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s machines couvre déjà la plainte humaine. Il y a
ceux
qui pleurent le passé et ceux qui prophétisent, ceux qui jettent une
2
nte humaine. Il y a ceux qui pleurent le passé et
ceux
qui prophétisent, ceux qui jettent une imprécation stérile et magnifi
3
x qui pleurent le passé et ceux qui prophétisent,
ceux
qui jettent une imprécation stérile et magnifique contre l’époque et
4
récation stérile et magnifique contre l’époque et
ceux
qui cherchent à l’oublier dans le rêve, dans l’utopie, dans une belle
5
nnée en année. On pourrait ajouter à ces chiffres
celui
des milliards qu’il possède, ou plutôt qu’il gère, mais ce n’est pour
6
II. M. Ford a ses idées, ou la philosophie de
ceux
qui n’en veulent pas Nous avons dit tout à l’heure quel fut le but
7
il prétend ramener le bénéfice de la production à
celui
du consommateur. Prenons cette petite phrase qui n’a l’air de rien :
8
. Tel est ce sophisme, le paradoxe du bon marché.
Celui
de la réclame a même but, mêmes effets. Mais le plus grave est peut-ê
9
dhésion du gros public : telle est l’idéologie de
celui
que M. Cambon, dans sa préface, égale aux plus grands esprits de tous
10
pourrait appeler le plus actif du monde, l’un de
ceux
qui influent le plus sur notre civilisation, possède la philosophie l
11
des valeurs, la plus difficile et la plus grave :
celle
qu’on ne peut faire qu’au nom de l’Esprit et de ses exigences. Mais l
12
ves ; et ces exigences sont en contradiction avec
celles
que le développement de la technique impose au monde moderne. Ces êtr
13
érir. Il se prépare déjà des révoltes terribles4,
celles
d’un mysticisme exaspéré, devenu presque fou dans sa prison. Les inte
14
ette et à laquelle tout humanisme paraît enclin :
celle
de créer un modèle de l’homme. Peut-être a-t-il existé un modèle gréc
15
Toute décadence invente un syncrétisme. Rome eut
celui
des dieux ; nous aurons celui des races de la Terre. Non plus une foi
16
ncrétisme. Rome eut celui des dieux ; nous aurons
celui
des races de la Terre. Non plus une foi commune, mais une moyenne de
17
ce Garine, en effet, ressemblait singulièrement à
celle
que M. Malraux venait justement d’exposer dans un petit ouvrage aigu
18
lui-même. Je suis tenté de dire : son moi idéal,
celui
auquel il donne sa plus profonde et intime adhésion. Nous avons tous
19
ement sécularistes : la philosophie des lumières,
celle
de la technique, celle du primat de la Vie. Ce lui est une occasion d
20
philosophie des lumières, celle de la technique,
celle
du primat de la Vie. Ce lui est une occasion de réduire à ses justes
21
icative qu’ils touchent des problèmes identiques,
celui
de la puissance de l’homme, celui de la valeur de son action, celui,
22
mes identiques, celui de la puissance de l’homme,
celui
de la valeur de son action, celui, en somme, de l’imperfection du mon
23
nce de l’homme, celui de la valeur de son action,
celui
, en somme, de l’imperfection du monde. Je pense que tout chrétien con
24
i radical soit-il. Un pessimisme aussi féroce que
celui
de MM. Malraux, Nizan, etc., ne laisse plus subsister assez d’idéal p
25
nouvel humanisme, à laquelle nous renvoyons tous
ceux
qu’aura passionné l’enquête de M. Paul Arbousse-Bastide publiée par
26
nal. Car, et c’est un paradoxe qui n’étonnera pas
ceux
que le problème de la création intéresse, l’artiste a besoin plus que
27
er nos âmes au contact de réalités plus pures que
celles
de la vie courante, on peut dire que les romans « mondains » de Barin
28
ce n’est pas le tragique d’une condamnation, mais
celui
, combien plus amer et noble, du consentement aux lois de la vie. Seul
29
t sans jamais aucune excentricité. » Elle appelle
ceux
qui passent à l’Église romaine des « pervertis » : « Nous en avons eu
30
isif, viennent apporter ce dur message à l’âme de
celle
qui demandait d’être apaisée. Admirables dialogues, déchirants et tri
31
i les chefs-d’œuvre de la littérature religieuse.
