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st qu’il l’ait trompé sur ses véritables besoins.
Car
cela va bien plus profond, cette tromperie-là. Elle peut amener, en s
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eux-mêmes dans un monde fordisé, des anarchistes.
Car
l’Esprit n’est pas un luxe, n’est pas une faculté destinée à amuser n
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e pas l’égalité de droit de ces deux disciplines.
Car
la science à peine libérée, demande la tête de la métaphysique. Elle
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ttitude paralléliste. 6. J’exagère probablement,
car
la sincérité de ce néo-scientisme tempéré — sinon vraiment converti —
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. D’ailleurs, il ne veut pas poétiser le tableau,
car
, pour lui, « être poétique, c’est avoir besoin d’illusions ». Je sout
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économique qui paraît de plus en plus impossible,
car
elle équivaudrait à une transformation radicale des conditions matéri
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t pour qu’une réponse valable pût être esquissée.
Car
, avouons-le, du fait même de la nouveauté que représentait une telle
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t seront conditionnés par un renouveau doctrinal.
Car
, et c’est un paradoxe qui n’étonnera pas ceux que le problème de la c
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ui rende aux valeurs spirituelles leur primauté :
car
c’est à cette condition seulement que la vie humaine gardera sa signi
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e décharger ces critiques d’une tâche impossible.
Car
toute la valeur de l’œuvre de Baring réside dans sa durée, dans son a
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tait là choisir un sujet inévitablement tragique.
Car
si l’histoire de l’ascension d’un caractère, d’une volonté, d’une âme
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e. Seule épreuve qui permette de nous en libérer.
Car
au-dessus des fatalités humaines, ce qui compte chez les personnages
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t être pris ici qu’au sens le plus conventionnel.
Car
à une tante anglaise qui lui exprime l’espoir que sa vie à l’étranger
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directement de Dieu que Dieu est le plus absent.
Car
nous y sommes à chaque page incités à juger, induits en tentation, in
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ir la thèse. Il eût pu s’en dispenser d’ailleurs,
car
en définitive la conversion de son héroïne nous paraît être à tel poi
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ent. Je vous demande seulement de prier pour moi,
car
j’ai parfois la sensation que ma misère est plus que je ne peux suppo
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le action ; sans crainte et sans vanité non plus,
car
son œuvre écrite n’est encore qu’un moyen de servir et d’agir. C’est
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l’empêche pas de les reprendre ensuite, chez lui,
car
il professe avec fanatisme la non-résistance au mal. Bientôt il prend
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ureurs dans le monde des moineaux. Il se taisait,
car
il savait qu’il était inutile de dire quoi que ce soit à cet homme en
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discute », c’est irritant, vain et irréductible.
Car
la question sociale n’admet peut-être de solution que personnelle. Il
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où d’autres triompheraient, il met une sourdine.
Car
il sait que la modestie est la vertu de choix du classicisme. Et qu’i
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ile de loyauté à des fins rien moins que grandes.
Car
l’excès même de ces scrupules les fait tourner soudain, les fait cail
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dace de conclusions en toute logique inévitables.
Car
ce qui naît de l’Évangile n’a de sens que par le jaillissement vers D
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les dans un tel univers. Suppression du tragique.
Car
le tragique naît dans une âme qui s’efforce vers l’unité, vers l’unif
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ture même de ses romans est un indice révélateur,
car
quoi qu’on dise de la différence entre la vie et le roman, la composi
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lique, que d’une inspiration vraiment chrétienne.
Car
c’est à juste titre, croyons-nous, qu’on put écrire de Saint-Saturnin
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rer celles-ci comme leur accusation perpétuelle ?
Car
la vraie question qu’elles posent, chrétiennement, c’est de savoir si
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vrai que ceux-ci sont souvent les plus éclatants.
Car
un système politique, une doctrine, une éthique, s’ils s’abandonnent
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en quoi elle révèle la faiblesse de sa théologie.
Car
il est certains cas où celui qui craint de dire toute la vérité n’exp
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Aussi bien avons-nous d’autres raisons d’espérer.
Car
si la forme artistique adéquate au libéralisme fut l’analyse d’états
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est une légende, et une légende d’origine juive,
car
elle remonte à Heine. Elle est un mythe, au moyen duquel on peut fair
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faut à ce génie, c’est le sens tragique du péché.
Car
c’est bien dans le sens du péché que gît l’irréductible, c’est-à-dire
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que la Parole de Dieu désigne comme une lâcheté.
Car
en présence de l’athéisme militant, nous n’avons plus à prouver vaine
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sement ». Mais les marxistes n’y échapperont pas.
Car
celui qui refuse de penser le péché, refuse d’envisager l’ultime et l
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ligence ? Oui, mais non pas à l’intellectualisme.
Car
, — et j’espère que le lecteur m’aura compris — ce n’est plus de jeux
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r anneau de la chaîne de notre destin. Abrégeons,
car
, avec l’argent nous n’en finirions pas. L’argent est partout, il est
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r au bénéfice des auteurs réputés « difficiles ».
