,
avec
plus de louange d’ailleurs que d’ironie, qu’elle touche à tout dans l
26
rtificielle que le lâche idéalisme qu’elle combat
avec
raison ? D’ailleurs, si je vois bien que le propos de M. Nizan n’est
27
t de la vérité religieuse. Il parle des religions
avec
une incroyable légèreté, — en littérateur qui cherche l’effet pittore
28
u, la question religieuse apparaît comme périmée.
Avec
M. Brunschvicg, il pense qu’un homme de 1931 a dépassé ce « stade »,
29
mune antipathie, M. Marcel et M. Nizan s’opposent
avec
une netteté d’autant plus significative qu’ils touchent des problèmes
30
r des livres dont nous savions de grands morceaux
avec
notre cœur. On remuait un climat de poèmes, une spiritualité un peu g
31
oèmes, une spiritualité un peu grave, on touchait
avec
notre jeunesse le tragique ou le merveilleux, on mettait notre volont
32
ufy, le plus inventif des artistes contemporains,
avec
une « Peinture » d’un intense lyrisme de couleurs. Zingg avec un « En
33
einture » d’un intense lyrisme de couleurs. Zingg
avec
un « Enterrement au Pays de Montbéliard » grave et serein. Deux petit
34
rencier en témoignent une fois de plus. Accueilli
avec
quelque perplexité par le public de la première conférence, sifflé à
35
ois, tenir en haleine une salle énorme en parlant
avec
sérieux de problèmes essentiels : c’est une performance qui vaut d’êt
36
dans l’intimité de milliers de lecteurs français
avec
un livre d’un rare prestige, Daphné Adeane. On vient de traduire un a
37
ace qu’il a donnée à la traduction française note
avec
raison que M. Baring se montre « quelque peu inexorable dans la libér
38
ontre « quelque peu inexorable dans la libéralité
avec
laquelle il nous invite à de multiples week-ends… » Il y aurait beauc
39
nche Clifford, sa vie de jeune fille, son mariage
avec
le prince Roccapalumba, puis avec un jeune lord ; toute l’existence d
40
le, son mariage avec le prince Roccapalumba, puis
avec
un jeune lord ; toute l’existence d’une femme qui ne cesse, jusqu’à s
41
t ici que l’on peut voir sa profonde ressemblance
avec
les Affinités électives de Goethe. Aucune arrière-pensée de jugement
42
gne de la vérité. Personne, peut-être, n’a répété
avec
autant de force que Baring le fameux, l’irrépressible argument du bon
43
es naturellement portés à confondre notre bonheur
avec
notre bien, et à taxer d’immoralisme tout acte qui entraîne des ruine
44
breuses que l’auteur a su introduire et commenter
avec
la discrétion et souvent l’ironie légère qui conviennent. Plus encore
45
l’isolement des cimes ou des hautes vallées, seul
avec
la nature dans une sorte d’ivresse morne, il parvenait à oublier la f
46
glace est proche, la solitude énorme, mais voyez
avec
quelle tranquillité tout repose dans la lumière… » Vous avez reconnu
47
t une grandiose existence géologique sans rapport
avec
la nôtre. Les atomes que nous sommes peuvent trouver sur ses flancs l
48
hème très « protestant ». Nietzsche l’a développé
avec
une ampleur inégalable : il y trouvait tous les symboles de la vie da
49
connaissance de cause et de buts, en plein accord
avec
son expérience intime (je dirais même sentimentale), et avec sa foi c
50
périence intime (je dirais même sentimentale), et
avec
sa foi chrétienne. Il peut livrer sans crainte le secret d’une telle
51
ys. Il nous restait à entrer en contact personnel
avec
cette œuvre : Avant l’Aube comble cette attente, mais elle en fait na
52
re les stations, des étendues de toits de tuiles,
avec
de la fumée noire qui s’en échappait. Osaka, la nuit, avait un air ét
53
t de sa famille. À la suite d’une discussion vive
avec
des étudiants chrétiens au sujet d’un de leurs camarades, Eiichi se d
54