Celui
de La Princesse Blanche 20 donne sans aucun doute l’accord le plus p
32
ires bons sauvages. Et pour la grande majorité de
ceux
qui, après lui, feront intervenir la montagne dans leurs œuvres, elle
33
nde. À vrai dire, nous quittons la littérature. «
Celui
qui sait respirer l’atmosphère de mon œuvre sait que c’est une atmosp
34
la première fois, le ton des hauteurs, le ton de
celui
qui les a conquises, physiquement aussi. Toute l’œuvre de Nietzsche e
35
ment abandonné à une doctrine de haine le sort de
ceux
que le Christ aima, parce que leur dénuement était ce qu’il y avait a
36
, en Angleterre, en Allemagne, et en France, sous
celui
d’Avant l’Aube, est un des livres les plus significatifs de ce temps.
37
ndial, ni que nous ignorions que notre siècle est
celui
des meneurs. Mais le rare, c’est qu’un de ces meneurs écrive un livre
38
nue trop rapide suppose une cécité partielle chez
ceux
qui s’y livrent, une incapacité organique à situer leur effort dans u
39
exemple. Que l’on songe à l’œuvre d’un Ford, ou à
celle
de presque tous nos hommes d’État. Le privilège admirable de Kagawa,
40
raiment bien désagréable, puisqu’elle exigeait de
celui
qui s’y livrait de se fâcher, de se poser comme juste et de juger ses
41
nse-t-il de chercher d’autres solutions ? Quant à
ceux
qui acceptent d’étudier à fond ces problèmes, ils ne les rendent, en
42
?) — ni même vivants — (ils le devraient.). Pour
celui
qui referme le livre de Kagawa, une certitude s’impose. Je la formule
43
e immédiate et par conséquent plus troublante que
celle
qu’impose n’importe quelle attitude politique. Aux yeux d’un incroyan
44
umaine, — cela ne saurait être sans fruits. 24.
Ceux
qui veulent assimiler christianisme et capitalisme feraient bien de n
45
i-même se révèle dépourvu dans une mesure qui est
celle
, exactement, de son art, — considérable. Art de ruses, de pondération
46
uses, de pondérations et de nuances sarcastiques (
celles
du serpent qui charme à froid) — art qui tout ensemble se définit et
47
es effets n’est plus qu’une impudeur raffinée. «
Celui
qui veut sauver sa vie la perdra, mais celui qui veut la perdre la re
48
. « Celui qui veut sauver sa vie la perdra, mais
celui
qui veut la perdre la rendra vraiment vivante », répète inlassablemen
49
te », répète inlassablement M. Gide25. Seulement,
celui
qui, de propos délibéré, veut perdre sa vie, et non pas pour Christ,
50
r. 25. Remarquons le tour qu’il adopte : « mais
celui
qui veut la perdre… » n. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] André
51
t que les jugements d’un Vinet sur le romantisme,
ceux
d’un Frommel sur les écrivains qu’il appelle « positivistes » restent
52
c’est-à-dire protestant — nous paraît avoir doué
ceux
qui le professèrent (en dépit de certain défaut de sympathie avec leu
53
ires ? Ne doivent-ils pas au contraire considérer
celles
-ci comme leur accusation perpétuelle ? Car la vraie question qu’elles
54
la faiblesse d’un compromis foncier. Le fort est
celui
qui refuse la louange approximative. Nous ne saurions assez nous gard
55
l’on nous attribue un moralisme tout semblable à
celui
des athées, — au lieu qu’il eût fallu du premier coup le dénoncer, co
56
lesse de sa théologie. Car il est certains cas où
celui
qui craint de dire toute la vérité n’exprime par là rien d’autre que
57
, si l’humanité ne possédait d’autres recours que
ceux
qu’elle peut imaginer en dehors de la grâce, c’est-à-dire la police d
