1
pçonne, par éclairs, qu’il y avait peut-être dans
ces
buts une absurdité fondamentale. L’infaillible progrès aurait-il fait
2
présent », dit‑il. Le plus mémorable événement de
ces
années de jeunesse, son « chemin de Damas » (comme il dit sans qu’on
3
oduction, d’année en année. On pourrait ajouter à
ces
chiffres celui des milliards qu’il possède, ou plutôt qu’il gère, mai
4
nts de loisir, il a des exigences effectives ; et
ces
exigences sont en contradiction avec celles que le développement de l
5
oppement de la technique impose au monde moderne.
Ces
êtres, d’une espèce de plus en plus rare, qui savent encore quelque c
6
otre esprit ne comporte pas l’égalité de droit de
ces
deux disciplines. Car la science à peine libérée, demande la tête de
7
en, dans ses conversations, fait parfois penser à
ces
gens — on en rencontre dans les affaires — qui se donnent une espèce
8
qu’il n’y en a pas. Perken, comme Garine, est de
ces
êtres qui agissent par désespoir, parce que l’action, à tout prendre,
9
es portraits des meilleurs peintres ressemblent à
ces
peintres sous les traits du modèle. Cet air de famille qu’ont tous le
10
ssent aussi « fausses » que l’effort désespéré de
ces
conquérants de désert. 9. Chez Grasset. 10. La Voie royale n’est
11
s des gens qui ont une mission urgente à remplir.
Ces
quelques remarques nous placent sous l’angle qu’il faut pour situer l
12
ais volontiers le contraire, mais M. Nizan est de
ces
gens, si nombreux aujourd’hui (Freud, etc.), qui croient que le pire
13
de tous les dieux blancs se sont mis à convertir
ces
idolâtres, ces fétichistes, à leur parler de Luther et de la Vierge d
14
eux blancs se sont mis à convertir ces idolâtres,
ces
fétichistes, à leur parler de Luther et de la Vierge de Lourdes, à le
15
ur liberté. Mais pourquoi dira-t-on, s’arrêter à
ces
cris d’une révolte égarée par la haine ? C’est qu’ils caractérisent u
16
dérations psychologiques ou même sociologiques de
ces
survivances chez l’astronome, il nous interdira formellement de procé
17
t parce qu’ils nous parlent, nous avons demandé à
ces
artistes de venir dans notre cercle. Héritiers du plus grand affranch
18
s ». Mais cela n’empêche pas de rechercher ce que
ces
artistes peuvent avoir de commun, ce qu’ils doivent à leur origine ou
19
nt à leur origine ou à leur foi réformée, — et si
ces
traits ne constituent pas, en définitive, les éléments d’un art prote
20
s : qu’y a-t-il de spécifiquement protestant chez
ces
peintres ? — Certaines rigidités, pensez-vous, certaines austérités d
21
n de la rue de Vaugirard nous invite à renoncer à
ces
clichés. Pas de trace de « puritanisme » chez des artistes si différe
22
faut organiser la conquête et la distribution de
ces
biens : d’où la technique. Cette prétention des masses, légitime d’ai
23
méfiance systématique du voisin inévitable. Mais
ces
anomalies très graves ne sont peut-être que transitoires, ajoute Keys
24
individualité et un milieu social bien défini. À
ces
deux éléments s’en ajoute un troisième qui est moins visible, mais do
25
er. » Eh bien ! non, c’est au contraire décharger
ces
critiques d’une tâche impossible. Car toute la valeur de l’œuvre de B
26
récit se ralentit, au contraire, fâcheusement en
ces
pages — et qui s’explique si l’on a lu la phrase par quoi se termine
27
argées ici de représenter deux églises anglaises.
