1
l’avant, nous n’avons pas peur d’essayer vers la
beauté
de nouvelles routes. On nous connaît mal. Derrière le mur de notre ma
2
action, arrêtons-nous quelques instants devant la
beauté
singulière de l’âme qu’elle révèle. Une âme qui sent tout avec force
3
t nos habitants — in extremis. Mais que serait la
beauté
du Monde sans l’œil de l’homme ? C’était si beau, la Terre de la Vie,