58
ensibilité si authentiquement évangélique — comme
celle
d’une Lagerlöf — se lier d’amitiés spirituelles avec Charles Dickens,
59
gonismes qui la divisent — bien plus extrêmes que
ceux
qui divisèrent les précédentes — elle éprouve son unité, elle connaît
60
à des millions de nos contemporains. Il y a aussi
ceux
qui se bornent à affirmer la nécessité d’une pensée active, mais qui
61
ns. Il paraît supposer une rénovation intérieure,
celle
précisément que postule le christianisme. Mais c’est en vain que le l
62
e ; il adopte enfin une position assez voisine de
celle
de MM. Aron et Dandieu, sans aller jusqu’à prôner comme ils le font «
63
t être le marteau du constructeur, aussi bien que
celui
du démolisseur. ⁂ M. Paul Nizan, lui, critique moins à coups de marte
64
Il n’y a point de questions plus grossières que
celles
qui sont posées ici, qui sont retournées ici. La philosophie présente
65
r là même sous le coup d’une critique semblable à
celle
que M. Nizan adresse à M. Brunschvicg. L’homme en général, même si on
66
nt ». Mais les marxistes n’y échapperont pas. Car
celui
qui refuse de penser le péché, refuse d’envisager l’ultime et le plus
67
rent pas les moins corrompues de l’histoire, mais
celles
où la corruption permanente fut ouvertement reconnue, dénoncée et bat
68
s, plus intelligents et plus logiques surtout que
ceux
des fascistes et racistes. Prenez le dernier article de Trotski contr
69
ez votre cher petit moi, fondez votre destin dans
celui
du prolétariat ou de la race aryenne, et toutes vos inquiétudes s’apa
70
s uns et les autres. Ma théorie est la suivante :
ceux
qui pensent que l’homme descend du singe, descendent en effet du sing
71
diviser, ni abdiquer sous leur implacable destin.
Ceux
qui l’ont fait et qui le font encore, je vois bien ce qui les poussai
72
’homme, j’ai essayé de vous montrer l’attitude de
celui
qui se réfugie dans l’Histoire42, qui pense par périodes séculaires,
73
apport primitif, le rapport véritablement humain,
celui
qui unit l’homme à son prochain. Or, ce prochain, l’Évangile seul nou
74
sentimental… Jésus lui répondit par une parabole,
celle
du Bon Samaritain. Et le docteur de la loi découvrit cette vérité que
75
pas pu lui faire comprendre : le prochain, c’est
celui
qui exerce, en actes, la miséricorde. Cet acte, en chacun de nous, pe
76
qu’il faut attribuer autant aux philosophes qu’à
ceux
qui ne les lisent plus. Le public se figure que la philosophie est un
77
raintive bassesse, « humilité » ; la soumission à
ceux
qu’on hait, « obéissance » (c’est-à-dire l’obéissance à quelqu’un don
78
rve —, il reste à voir si les causes en sont bien
celles
que Nietzsche allègue. Pour Scheler, les reproches de Nietzsche s’adr
79
l’amour : ainsi l’amour de la patrie passe avant
celui
du prochain, l’amour du genre humain avant celui de la patrie.) Cet h
80
celui du prochain, l’amour du genre humain avant
celui
de la patrie.) Cet humanitarisme entraîne toute une série de perversi
81
que la surnaturelle paix annoncée par le Christ à
ceux
qui luttent (dans leurs luttes et au-dessus d’elles) ; un égalitarism
82
port au Journal métaphysique. M. Marcel est un de
ceux
dont nous devons attendre qu’il fasse passer de l’air dans la philoso
83
er de l’air dans la philosophie française ; un de
ceux
pour lesquels philosopher ne figure pas l’activité de ceux qui n’en v
84
lesquels philosopher ne figure pas l’activité de
