1
trop dit que notre époque est chaotique. Je crois
bien
, au contraire, que l’histoire n’a pas connu de période où les directi
2
l et de repos qu’il offre à ses ouvriers semblent
bien
apporter une solution définitive aux problèmes du surmenage et du pau
3
rs plus. Ford leur montre le chemin qu’ils seront
bien
obligés de prendre tôt ou tard. Il est préférable qu’ils s’y engagent
4
cet abaissement de prix — la concurrence n’étant
bien
entendu qu’une cause accessoire. Dire que l’état du marché est tel qu
5
it trompé sur ses véritables besoins. Car cela va
bien
plus profond, cette tromperie-là. Elle peut amener, en se généralisan
6
e, je crois que l’idée fixe de produire peut très
bien
envahir un cerveau moderne au point d’en exclure toute considération
7
t. Dans le cas le plus favorable, « il se passera
bien
de cette littérature ». Plus tard, « puisqu’elle n’est pas utile, ell
8
e peu de morale nécessaire aux affaires, tout ira
bien
. (On pense que les formes de la morale peuvent exister sans leur subs
9
technique et ses conditions. Dans cette mécanique
bien
huilée, au mouvement si régulier qu’il en devient insensible et que l
10
er la liberté humaine ? C’est que l’on s’est trop
bien
assimilé les tours de la pensée scientifique. Cherchant des lois, la
11
entale, p. 695.) 8. Les humanités y trouveraient
bien
leur place : la connaissance des étymologies est l’une des garanties
12
ù renaître. Je ne sais pas aujourd’hui le livre «
bien
pensant » qui pose avec une pareille acuité le problème central de no
13
tent en jeu de gros problèmes à propos d’ouvrages
bien
minces. C’est qu’aujourd’hui le moindre chien écrasé pose toute la qu
14
u impitoyable, descriptible et sec ». Mais est-il
bien
légitime de voir dans un tel « résidu » l’essence de l’Europe, — « so
15
purement humaines ». Aux yeux du « séculariste »,
bien
entendu, la question religieuse apparaît comme périmée. Avec M. Bruns
16
rative. Le titre de l’exposition, si l’on y prend
bien
garde, éludait dans une certaine mesure la question délicate de l’exi
17
gés. Il y a là une tradition qui certainement est
bien
huguenote : elle remonte aux meubles de Boulle, aux Gobelins, aux pot
18
ra-t-on, il y a tous les sujets chrétiens ! C’est
bien
là que nous voulions en venir : le dogme ne doit être qu’un stimulant
19
t qu’aujourd’hui les masses veulent conquérir des
biens
spirituels et matériels réservés autrefois à ceux-là seuls qui, par l
20
t organiser la conquête et la distribution de ces
biens
: d’où la technique. Cette prétention des masses, légitime d’ailleurs
21
rée par les civilisations spiritualistes comme le
bien
suprême dont seuls quelques élus peuvent se rendre dignes (les brahma
22
manesques : une individualité et un milieu social
bien
défini. À ces deux éléments s’en ajoute un troisième qui est moins vi
23
is je sais que c’est beaucoup leur demander. » Eh
bien
! non, c’est au contraire décharger ces critiques d’une tâche impossi
24
rale, malgré ce que dit l’auteur dans sa préface.
Bien
plutôt, elle est l’expression concrète d’une loi divine et humaine, e
25
me le moraliste s’arroge le pouvoir de séparer le
bien
du mal parmi les actions d’autrui qu’il estime connaître. Simplement,
26
t qu’on allait à l’église le dimanche, tout était
bien
; inutile d’en demander plus. » Parlant de son pasteur préféré, la mê
27
ement portés à confondre notre bonheur avec notre
bien
, et à taxer d’immoralisme tout acte qui entraîne des ruines humaines.