Ces
deux respectables ladies, qui ne jouent pas d’autre rôle dans l’histo
28
chant une sécurité intérieure, ne trouve pas dans
ces
indignations sentimentales la réponse aux premiers troubles que la gr
29
lenteur des choses ». C’est qu’il a pénétré dans
ces
solitudes que les autres contemplaient d’en bas ; non pas en curieux
30
ts, qu’écrira-t-il ? — Shelley : « L’immensité de
ces
sommets aériens excite, lorsqu’ils frappent la vue, un sentiment d’ex
31
ts, aux mille bruits. » Ce n’est plus l’homme que
ces
poètes viennent interroger sur les hauteurs, mais une sombre et surhu
32
ietzsche est pleine de repères alpestres. « Comme
ces
vues précises, aiguës, et qu’inspire l’escarpement, nous changent des
33
cs l’occasion d’une lutte… elle ignorera toujours
ces
victoires. » Nous empruntons ces lignes au très bel essai que Robert
34
gnorera toujours ces victoires. » Nous empruntons
ces
lignes au très bel essai que Robert de Traz intitula Nietzsche et les
35
l’action de Kagawa, telles qu’il les raconte dans
ces
deux volumes, témoignent que l’amour chrétien peut encore aujourd’hui
36
t celui des meneurs. Mais le rare, c’est qu’un de
ces
meneurs écrive un livre pour nous dire comment il voit le peuple, com
37
ons à l’existence la plus quotidienne d’Eiichi, à
ces
mille petites difficultés précises et humiliantes, à ces moments de d
38
le petites difficultés précises et humiliantes, à
ces
moments de doute, de désir ou d’ennui qui constituent la trame réelle
39
arvient à être si émouvant. On peut dire que dans
ces
deux gros volumes si nourris, il n’y a pas deux lignes d’allure conve
40
et Osaka la nuit ! Il ne comprenait pas pourquoi
ces
deux mots lui semblaient avoir des rapports intimes et atroces. Quel
41
x intérieure qui lui disait : « Si tu te mêles de
ces
affaires, tu ne seras toi-même, à la fin, pas bien éloigné du vulgair
42
plus que tout ce qu’on a pu lire de plus vécu sur
ces
milieux. Finalement, la police accuse Eiichi d’avoir prêté son appui
43
ons ? Quant à ceux qui acceptent d’étudier à fond
ces
problèmes, ils ne les rendent, en général, guère attirants — (le devr
44
vite elle en devient la rançon. (Divers, p. 75.)
Ces
quelques notes voudraient marquer une réaction toute personnelle prov
45
fins rien moins que grandes. Car l’excès même de
ces
scrupules les fait tourner soudain, les fait cailler en coquetteries.
46
par quoi tiendra-t-il à les « équilibrer », un de
ces
jours, à les « gauchir »…) Le héros de Vol de nuit, non déshumanisé
47
la comporte. Un nom me hante, pendant que j’écris
ces
mots : Kierkegaard, — et c’est Gide qui, l’un des premiers, l’a prono
48
la terre protestante et de l’esprit protestant.
Ces
intéressantes remarques, où l’on retrouve le goût de l’analogie histo
49
trepoint d’Aldous Huxley. Combien actuelles aussi
ces
remarques sur le déclin de la personnalité, la profondeur des sentime
50
féminins, et classe son auteur dans la lignée de
ces
fameux « moralistes français » auxquels nous pardonnons souvent d’êtr
51
’explicitement religieux : cela n’a point empêché
ces
trois romans de faire figure, aux yeux de beaucoup, de livres « bien
52
même tenté de dire, forçant un peu ma thèse, que
ces
traits négatifs, alliés à d’évidentes préoccupations morales, compose
53
aliste ». Était-ce qu’il y avait dans l’accent de
ces
docteurs-là quelque chose qui les empêchait de convaincre ? Tel étant
54
ouffer, elle a souvent faussé le développement de
ces
germes ; les produits d’une terre ingrate grandissent comme une déris
55
re la police des mœurs, l’éducation bourgeoise et
ces
blasphématoires « hygiènes de l’esprit » dont les ravages ne prendron
56
ach, Rembrandt, les sœurs Brontë, Henrik Ibsen et
ces
deux Danois prodigieux, Hans-Christian Andersen et Søren Kierkegaard.