er chez lui la nuit même, et après s’être demandé
avec
quelque anxiété comment il ferait face aux dépenses du voyage, il déc
55
son retour au foyer provoque des scènes terribles
avec
son père, riche commerçant que l’on accuse de malhonnêteté, caractère
56
caractère impérieux, esprit étroit, et qui défend
avec
violence contre les idées subversives de son fils un ordre social don
57
e homme : comment concilier son bonheur personnel
avec
l’idéal de rénovation sociale qu’il a conçu ? Et comment trouver le c
58
te de la procession funèbre, toutes ses relations
avec
son père se déroulèrent comme un panorama devant ses yeux. Au-delà de
59
prit une résolution. Désormais, rompant tout lien
avec
le passé, comme on franchit le pas de la mort, il lutterait contre le
60
les reprendre ensuite, chez lui, car il professe
avec
fanatisme la non-résistance au mal. Bientôt il prend figure de saint
61
sortie, s’accrochent à ses manches et l’escortent
avec
amour. ⁂ Avant de tirer les conclusions qu’impose cette œuvre avec l’
62
nt de tirer les conclusions qu’impose cette œuvre
avec
l’autorité d’une action, arrêtons-nous quelques instants devant la be
63
re de l’âme qu’elle révèle. Une âme qui sent tout
avec
force et délicatesse, éprouve tous les penchants humains, s’y soustra
64
omme toutes naturelles, il surmonte les obstacles
avec
un contentement modeste et intelligent qui est plus émouvant que bien
65
de l’existence. Il accepterait aussi la religion
avec
le courage du suicide. Dans sa résolution, il se sentait graduellemen
66
e. Au cours d’un livre où il se peint, aux prises
avec
toutes les formes du mal, jamais vous ne surprendrez dans ses yeux ri
67
dienne, et je m’excuse dès l’abord de la rapidité
avec
laquelle je suis décidé à les formuler. Si l’on y voit une regrettabl
68
iers écrits de cet auteur reprennent et fignolent
avec
un talent disproportionné à son objet. Que Gide ne soit pas si « mauv
69
gélique une fois détaché de la grâce se décompose
avec
virulence en sophismes, ou bien engendre des chimères. Tout, ainsi, d
70
ignages de responsabilités acceptées devant Dieu,
avec
l’incommensurable tragique que cela comporte. Un nom me hante, pendan
71
Hollande atlantique : le maire Guiton, le héros,
avec
Rohan, de la résistance protestante contre le Cardinal, était corsair
72
es. La vie, désormais sans au-delà, sans relation
avec
l’infini, se trouble et se complique ; le sentiment contredit à la pe
73
essèrent (en dépit de certain défaut de sympathie
avec
leurs sujets) d’une perspicacité prophétique. 26. Dire de Gide qu’i
74
nts tiennent à honneur de compromettre la Réforme
avec
cette attitude, et de prolonger un malentendu qu’ils jugent peut-être
75
s’opposent, mais qu’ils manifestent en même temps
avec
une ironie plus cruelle souvent que la stérilité. Sécheresse désolée
76
e d’une Lagerlöf — se lier d’amitiés spirituelles
avec
Charles Dickens, Jenny Lind, Thorwaldsen.) Les romans russes et les r
77
sations, et qu’il est de notre devoir d’envisager
avec
toute la bonne foi que nécessite un examen de conscience. ⁂ Goethe s’
78
plus grand païen. Les fragments des Conversations
avec
Eckermann que nous donnons dans ce numéro n’ont pas été choisis pour
79
? Qu’est-ce qu’un chrétien que l’athéisme annexe
avec
une pareille aisance ? La question serait tranchée, en effet, si nous
80
t donner l’expression littéraire la plus parfaite
avec
Werther. Et nous ne manquons pas de témoignages écrits de cette époqu
81
été, à ceci près que mes rapports sont meilleurs
avec
le Seigneur et Jésus son fils bien-aimé. C’est vous dire que j’ai acq
82
d’une exigeante ferveur mystique. « Mes rapports
avec
les dévots — écrit-il de Strasbourg — ne sont pas très fréquents ici.