28
docteur ès lettres, vient de nous donner un livre
bien
utile22. En vérité, il fallait une sorte d’intrépidité pour entrepren
29
spirent. Ce thème éthique et philosophique paraît
bien
être le plus fécond et le plus adéquat à la nature alpestre. Il conti
30
un monde revendiqué par le communisme, comme son
bien
propre. Mais il n’y a pas là de quoi nous rassurer. Si la vie de Kaga
31
mment, ils contribuent à créer leur légende. Ici,
bien
au contraire, et surtout dans le premier volume, nous assistons à l’e
32
, nul parti pris de « réalisme » littéraire, mais
bien
le signe d’une absence d’hypocrisie tout à fait insolite, et qui dans
33
vantable dans sa course. Il pensait que c’eût été
bien
agréable si le wagon entier eût été de verre. À partir de Tennoji, le
34
es philanthropiques à tous les vents ; de rentrer
bien
vite dans sa maison garnie de belles nattes et de se plonger dans ses
35
ces affaires, tu ne seras toi-même, à la fin, pas
bien
éloigné du vulgaire. » Mais au même moment une autre voix intérieure
36
e la profession de procureur devait être vraiment
bien
désagréable, puisqu’elle exigeait de celui qui s’y livrait de se fâch
37
modeste et intelligent qui est plus émouvant que
bien
des chants de victoire de « sauvés ». Une âme parfaitement consciente
38
ès lui sont possibles, en action, surtout dans le
bien
, dans la sainteté, mais toujours ils s’accompagnent d’une mesure parf
39
t assimiler christianisme et capitalisme feraient
bien
de ne pas perdre de vue cet exemple. l. Rougemont Denis de, « [Comp
40
it pas si « mauvais » qu’on l’a dit, — ou qu’il a
bien
voulu s’en donner l’air — je suis prêt à le concéder au-delà de ce qu
41
ibaudet, nous ont fait penser qu’il existe bel et
bien
un Loti vu de Genève, non pas sous la forme d’un ouvrage complet, mai
42
itique la plus moderne les confirme et les répète
bien
souvent sans les connaître. Et « le point de vue de Genève » — c’est-
43
et trouve son expression moderne dans des œuvres
bien
plus caractéristiques d’une éducation protestante ou catholique, que
44
e et nécessaire, aujourd’hui, de confesser. Aussi
bien
, la force qui nous est promise doit-elle nous rendre ce courage léger
45
ement égoïste, et par là si précaire qu’il côtoie
bien
souvent l’angoisse, ou pis encore : un sentiment d’indifférence et d’
46
e faire figure, aux yeux de beaucoup, de livres «
bien
protestants ». Je serais même tenté de dire, forçant un peu ma thèse,
47
ns notre monde tel qu’il est. Mais c’est parfois,
bien
au contraire, par leur succès et dans leur épanouissement qu’ils mani
48
tiquement acceptable ? Nous avons trop souvent et
bien
trop volontiers souffert que l’on nous attribue un moralisme tout sem
49
lité, de son insistance… Et de ce fait qui paraît
bien
la confirmer : le dessèchement distingué de notre art. Toute forme re
50
due de notre incapacité à faire par nous-mêmes le
bien
, dans l’abandon aux mains de Dieu, — aux violentes mains de Dieu.
51
Mais quoi ? Le but ne fut jamais de démolir, mais
bien
plutôt de dénoncer un principe destructeur. C’est au nom d’une foi po
52
’où naquirent les Tragiques d’un d’Aubigné. Aussi
bien
avons-nous d’autres raisons d’espérer. Car si la forme artistique adé
53
e ne puis répondre de la manière. Je suis parfois
bien
tranquille à ce sujet, parfois, quand je suis calme, très calme, et q
54
génie, c’est le sens tragique du péché. Car c’est
bien
dans le sens du péché que gît l’irréductible, c’est-à-dire le tragiqu
55
e le tragique essentiel de notre condition. C’est
bien
là que réside l’élément transcendant qui interdit à la pensée la plus
56
umain au sein d’une nature harmonieuse — et quand
bien
même il fait intervenir, à la fin, « l’amour d’En-Haut » venant à sa
57
s mêmes raisons, servir d’objet à notre jugement.