ceux
qui n’en veulent point avoir. Son essai manifeste une volonté très ne
85
que les problèmes débattus dans ce livre sont de
ceux
qui se posent ; non point de ceux que l’on se plaît à poser gratuitem
86
e livre sont de ceux qui se posent ; non point de
ceux
que l’on se plaît à poser gratuitement pour esquiver les choix concre
87
Le savoir autonome, ou la puissance, font décorer
celui
qui les détient, mais l’exercice effectif du savoir peut fort bien le
88
et risque. Et l’on peut douter qu’ils y croient,
ceux
qui flétrissent le matérialisme au nom des biens qu’ils n’ont pas su
89
ner de son incarnation ; on ferait bien d’aller à
ceux
pour qui l’esprit n’est pas une espèce de confort, mais une aventure
90
ourne son aiguillon contre le « monde chrétien »,
celui
qui se réclame de l’esprit, ou qui fait profession de l’appeler. « Le
91
des consolations et encore des consolations pour
ceux
qui souffrent à cause du Christ. Il suppose, sans autre, que le chrét
92
-tu bien de quoi tu souffres ? De ton péché ou de
celui
des autres ? Comique amer et infini de ce « croyant » qui tremble pou
93
dans le troupeau. Le solitaire devant Dieu, c’est
celui
qui répond à la foi, cet appel. Quand on parle de romantisme, d’anarc
94
, dit saint Paul. Le solitaire devant Dieu, c’est
celui
qui se tient à l’origine de sa réalité. Celui-là seul connaît sa fin
95
rcboute toujours contre ce qui la suscite.58 » Et
celui
qui recourt à son moi révolté contre les forces d’anéantissement, s’a
96
rait dire qui l’avait fait ou qui avait commencé,
celles
-là l’auraient eu, ce courage ! Ô mensonge ! » La foule n’est rien que
97
ces deux mains sur Marius, ce sont ses mains, non
celles
de son voisin et non celles de la foule qui n’a pas de mains. » Tout
98
e sont ses mains, non celles de son voisin et non
celles
de la foule qui n’a pas de mains. » Tout seul en face du Christ, un h
99
’autre part, l’acte du « solitaire » n’est pas de
ceux
dont nous ayons à développer les conséquences. Ou bien il est, et c’e
100
plus fort, le mieux fait, le plus impressionnant,
celui
qui apporte le plus de nouveauté, d’humanité, de grandeur. J’ai d’aut
101
. Ils retrouvent un de leurs compagnons du début,
celui
qui était parti pour le Venezuela, et qui a subi, lui aussi, des empr
102
à peine entrevoir le véritable sujet de l’œuvre,
celui
que désigne le titre. Ces six hommes63 ont été chassés de leur pays p
103
66. Ce qui est certain, c’est qu’un choix tel que
celui
qu’on vient de nous donner, nous restitue la totalité des thèmes de l
104
sous une forme souvent beaucoup plus directe que
celle
qu’adopta Nietzsche dans les écrits qu’il fit paraître. On ne saurait
105
n. La foi est toujours une seconde dentition. Et
celui
qui n’est pas mort une bonne fois aux « croyances » héritées sans exa
106
toujours étonné de voir un esprit de la trempe de
celui
de Nietzsche se livrer à d’aussi grossières confusions (pauvreté en e
107
e serait exagérer, mais dans le sens contraire de
celui
qu’on imagine. Car, on fait pis que de l’ignorer et même que de le mé
108
ou mieux : dans la totalité de l’être, revient à
celle
d’un christianisme qui se met au service de l’humain (j’entends bien
109
isé » par les efforts de la religion s’ajoutant à
ceux
de la raison), et d’un christianisme absolu, qu’on déclare volontiers
110
violents n’ébranlent plus que le « vieil homme »,
celui
