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à l’oublier dans le rêve, dans l’utopie, dans une
belle
doctrine… Il faudrait d’abord prendre conscience du péril. Nous ne te
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. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus
bel
âge de la vie… — Où était placé notre mal ? dans quelle partie de not
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sécularisme que répond M. Gabriel Marcel dans une
belle
conférence prononcée au Foyer des étudiants protestants, et que la No
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it il pratique cet étrange sectionnement, il aura
beau
se recommander de la Raison ou de l’Esprit, nous resterons inquiets,
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Gobelins, aux poteries de Palissy. Ce goût de la
belle
matière mise en valeur dans sa pureté, sa nudité, ce sens de l’artisa
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trompe-l’œil, ne dissocie jamais la recherche du
beau
et le goût intransigeant du vrai, c’est le trait le plus évidemment «
7
s neuf dans cette trilogie philosophique, mais un
bel
ensemble d’observations justes et souvent profondes sur les grandeurs
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n peu les autres. M. Charles Du Bos, dans la très
belle
préface qu’il a donnée à la traduction française note avec raison que
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iscussions, et qu’en tant d’autres pages de cette
belle
œuvre, d’une simple indication tranquille et profonde sur l’état d’âm
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s victoires. » Nous empruntons ces lignes au très
bel
essai que Robert de Traz intitula Nietzsche et les hauteurs 23, et qu
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uchement idéaliste et pourtant jamais dupe de ses
beaux
sentiments lorsqu’il s’y mêle des motifs tout matériels. Ses larmes
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par moments. C’est là qu’il retrouve Tsuruko, la
belle
jeune fille qu’il aimait dans son adolescence. Et l’idylle passionnée
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s ; de rentrer bien vite dans sa maison garnie de
belles
nattes et de se plonger dans ses livres de philosophie. Il entendait
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le tableau, ou au contraire en s’excitant sur ses
belles
actions. Il les note, simplement, sans oublier d’indiquer ses hésitat
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bert Thibaudet, nous ont fait penser qu’il existe
bel
et bien un Loti vu de Genève, non pas sous la forme d’un ouvrage comp
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dont cette œuvre serait comme le frontispice (aux
beaux
noirs et gris profonds). Un critique fort écouté29, à son propos, fit
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otre foi originale. Le siècle, hélas, décorait du
beau
nom de libéralisme l’absence de toute exigence unifiante entre la pen
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he et la part active qu’il prit aux réunions de «
belles
âmes » suscitées par l’apostolat du comte de Zinzendorf. C’était le t
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nts, et que les adversaires de la religion eurent
beau
jeu d’exploiter, on le sait. Mais, comme l’établit fort justement Cur
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guée, des grands prêtres de l’Insoluble. Mais, un
beau
jour, les événements nous réveillent brusquement. Maintenant, il va f
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s dont ils s’éloignent de plus en plus. Mais j’ai
beau
ne pas croire, pour mon compte, à la réalité de tous ces mythes, j’ai
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mon compte, à la réalité de tous ces mythes, j’ai
beau
ne pas croire qu’ils aient le droit de disposer de nos vies, je suis
23
u toute commune mesure. Que se passerait-il si un
beau
jour le public se mettait à l’école des penseurs ? On verrait éclater
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e éducation piétiste, un secret terrifiant et une
belle
aisance matérielle. Du secret il tira son œuvre ; sa fortune, il la c
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maladie mortelle (le péché)54. L’homme naturel a
beau
dénombrer tout l’horrible, et tout épuiser, le chrétien se rit du bil
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». Et plusieurs des paroles de Pillau, — les plus
belles
peut-être — pourraient s’appliquer au destin de n’importe quelle nati
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ttement supérieure. J’ajouterai même que c’est un
bel
éloge du talent de M. Malraux que de constater que ses livres sont le
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la fin des temps. Et cependant, elles constituent
bel
et bien les germes d’une société véritable. Elles ont leur organisati
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ouveau, et la réalité sociale qu’il désigne, sont
bel
et bien des créations chrétiennes, ou pour mieux dire, des créations
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eauté du Monde sans l’œil de l’homme ? C’était si
beau
, la Terre de la Vie, bleue, verte et blanche dans le noir éternel… Ma