Bien
plutôt c’est lui qui nous juge. Il y a dans le Faust, et dans la vie
58
épousé une cause, une de ces causes qui engagent
bien
plus que l’adhésion des idées, une de ces causes qui doivent être gag
59
t par ailleurs les antagonismes qui la divisent —
bien
plus extrêmes que ceux qui divisèrent les précédentes — elle éprouve
60
d’action directe et de service peut porter aussi
bien
, par exemple, à militer en faveur du marxisme, philosophie antichréti
61
encore vu — tout ce que cela implique. Ils voient
bien
le vice de la « pensée désintéressée », et qu’il faut s’affranchir d’
62
dirigées vers l’organisation et l’utilisation des
biens
matériels. ⁂ Arrêtons-nous aujourd’hui à deux livres caractéristiques
63
nd il dénonce le péril d’une pensée que l’on peut
bien
appeler scolastique, pensée purement conceptuelle et dépourvue d’inté
64
eois font et comptent faire pour les hommes. Très
bien
. Nous le demandons aussi. (Nous avons même un scepticisme plus profon
65
vient de redonner une très vive nouveauté. Il est
bien
remarquable, en effet, de constater, en parcourant les catalogues de
66
e crise baigne toutes leurs activités, à un degré
bien
plus profond qu’on ne l’imagine d’ordinaire en France. En ceci, les A
67
ie que manifeste le grand public allemand. Il est
bien
naturel qu’une société qui jouit d’une relative sécurité cherche son
68
n oubliant un monde qu’on serait sûr de retrouver
bien
en place le lendemain. L’angoisse qui plane vaguement, et parfois pré
69
er, est caractérisée par une facilité foncière et
bien
décevante, sitôt écarté le voile d’obscurité purement formelle dont l
70
et pénétrer dans la bagarre universelle. Je vois
bien
le désordre et la contradiction. L’argent règne sur notre monde, comm
71
ation du sens de la révolte. L’histoire du monde,
bien
loin d’être l’histoire d’un progrès continu, nous apparaît plutôt com
72
e un vieux raisonnement que nous connaissons trop
bien
, et dont nous connaissons aussi la signification réelle. C’est l’argu
73
es actes qu’il faut, et que nous connaissons très
bien
. Trop souvent, nos maîtres nous ont fourni des méthodes d’évasion dan
74
sée. ⁂ Destin du siècle ! Expression curieuse et
bien
moderne ! Si nous y regardons de près, nous allons voir que le simple
75
, une servitude particulière, une passion qui est
bien
à lui, une vocation. Si l’on admet facilement de nos jours, qu’un siè
76
e. Les noms de ces divinités, vous les connaissez
bien
: ce sont l’État, la nation, la classe, la race, l’argent et l’opinio
77
e cette première moitié du siècle. Qu’il s’agisse
bien
là de dieux, c’est ce que nous prouvent abondamment leurs exigences,
78
Ces dieux ont même leur théologie, scientifique,
bien
entendu, et dont les deux disciplines principales sont l’Histoire et
79
estin du siècle contre destin de l’homme. Il faut
bien
reconnaître qu’en cette année 1934, l’homme se défend très mal. Et co
80
a perte ? Nos camarades marxistes ou racistes ont
bien
vu le danger. Mais ils en tirent une conclusion inattendue. Reprenant
81
aryenne, et toutes vos inquiétudes s’apaiseront.
Bien
. Mais il faut prendre garde d’abord de confondre le sacrifice et le s
82
, qu’ils sont animés par une foi constructive que
bien
des jeunes bourgeois railleurs devraient leur envier. C’est juste. Au
83
illeurs devraient leur envier. C’est juste. Aussi
bien
la question revient-elle en définitive à savoir si la foi des marxist
84
ennes, et dans ce sens, abstraites. Sur quoi peut
bien
se fonder une loi historique ? Sur ce qui a été fait. Toute loi qu’on
85
ment aux partisans attardés de Darwin, mais aussi
bien
aux partisans de Marx et de Gobineau. Il est tout à fait vrai que les
86
s aient le droit de disposer de nos vies, je suis
bien
obligé de reconnaître qu’en fait, ils nous dominent. Ne fût-ce que pa
87
on des esprits qui prélude à toute guerre moderne
bien
comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiques seraient
88
eux qui l’ont fait et qui le font encore, je vois
bien
ce qui les poussait, je vois bien ce qu’il y avait d’émouvant dans le
89
encore, je vois bien ce qui les poussait, je vois
bien
ce qu’il y avait d’émouvant dans leur élan vers une nouvelle communau
90
onnaire de l’homme en fuite devant son destin. Eh
bien
! la personne à son tour n’est rien d’autre que l’attitude créatrice
91
Or, ce prochain, l’Évangile seul nous le désigne,
bien
plus : il nous ordonne de l’être. Et voilà la réalité décisive. Tous,
92
e Dieu, qui s’appelle l’amour du prochain. Je dis
bien
: acte, et il faut insister là-dessus. Le monde s’est emparé des paro
93
se disait sans doute : aimer son prochain, c’est
bien
vague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui répondit par une p
94
ndes lois historiques et révolutionnaires peuvent
bien
nous servir de refuge, de prétextes et d’arguments au service de nos
95
ue, mais un commentateur des goûts de son public.