Car
les autres s’en passent fort bien. Or, c’est exactement le contraire
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vivere, deinde philosophari. Cynisme ou naïveté ?
Car
il est évident que cette phrase, en fait, supprime toute philosophie.
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a bourgeoisie, et le peuple à sa suite, révèrent.
Car
elle seule, si toutefois elle reste digne de sa charge, elle seule n’
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nger », et parfois même le pardon des offenses («
car
ils ne savent ce qu’ils font — nous seuls savons ce qu’ils font »). O
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Et quels titres à l’existence vient-il produire ?
Car
il est excellent de défendre son moi, surtout lorsqu’il détient plus
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t plus forte, dans son humilité et devant Dieu, —
car
c’est la foi, — que les discours des réalistes et l’enthousiasme popu
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ortable à la présence dans ce temps de l’éternel.
Car
il ne suffit pas d’applaudir à ses thèses pour apaiser ce regard qui
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pendant que les discours en l’honneur du progrès,
car
tout l’honneur de notre temps sera peut-être, par une compensation my
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elque passage qui dise le contraire d’un autre. »
Car
l’apparence de la contradiction nous oblige à choisir, fait à la foi
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mais d’une révolte, en fin de compte, imaginaire.
Car
l’ordre de ce monde est lui-même en révolte contre l’ordre reçu de Di
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que homme devant la responsabilité de son acte. «
Car
une foule est une abstraction, qui n’a pas de mains, mais chaque homm
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uvernent les vivants. » Hypothèque sur le passé !
Car
si les morts gouvernent les vivants, c’est que nul vivant n’ose vivre
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ne provient pas de ce qu’elle est « sans Dieu »,
car
nul siècle, comme tel, ne fut jamais chrétien, mais bien plutôt de ce
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instruire l’armée bolivienne, mais sans contrat,
car
le traité de Versailles interdit à la Bolivie d’utiliser les services
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qui sont entrés dans le malheur la tête haute ».
Car
ce sont « les jeunes gens, qui ne possédaient rien, qui ont écrit les
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là deviendront sûrement un matériel incomparable.
Car
, voyez-vous, Bell… rien ne rend aussi dur et aussi ardent que le malh
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Providence, mais surtout une négation de la foi ?
Car
la foi est, selon Kierkegaard, cette opération paradoxale qui nous re
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ues de Nietzsche — et jusque dans leur injustice,
car
il y a une manière « injuste » de dire des choses vraies en soi —, el
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is dans le sens contraire de celui qu’on imagine.
Car
, on fait pis que de l’ignorer et même que de le méconnaître : on prét
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ne fût-ce que sur le plan de la culture générale.
Car
, ignorer ou méconnaître Luther, c’est ignorer ou méconnaître un des d
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ensée d’un homme qui veut croire…) Dialogue
Car
Dieu peut tout à tout instant. C’est là la santé de la foi. Kierkega
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rne. — Selon Luther, nous n’avons aucune liberté,
car
en réalité, Dieu a tout prévu, et rien n’arrive que selon sa prévisio
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solue de nos actions passées, présentes, futures,
car
elles sont dans le temps, Dieu dans l’Éternité qui est avant le temps
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omplètement et les rend vaines en fin de compte :
car
je sens, malgré tout, que je les fais librement, et tu viens me dire
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ieu, de ce qu’il décide ou de ce qu’il décidera ?
Car
l’Éternel ne connaît pas de « temps », il n’est pas lié comme nous à
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e, humainement vérifiable, assurée et définitive.
Car
c’est précisément cette utopie qui a produit les schismes et les oppo
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ontrôlable. C’est la formule même de la tyrannie.
Car
, contre un principe d’unité immanent, mais pratiquement puis théoriqu
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le, revient à disposer humainement des Écritures.
Car
aussitôt que le principe d’unité apparaît humainement vérifiable, l’o
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ance » libérale à base d’indifférence dogmatique.
Car
l’harmonie des membres n’est pas une tolérance, mais une nécessité vi
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la réalité de l’homme dans un monde christianisé.
Car
cet homme est, lui aussi, à la fois autonome et en relation. Ainsi, l
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le groupe local que la personne peut se réaliser.
Car
les tâches civiques y sont à l’échelle de l’individu et l’engagement
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uménisme, j’entends avec toutes ses conséquences.
Car
la foi sans les œuvres n’est pas la foi. Note. — On s’étonnera peu
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s étatisé ; je ne dis même pas de « révolution ».
Car
pour qu’une révolution se déclenche, il faut une vision, une doctrine
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des seuls moyens de s’en tirer sans catastrophes.
Car
s’il est vrai que l’Europe est responsable de la plupart des maux qui
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rter — de toute façon, ce sera tout autre chose —
car
je n’écris ceci que pour mieux disposer quelques esprits à désirer, v
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enir meilleur qui ne passe par un homme meilleur.
Car
il arrivera… ce que nous sommes. Et quoi d’autre peut-il arriver ? Et
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ne seule réponse possible et c’est : — Toi-même !
Car
il arrivera ce que nous sommes : du mal au pire si nous restons aussi