83
t médiocre, qui n’ont eu de pensée raisonnable qu’
avec
leur première sensation religieuse, et croient qu’on ne peut aller pl
84
et les systèmes prônés par lui ne coïncident pas
avec
les idées, les théories et les systèmes dont nous jugeons urgent d’ac
85
, sur la question de la culture dans ses rapports
avec
le peuple. Il discute M. Malraux et son goût désespéré de l’action po
86
temporains qu’ils ont tort de penser ceci ou cela
avec
passion. Il faut encore leur donner d’autres objets de passion. Ou bi
87
le. Ce qu’il veut dégonfler, c’est la philosophie
avec
grand P, la doctrine officielle de la Sorbonne, cette pensée fabriqué
88
schvicg. L’homme en général, même si on l’appelle
avec
Marx, l’homme concret (ce qui n’est encore qu’une formule), l’homme a
89
l’Histoire. Jamais le document n’a été recherché
avec
une telle avidité. « Ce que je préfère au cinéma, ce sont les actuali
90
distraire en le fuyant, il cherche à l’expliquer,
avec
une passion nouvelle. Nous avons vu paraître, il y a quelque dix ans,
91
uls bénéficiaires. La corruption s’étale, flétrie
avec
grandiloquence par des journaux qui vivent de fonds secrets. C’est à
92
destins collectifs, le choix nécessaire apparaît
avec
une netteté qui, je le répète, est la chance de notre époque. Je voud
93
resque toujours menaçantes, et dont nous essayons
avec
angoisse de scruter les caractères, les habitudes, les intentions sec
94
politique tout au moins, ils paraissent s’opposer
avec
une certaine violence, mais par rapport à l’homme, ils sont absolumen
95
s s’indignent de ce reproche. Ils nous répondent,
avec
raison, que leur action n’a pas les apparences d’une évasion, d’une d
96
eau de la chaîne de notre destin. Abrégeons, car,
avec
l’argent nous n’en finirions pas. L’argent est partout, il est dans t
97
fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait
avec
angoisse qu’elle n’avait plus rien ni personne à servir. C’est l’état
98
mieux à faire pour nous, c’est encore de compter
avec
eux. Mais compter avec eux, ce n’est pas les diviser, ni abdiquer sou
99
s, c’est encore de compter avec eux. Mais compter
avec
eux, ce n’est pas les diviser, ni abdiquer sous leur implacable desti
100
moyen d’un ouvrage « difficile ». Seul, Bergson,
avec
ses Deux Sources pourrait s’aligner, dans cet ordre, avec un honnête
101
Deux Sources pourrait s’aligner, dans cet ordre,
avec
un honnête romancier. On s’étonnera, sans doute, de m’en voir étonné.