Bien
loin d’avoir à cœur de signaler les œuvres qui risqueraient, sans lui
96
nde. Que demander aux hommes, sinon qu’ils vivent
bien
! On se souvient de la noble réponse de ce proscrit de la Révolution
97
avait fait en exil : « J’ai vécu, Monsieur, c’est
bien
assez ! ». Ou bien le primum vivere se révèle imparfait ; il lui manq
98
t l’état des choses. Public et philosophes ont si
bien
pris l’habitude de s’ignorer, qu’on est en droit de se demander si le
99
névitablement, cette lâcheté se pare ici d’un nom
bien
sonnant, et s’appelle « patience », parfois même « vertu » sans plus
100
réserve —, il reste à voir si les causes en sont
bien
celles que Nietzsche allègue. Pour Scheler, les reproches de Nietzsch
101
ncune contre la patrie ; un pacifisme qui traduit
bien
plus la crainte de « se faire des ennemis » que la surnaturelle paix
102
erme le mot. Ces quelques lignes décrivent assez
bien
le mouvement général de la critique de Scheler. À l’origine de toutes
103
, comme Fichte l’avait vu, une haine des hommes ;
bien
plus : une révolte contre Dieu. L’homme du ressentiment, ce n’est pas
104
eul ami : « Salue tous les hommes ! Je les aimais
bien
tous… » Cela se passait à Copenhague, en l’année 1855. Depuis lors,
105
ée 1855. Depuis lors, il est vrai, les choses ont
bien
changé. On dirait même qu’elles sont au pire, mais il faut prendre ga
106
, mais la puissance du savoir en exercice. Il y a
bien
de la différence. Le savoir autonome, ou la puissance, font décorer c
107
eut dire qu’il a calculé la dépense ? Il faudrait
bien
savoir de quoi l’on parle, et ce n’est peut-être possible que si l’on
108
ivre, cette solitude première devant Dieu, est-ce
bien
cela que revendiquent les défenseurs du primat de l’esprit ? L’esprit
109
, ceux qui flétrissent le matérialisme au nom des
biens
qu’ils n’ont pas su défendre ni davantage sacrifier. Ils affirment tr
110
e fait pas le bonheur », et qu’il existe d’autres
biens
que nulle violence ne peut dérober, mais c’est une triste réponse à l
111
ulait vraiment un champion de l’esprit, on ferait
bien
d’aller le prendre parmi ceux-là pour qui l’esprit n’a pas à se défen
112
-là pour qui l’esprit n’a pas à se défendre, mais
bien
à témoigner de son incarnation ; on ferait bien d’aller à ceux pour q
113
s bien à témoigner de son incarnation ; on ferait
bien
d’aller à ceux pour qui l’esprit n’est pas une espèce de confort, mai
114
rire est le propre de l’homme, nous voici devenus
bien
inhumains ! Il semble que chacun porte le poids du monde et le sombre
115
u vitupères les sans-Dieu de Russie. Mais sais-tu
bien
de quoi tu souffres ? De ton péché ou de celui des autres ? Comique a
116
on, nous appelons le « règne de l’esprit », c’est
bien
moins dangereux ; tous en seront… « Deux questions — dit encore Kierk
117
ut leur faire faire ce qu’on veut, que ce soit le
bien
ou le mal, une seule condition leur importe : qu’ils soient toujours
118
t ce centre, c’est « la catégorie du solitaire ».
