1 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
1 mi les peuples germaniques, où son prestige ne le cède aujourd’hui qu’à l’idéal anglo-saxon du gentleman. Le rabais est nota
2 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
2 nt » dans nos Lettres, n’était-ce point, d’abord, céder à la tentation d’un nationalisme religieux plus injustifiable que l’a
3 te quant à l’homme, mais confiante dans la grâce, cède le champ aux idées de Rousseau, optimistes quant à l’homme et pratiqu
3 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
4 de grands troubles et d’insécurité. Lorsque tout cède , on se cramponne à l’illusion de l’au-delà. Parfaitement valable pou
4 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
5 vertes. Elle ne peut embrasser une orthodoxie qui céderait consciemment à la tentation unitaire, c’est-à-dire qui tendrait à se