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nsi longtemps encore. On se refuse à l’idée d’une
catastrophe
, pourtant plus que probable, par crainte de se voir obligé à la révis
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le contredisent. Ceci entraîne cela — bonheur ou
catastrophe
— non parce que c’est mal ou bien, mais en vertu d’une loi organique,
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erre. On pourrait aussi supposer que la leçon des
catastrophes
dictatoriales va réveiller quelques chrétiens. Leur office n’est-il p
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si d’abord il est obéissance ? Ce ne sont pas les
catastrophes
qui devraient effrayer le chrétien, mais le risque plus immédiat de f
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e tiers-monde des seuls moyens de s’en tirer sans
catastrophes
. Car s’il est vrai que l’Europe est responsable de la plupart des mau
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lité elle-même qui va recourir à la pédagogie des
catastrophes
. Je ne vois rien de plus probable. Je ne prédirai rien d’autre comme
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d’autre comme certain. Je sens venir une série de
catastrophes
organisées par nos soins diligents quoique inconscients. Si elles son
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u’il en tira pour quelques semaines, de nouvelles
catastrophes
s’organisent dans l’ombre : « excursions » nucléaires, déchaînements
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’évolution, qui peut faciliter ce changement. Les
catastrophes
n’apprendront rien à ceux qui n’ont pas vu où il faut aller, et donc
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, 1934. ad. Rougemont Denis de, « Pédagogie des
catastrophes
», Foi et Vie, Paris, avril 1977, p. 145-155. ae. Une note précise :