Bien
des malentendus seraient ici possibles ; que l’on écarte, au premier
119
choix, ou un moment de notre vie ? Ils en parlent
bien
aisément…) Certains des plus lucides entrevoient le péril que ces doc
120
te l’a follement rêvé ? Si c’est le cas, je reste
bien
tranquille. Ce « moi pur » ne met pas en cause mon désespoir, ou si l
121
l siècle, comme tel, ne fut jamais chrétien, mais
bien
plutôt de ce qu’elle est sans maîtres, c’est-à-dire sans martyrs pour
122
1934)y Le meilleur livre de l’année. Je crois
bien
pouvoir l’affirmer. Le roman le plus fort, le mieux fait, le plus imp
123
’idée d’un roman d’aventures. Destin allemand est
bien
, entre autres, un roman d’aventures, et même d’une intensité peu comm
124
ale et grave à la fois qui demeure dans l’esprit,
bien
après qu’on l’a lu. En vérité, ce résumé laisse à peine entrevoir le
125
lème central qu’impose ce livre, et l’on admettra
bien
, quelque opinion qu’on ait sur le point de vue strictement « allemand
126
e avenir immédiat. Mais ce Destin allemand évoque
bien
d’autres questions. Edschmid a fait le tour du monde ; il a séjourné
127
t que cette œuvre pourrait s’intituler tout aussi
bien
« La condition humaine ». C’est qu’elle éveille, en dépit de ses inte
128
t croire que cet adversaire de Hegel était encore
bien
mal purgé de ses superstitions pseudo-scientifiques ! Mais il n’impor
129
s que dis-je, cent ans ! Il faut à leur espoir de
bien
plus formidables chiffres. Ouvrez le dernier livre de M. Guéhenno67,
130
’homme la vision réaliste du péché, crée la crise
bien
davantage qu’elle n’en résulte. Ce qui résulte inévitablement d’une c
131
e pauvreté, confondu ici avec bêtise). Mais c’est
bien
là la malhonnêteté du positivisme primaire qui régna sur le siècle de
132
n’est que le “Dieu moral” qui est réfuté. Il est
bien
significatif que les fragments de Nietzsche sur la religion se termin
133
isme qui se met au service de l’humain (j’entends
bien
de l’humain purifié, « divinisé » par les efforts de la religion s’aj
134
un pamphlet, encore que son volume matériel soit
bien
écrasant pour le genre. Mais on s’aperçoit, sans tarder, que la discu
135
spute. Entraîné par sa fougue habituelle, excité (
bien
plutôt que « désarmé », comme il le dit aux premières pages) par les
136
et Luther ont fait leur temps, — que dire de Paul
bien
plus ancien ! — tous ceux qui tiennent la prédestination pour un dogm
137
par le ton de l’ouvrage. (Nous ne savons que trop
bien
, nous modernes, séparer le fond de la forme ; admirer l’une quand nou
138
(comme dirait le jargon d’aujourd’hui), tout est
bien
fait, dans ce Traité, pour heurter de front le lecteur incroyant, ou
139
de considération psychologique. (Un tel homme est
bien
trop vivant pour faire de la psychologie ; trop engagé dans le réel p
140
ramenée à quelque influence inconsciente, encore
bien
moins à une coïncidence. En vérité, c’est bien du même problème qu’il
141
re bien moins à une coïncidence. En vérité, c’est
bien
du même problème qu’il s’agit. Le seul problème, dès qu’on en vient à
142
le vide est absolu, plus l’appel est puissant. À
bien
des égards même, l’étatisme ne fait qu’achever le processus de dissol
143
des temps. Et cependant, elles constituent bel et
bien
les germes d’une société véritable. Elles ont leur organisation socia
144
et la réalité sociale qu’il désigne, sont bel et
bien
des créations chrétiennes, ou pour mieux dire, des créations de l’Égl
145
te foi seule demeure, elle sera suffisante. Aussi
bien
, certaines raisons de croire que l’Église peut agir, raisons que nous
146
ions pas nés. Ils meurent encore de faim, mais en
bien
plus grand nombre — c’est un résultat du Progrès — cependant que l’on
147
te dans la problématique de notre temps. Et voilà
bien
pourquoi plusieurs hommes politiques, dont quatre ou cinq du premier
148
ls sont à se maintenir au pouvoir. Ils voudraient
bien
agir dans le sens de mon plan, mais s’ils en montraient l’intention,
149
e « pollution », notez cela ! — Si je comprends
bien
, vous n’avez avec vous ni les gouvernements ni les partis, ni la gran
150
leur dispute ce nom, ils assurent la fonction. Et
bien
plus, par leurs luttes contre la pollution et les centrales nucléaire
151
toute dénonciation d’un facteur de danger mortel,
bien
avéré, mais qui rapporte. Je disais cela dans mon jardin du pays de G
152
e éprouve le besoin de mesures propres à faire le
bien
. Saint-Just ajoutait : Ce qui produit le bien général est toujours
153
e bien. Saint-Just ajoutait : Ce qui produit le
bien
général est toujours terrible, ou paraît bizarre lorsque l’on commenc
154
au pire si nous restons aussi mauvais, et quelque
bien
si nous devenons meilleurs, obéissant mieux à notre vocation dans la
155
la Raison d’État, quand il tombe de l’ordinateur
bien
programmé ? Puissance ou Liberté, qui tranchera ? Entre le besoin de