57
donne aux romans de Dostoïevski ou d’Émily Brontë
ces
prolongements poétiques, ces perspectives bouleversantes qui manquero
58
ki ou d’Émily Brontë ces prolongements poétiques,
ces
perspectives bouleversantes qui manqueront toujours aux œuvres nées s
59
rge des expériences accumulées dans l’exercice de
ces
activités, composerait des poèmes d’amour, des romans, des drames phi
60
ns que l’homme fut supérieur à la somme de toutes
ces
activités et domina constamment sa vie et son œuvre. Il n’y a peut-êt
61
iens ne peut et ne doit éviter. Goethe est une de
ces
« questions au christianisme » comme dit Barth, une de ces questions
62
stions au christianisme » comme dit Barth, une de
ces
questions qui nous sont posées comme autant d’accusations, et qu’il e
63
s à mesure que Goethe avance en âge. Nous voici à
ces
années de la vieillesse, dont Eckermann nous a livré les confidences,
64
spirituel. Ils ont tous épousé une cause, une de
ces
causes qui engagent bien plus que l’adhésion des idées, une de ces ca
65
gagent bien plus que l’adhésion des idées, une de
ces
causes qui doivent être gagnées. Chose étrange, et que l’on eût diffi
66
e mérite de poser simplement, brutalement, une de
ces
grandes questions que la pensée moderne a convenu d’appeler « naïves
67
nce, et l’on ne voit pas, dit M. Nizan, « comment
ces
produits tératologiques de la méditation pourraient expliquer aux hom
68
e sacrifice à une cause. Je n’insisterais pas, si
ces
traits ne me paraissaient communs à beaucoup de jeunes intellectuels
69
connaître que l’état général du pays explique que
ces
ouvrages aient rencontré d’emblée le grand succès qu’ils méritaient.
70
s modernes, que les Français ne le furent jusqu’à
ces
tout derniers temps. Et c’est là que gît l’explication du goût pour l
71
ndré Gide, par exemple, mais simplement parce que
ces
écrits faisaient penser. J’exagère à peine. La littérature de l’après
72
hotographique triomphe chez tous les éditeurs. Et
ces
éditeurs, que publient-ils ? Des collections documentaires, des repor
73
soit si nouveau ? Croit-on vraiment que, jusqu’à
ces
dernières années, la civilisation de l’Occident ait permis plus d’esp
74
rès, nous allons voir que le simple assemblage de
ces
deux mots, destin et siècle, contient peut-être le secret de tout le
75
pte — des abstractions. Et je le répète, pour que
ces
ismes aient, à nos yeux, un destin, il faut que nous ayons pris l’hab
76
eur rendre un culte de latrie. Tous, nous servons
ces
dieux, tous, nous leur obéissons, et certains d’entre nous sont prêts
77
prêts à leur sacrifier leur vie même. Les noms de
ces
divinités, vous les connaissez bien : ce sont l’État, la nation, la c
78
ous importent assez peu. Vous jouez, vis-à-vis de
ces
divinités, le rôle d’incroyants, de sceptiques ou même d’adversaires.
79
ui sont la foi aveugle et les sacrifices humains.
Ces
dieux ont même leur théologie, scientifique, bien entendu, et dont le
80
ble, une fois les prémisses admises. Quelles sont
ces
prémisses ? La principale, c’est que toute notre idéologie, toutes no
81
lesquelles nos révoltes sont sans prise, puisque
ces
révoltes sont elles-mêmes prévues et déterminées par notre classe [ou
82
perdre son temps que de contester leur croyance.
Ces
hommes-là savent au moins ce qui les mène et poussent le monde dans l
83
pas croire, pour mon compte, à la réalité de tous
ces
mythes, j’ai beau ne pas croire qu’ils aient le droit de disposer de
84
ant qui soit. On vit alors, chez les meilleurs de
ces
jeunes gens, se déclarer une épidémie de suicides, qui ne prit pas to
85
es collectifs, je la vois dans l’aboutissement de
ces
mythes. On a cru trouver en eux les principes d’une communauté nouvel
86
ui l’accueille. Hé quoi ! dit-on, en face de tous
ces
monstres menaçants, vous n’avez rien à proposer que votre chétive per
87
ttez-moi de renverser la question : Qu’est-ce que
ces
dieux et ces mythes collectifs ? J’ai essayé de vous montrer qu’ils s
88
enverser la question : Qu’est-ce que ces dieux et
ces
mythes collectifs ? J’ai essayé de vous montrer qu’ils sont des créat
89
ercher dans vos pensées les origines concrètes de
ces
grands faits qui bouleversent le monde. C’est à vous de déceler, par
90
ersonnalisme ? Je ne vois qu’une réponse à toutes
ces
questions, c’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes les sociétés
91
ngagement immédiat. Acte, présence et engagement,
ces
trois mots définissent la personne, mais aussi ce que Jésus-Christ no
92
qui se posent en fait. Mais que faut-il penser de
ces
techniques d’abstention ? ⁂ Tel est l’état des choses. Public et phil
93
e risque plus immédiat de faillir à sa vocation.
