1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 à l’oublier dans le rêve, dans l’utopie, dans une belle doctrine… Il faudrait d’abord prendre conscience du péril. Nous ne te
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
2 . Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie… — Où était placé notre mal ? dans quelle partie de not
3 sécularisme que répond M. Gabriel Marcel dans une belle conférence prononcée au Foyer des étudiants protestants, et que la No
4 it il pratique cet étrange sectionnement, il aura beau se recommander de la Raison ou de l’Esprit, nous resterons inquiets,
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
5 Gobelins, aux poteries de Palissy. Ce goût de la belle matière mise en valeur dans sa pureté, sa nudité, ce sens de l’artisa
6 trompe-l’œil, ne dissocie jamais la recherche du beau et le goût intransigeant du vrai, c’est le trait le plus évidemment «
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
7 s neuf dans cette trilogie philosophique, mais un bel ensemble d’observations justes et souvent profondes sur les grandeurs
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
8 n peu les autres. M. Charles Du Bos, dans la très belle préface qu’il a donnée à la traduction française note avec raison que
9 iscussions, et qu’en tant d’autres pages de cette belle œuvre, d’une simple indication tranquille et profonde sur l’état d’âm
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
10 s victoires. » Nous empruntons ces lignes au très bel essai que Robert de Traz intitula Nietzsche et les hauteurs 23, et qu
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
11 uchement idéaliste et pourtant jamais dupe de ses beaux sentiments lorsqu’il s’y mêle des motifs tout matériels. Ses larmes
12 par moments. C’est là qu’il retrouve Tsuruko, la belle jeune fille qu’il aimait dans son adolescence. Et l’idylle passionnée
13 s ; de rentrer bien vite dans sa maison garnie de belles nattes et de se plonger dans ses livres de philosophie. Il entendait
14 le tableau, ou au contraire en s’excitant sur ses belles actions. Il les note, simplement, sans oublier d’indiquer ses hésitat
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
15 bert Thibaudet, nous ont fait penser qu’il existe bel et bien un Loti vu de Genève, non pas sous la forme d’un ouvrage comp
9 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
16 dont cette œuvre serait comme le frontispice (aux beaux noirs et gris profonds). Un critique fort écouté29, à son propos, fit
17 otre foi originale. Le siècle, hélas, décorait du beau nom de libéralisme l’absence de toute exigence unifiante entre la pen
10 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
18 he et la part active qu’il prit aux réunions de «  belles âmes » suscitées par l’apostolat du comte de Zinzendorf. C’était le t
19 nts, et que les adversaires de la religion eurent beau jeu d’exploiter, on le sait. Mais, comme l’établit fort justement Cur
11 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
20 guée, des grands prêtres de l’Insoluble. Mais, un beau jour, les événements nous réveillent brusquement. Maintenant, il va f
21 s dont ils s’éloignent de plus en plus. Mais j’ai beau ne pas croire, pour mon compte, à la réalité de tous ces mythes, j’ai
22 mon compte, à la réalité de tous ces mythes, j’ai beau ne pas croire qu’ils aient le droit de disposer de nos vies, je suis
12 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
23 u toute commune mesure. Que se passerait-il si un beau jour le public se mettait à l’école des penseurs ? On verrait éclater
13 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
24 e éducation piétiste, un secret terrifiant et une belle aisance matérielle. Du secret il tira son œuvre ; sa fortune, il la c
14 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
25 maladie mortelle (le péché)54. L’homme naturel a beau dénombrer tout l’horrible, et tout épuiser, le chrétien se rit du bil
15 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
26 ». Et plusieurs des paroles de Pillau, — les plus belles peut-être — pourraient s’appliquer au destin de n’importe quelle nati
27 ttement supérieure. J’ajouterai même que c’est un bel éloge du talent de M. Malraux que de constater que ses livres sont le
16 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
28 la fin des temps. Et cependant, elles constituent bel et bien les germes d’une société véritable. Elles ont leur organisati
29 ouveau, et la réalité sociale qu’il désigne, sont bel et bien des créations chrétiennes, ou pour mieux dire, des créations
17 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
30 eauté du Monde sans l’œil de l’homme ? C’était si beau , la Terre de la Vie, bleue, verte et blanche dans le noir éternel… Ma