102
s, il ignore qu’il la nie pratiquement. Il répète
avec
le latin cet adage bourgeois avant la lettre : primum vivere, deinde
103
l’ajouter après coup ? On ne complète pas un acte
avec
des considérations sur cet acte ; ou c’est que la philosophie n’est q
104
éalité, la morale bourgeoise. Scheler le démontre
avec
maîtrise dans un chapitre consacré aux valeurs humanitaires, qui me p
105
pauvres seuls, est désormais une vertu sans lien
avec
la notion de sacrifice ou avec l’idéal évangélique et, pour comble, v
106
ne vertu sans lien avec la notion de sacrifice ou
avec
l’idéal évangélique et, pour comble, vertu de riche, mais qui retient
107
ntellectuels allemands, Scheler rompit finalement
avec
l’Église et revint à un nietzschéisme violent. On voit percer par end
108
bilité universelle du désespoir. Un rapprochement
avec
Kierkegaard me paraît s’imposer ici. 49. M. Marcel introduit ici le
109
plus animée de la ville, parler, rire et discuter
avec
des bourgeois, des jeunes filles, des balayeurs, des intellectuels, l
110
yé. Lorsqu’en 1854 il se mit à attaquer de front,
avec
une extrême violence, le christianisme officiel et les évêques qui av
111
rieur de sa vie fut la rupture de ses fiançailles
avec
Régine Olsen. Mais son acte, après lequel il put mourir, certain d’av
112
sée une influence multiforme, et qui va croissant
avec
le temps. La philosophie allemande contemporaine, avec ses deux grand
113
le temps. La philosophie allemande contemporaine,
avec
ses deux grands maîtres, Heidegger et Jaspers, procède de sa philosop
114
e soi, si l’on peut dire : les marxistes le nient
avec
plus de passion que les bourgeois n’apportent à l’affirmer. D’un côté
115
ît devant une assemblée choisie d’élus, et prêche
avec
émotion sur ce texte qu’il a choisi lui-même : “Dieu a élu dans le mo
116
mettre d’accepter, quand le martyr reçoit sa mort
avec
une sorte de sobriété… Le croyant seul agit, et seul il peut être suj
117
e dédicace fameuse : « Au solitaire que j’appelle
avec
joie et reconnaissance : mon lecteur. » Kierkegaard savait bien que l
118
ublic habituel des prix Goncourt —, et qui le dit
avec
une puissance assez austère. ⁂ Six chômeurs allemands, anciens offici
119
ils sont jetés aussitôt dans une prison infecte,
avec
des Indiens lépreux. Le ministre d’Allemagne à La Paz, Pillau, réussi
120
e s’agit pas de ces sacrifices dont on s’acquitte
avec
son argent ou avec son travail, mais de sacrifices pour lesquels on j
121
sacrifices dont on s’acquitte avec son argent ou
avec
son travail, mais de sacrifices pour lesquels on joue sa propre exist
122
porte précisément ce titre, était loin d’évoquer
avec
une pareille puissance. J’ai eu l’occasion de dire, ici même, mon adm
123
ogie de la douleur physique. Ses héros subissent,
avec
un héroïsme et une révolte plus émouvants d’être silencieux, des tort
124
ière, de la richesse de cet ensemble, que de lire
avec
eux les quelques pages de la première partie intitulées Religion et c
125
orte. Ce qui est admirable ici, c’est la lucidité
avec
laquelle Nietzsche décèle l’idolâtrie de notre temps, même s’il y par
126
onnes âmes s’indignent lorsque Kierkegaard défend
avec
puissance cette vérité fondamentale. Mais si Nietzsche croit autre ch
127
tique la vie des chrétiens de son temps, il parle
avec
autorité, tandis que les critiques de Nietzsche feront toujours l’eff
128
té en esprit, ou esprit de pauvreté, confondu ici
avec
bêtise). Mais c’est bien là la malhonnêteté du positivisme primaire q
129
me si l’on ne pouvait pas soutenir l’inverse ! et
avec
beaucoup plus de vraisemblance et même de « sérieux historique ». P
130
ssières, de platitudes, de contradictions. Est-ce
avec
cela que s’est faite la Réforme ? D’autres, moins exigeants, n’hésite
131
cette perspective que le lecteur peu familiarisé
avec
la pensée luthérienne parviendra le plus aisément à saisir l’importan
132
ais on s’aperçoit, sans tarder, que la discussion
avec
Érasme et sa Diatribe (souvent personnifiée) n’est, en fait, que le s
133
ient, de proche en proche, à ressaisir et reposer
avec
puissance toutes les affirmations fondamentales de la Réforme : justi