qu’il nous faut dépouiller. « Folie pour les sages » Mais il s’
111
mps, — que dire de Paul bien plus ancien ! — tous
ceux
qui tiennent la prédestination pour un dogme immoral ou périmé ; ceux
112
prédestination pour un dogme immoral ou périmé ;
ceux
qui traduisent : « Paix sur la terre aux hommes que Dieu agrée », par
113
é, pour heurter de front le lecteur incroyant, ou
celui
qui ne partage pas la foi de Paul et des apôtres. D’abord, le langage
114
n lui seul, la liberté. Mais cela n’apparaît qu’à
celui
qui ose aller jusqu’aux extrêmes de la connaissance de soi-même et de
115
ple absurdité. Mais alors, on peut se demander si
ceux
qui refusent le christianisme échappent vraiment à la difficulté ; ou
116
emme qui me paraît correspondre, terme à terme, à
celui
que Luther et Paul — et l’Évangile — posent à notre foi. C’est qu’il
117
réatrice. Les hommes qui ont fait l’histoire sont
ceux
qui avaient une vision passionnée de leur but et qui ont su plier les
118
cuse le schématisme des pages qui suivent : c’est
celui
d’un plan de travail, d’un sommaire. Certains conflits permanents de
119
le formée de communautés locales ou « cellules ».
Celles
-ci ne se fondent pas sur le passé ou sur des origines communes : « Il
120
philosophie de la personne, elle sera normalement
celle
du bon citoyen d’une fédération. La devise paradoxale du fédéralisme
121
end faire coïncider les frontières de l’État avec
celles
de toutes les activités sociales, spirituelles ou privées — ce qui es
122
Ils opposent également à la notion d’unité rigide
celle
de communion ; à l’Empire, le Commonwealth ; à l’ordre unitaire et gé
123
leur chef, elles savent qu’il règne et crée pour
ceux
qui croient la possibilité de faire ce qu’il demande. Dans l’état d’i
124
end les vraies formules de la communauté vivante,
celle
qui rassemble les personnes, et non pas celle qui fond, en une masse
125
te, celle qui rassemble les personnes, et non pas
celle
qui fond, en une masse informe et grossièrement encadrée, les individ
126
surtout pour mieux s’en libérer. Ils choisissent
celle
qui les a dominés, mais c’est choisir aussi celle qui les a perdus !
127
celle qui les a dominés, mais c’est choisir aussi
celle
qui les a perdus ! Je leur propose l’Europe des régions, comme offran
128
par la nôtre : ni le consensus des meilleurs, ni
celui
du grand nombre ; ni l’amour pieux ou gouailleur du peuple, ni le dév
129
e. Que cette raison est faible, comparée à toutes
celles
qui annoncent le contraire, particulièrement à celle-ci : qu’est-ce q
130
rs de mouvements sont à l’œuvre. Au premier rang,
ceux
des écologistes. On leur dispute ce nom, ils assurent la fonction. Et
131
le succès ! Attitude qui n’est pas différente de
celle
que j’annonçais dans ma jeunesse sous le titre de « politique du pess
132
changement. Les catastrophes n’apprendront rien à
ceux
qui n’ont pas vu où il faut aller, et donc n’en cherchent pas les voi
133
ne sait pas où il va », disait Sénèque. Mais pour
celui
qui sait, tout est possible tant qu’un vent souffle, même contraire.
134
substance des choses espérées, ferme assurance de
celles
qu’on ne voit pas ». Mais à l’aide d’appareils scientifiques, on ne p
135
astre probable ou précisément calculé, et d’abord
celui
d’être tous des seuls en masse, il vous reste à vous convertir, à fai
136
ette génération ne recevra pas d’autre oracle que
celui
d’Isaïe à Séir, c’est de lui qu’elle devra tirer son espoir et sa rés