134
s de bonne volonté », tous ceux-là sont, en fait,
avec
Érasme et son armée de grands docteurs de tous les siècles pour soute
135
nscience moderne », douée d’exigence spirituelle,
avec
un partisan du « serf arbitre » luthérien. (On peut admettre qu’un te
136
n’y changeront rien : « Travaillez à votre salut
avec
crainte et tremblement, puisque c’est Dieu qui produit en vous le vou
137
le vivante s’est incarnée : « Emmanuel ! » — Dieu
avec
nous ! 68. À la proposition qu’on lui faisait, en 1537, d’éditer s
138
u’à partir du jour où il sera capable de répondre
avec
force et autorité aux questions politiques de notre temps. Qu’il le p
139
n de l’œcuménisme. Rien que cela, mais tout cela,
avec
confiance, mais aussi avec une inflexible conséquence. Résumons-nous
140
cela, mais tout cela, avec confiance, mais aussi
avec
une inflexible conséquence. Résumons-nous : il ne s’agit pas d’adopte
141
iales, politiques et religieuses, ils se dégagent
avec
d’autant plus de simplicité qu’ils ont atteint un climat presque mort
142
rine nouvelle qui risquerait de n’être compatible
avec
aucune des théologies existantes. Ce qui nous intéresse ici, c’est la
143
: la théologie de l’œcuménisme subsiste et tombe
avec
la foi dans l’union des chrétiens en Christ, cette foi pouvant être c
144
s appels à l’union, précisément, que Paul établit
avec
le plus de force la légitimité des diversités. Ce qui me paraît d’une
145
les. Toutefois, cette méthode n’est compatible qu’
avec
des orthodoxies que j’appellerai ouvertes. Elle ne peut embrasser une
146
disposition. Plusieurs ont identifié l’Una Sancta
avec
leur organisation ou leur doctrine particulière. Au principe d’union
147
éir aux hommes plutôt qu’à Dieu. S’il sort, c’est
avec
amertume, et l’Église qu’il fondera peut-être sera opposée à l’ancien
148
res, et la vie d’un membre dépend de son harmonie
avec
les autres membres, assurée par l’appartenance à un même chef. Nous r
149
la communauté d’origine, s’il se confond d’abord
avec
l’intelligence et la raison, ne tarde pas à affaiblir le lien social.
150
omplir son unification, sa « mise au pas ». C’est
avec
la poussière des individus que l’État fait son ciment. Mais cet État
151
s autonome et en relation. Ainsi, le mot personne
avec
son sens nouveau, et la réalité sociale qu’il désigne, sont bel et bi
152
ous les autres et le remet en relations concrètes
avec
ses semblables. La liberté est assurée par la possibilité constante d
153
ics on a affaire. Si l’on se trouve en opposition
avec
le groupe, on a la possibilité matérielle d’y faire entendre sa voix.
154
prétend faire coïncider les frontières de l’État
avec
celles de toutes les activités sociales, spirituelles ou privées — ce
155
ne pas accepter vraiment l’œcuménisme, j’entends
avec
toutes ses conséquences. Car la foi sans les œuvres n’est pas la foi.
156
l s’y introduit un contenu socialiste. (Là encore
avec
moins de secousses en Scandinavie qu’en Angleterre.) Troisième exempl
157
ional. On a vu les socialistes anglais collaborer
avec
les conservateurs anglais, non pas avec les syndicalistes russes, ni
158
ollaborer avec les conservateurs anglais, non pas
avec
les syndicalistes russes, ni même américains, pour ne donner qu’un ex
159
turgique qui va de pair, dans toutes les Églises,
avec
l’effort œcuménique, est en train de recréer un langage commun, un en
160
ombat, de part et d’autre, sans grand espoir mais
avec
une pathétique sincérité.) ⁂ Le tableau que nous venons d’esquisser e
161
l’union, nous ne verrons l’œcuménisme se réaliser
avec
puissance que dans l’épreuve missionnaire universelle, qu’il doit aff
162
s, comme offrant la formule la moins incompatible
avec
leurs différences libérées, leur identité retrouvée. Le seul moyen de
163
otez cela ! — Si je comprends bien, vous n’avez
avec
vous ni les gouvernements ni les partis, ni la grande industrie ni le
164
e conversion ? Ou que la religion n’a rien à voir
avec
tel mode de pollution ou de production d’énergie ? Je répondrai que l
165
la fin, et se précipite vers l’holocauste général
avec
une très grande et très profonde stupidité, qui amène des éthologiste