Ces
réflexions nous serviront, pour aujourd’hui, d’introduction à deux es
94
rl et Martin Heidegger. On sait que la coutume de
ces
philosophes est de fonder leurs analyses sur des totalités, sur des u
95
léments abstraits, et prétendait examiner ensuite
ces
éléments sans tenir compte du sens et de l’intention de l’ensemble. L
96
puiser la liste. L’extrême gravité que présentent
ces
perversions de l’Évangile vient de ce que les chrétiens s’y sont lais
97
t encore le pathos chrétien que renferme le mot.
Ces
quelques lignes décrivent assez bien le mouvement général de la criti
98
ymes symboliques. Il voulait signifier par là que
ces
ouvrages n’exprimaient pas encore la totalité de son message chrétien
99
er, mais c’est une triste réponse à la révolte de
ces
pauvres qu’on redoute plus qu’on ne les aime… Si l’on voulait vraimen
100
nt. Mais s’il n’est pas de hiérarchie possible en
ces
parages, le sacrifice y tient lieu de mesure, parce qu’il est un acte
101
, il est vrai, mais n’est-ce point justement pour
ces
choses que ta doctrine te montre vaines ? Il faudrait cependant chois
102
le « réveil de la masse » pour affirmer que tous
ces
dieux sont des faux dieux ? Mais sont-ils des faux dieux pour nous ?
103
a, dans la règle, deux mains, et lorsqu’il porte
ces
deux mains sur Marius, ce sont ses mains, non celles de son voisin et
104
ertains des plus lucides entrevoient le péril que
ces
doctrines font courir à l’homme, et j’entends, à l’homme tel qu’il es
105
ble sujet de l’œuvre, celui que désigne le titre.
Ces
six hommes63 ont été chassés de leur pays par une crise qui n’est pas
106
ffirmer que par le sacrifice… Il ne s’agit pas de
ces
sacrifices dont on s’acquitte avec son argent ou avec son travail, ma
107
ue sa propre existence intérieure. » Le destin de
ces
déracinés, ce sera désormais de porter en eux-mêmes l’image tragique
108
core, Pillau lui montre le sens du sacrifice de «
ces
jeunes gens qui sont entrés dans le malheur la tête haute ». Car ce s
109
toire, et non les gens âgés qui possédaient tout.
Ces
jeunes Allemands qui doivent supporter, de nos jours, toutes les misè
110
sse exister pour un peuple ». ⁂ J’ai tenu à citer
ces
passages pour faire sentir à quelle hauteur se situe le drame de ce l
111
rofondément dans la vie africaine ; et, de toutes
ces
enquêtes passionnées, il rapporte une certitude assez impressionnante
112
etzsche. On ne saurait surestimer l’importance de
ces
écrits demeurés longtemps inédits, et dont M. Henri-Jean Bolle, qui a
113
?” Mais je ne l’écoute pas et trouve malgré tout
ces
chiffres consolants. » Au salut par l’éternité, voici donc opposée un
114
Juste et profond. Et toujours bon à rappeler, à
ces
« chrétiens » que terrorise l’idée même que le christianisme veut leu
115
ne autorité centrale qui donnerait la synthèse de
ces
contradictions. La vie chrétienne est pleine de contradictions, elle
116
ons, trop humaines et trop intéressées, de toutes
ces
choses. N’est-ce pas ce « Dieu moral » qui détourna plusieurs générat
117
vertement, mais encore jusque chez les chrétiens,
ces
arguments se voient réinventés, admis, parfois même prêchés. Le laïci
118
évidente. D’un point de vue purement esthétique,
ces
qualités sont assez rares, et chez Luther assez flagrantes, pour qu’u
119
lle Prévision ? Qui t’assurerait qu’en prononçant
ces
mots, tu ne prononcerais pas sur toi-même l’arrêt éternel de Dieu te
120
ique de l’action immédiate, c’est ce que prouvent
ces
mêmes déclarations. Elles souffrent avant tout d’un manque de ton, qu
121
llement poussiéreux. Remarquons tout de suite que
ces
divers conflits ne sont en réalité que les aspects d’une seule et mêm
122
eaux différents. Remarquons ensuite que chacun de
ces
termes opposés deux à deux est également faux en soi, c’est-à-dire à
123
er de plan, et retrouver l’attitude centrale dont
ces
deux erreurs ne sont que des déviations morbides. Entre la peste et l
124
igieuse s’appelle œcuménisme. Nous allons définir
ces
trois termes en insistant sur leur liaison fondamentale et sur leur n
125
’union dans la distinction des personnes ? Posons
ces
questions-là aux docteurs de l’Église. Mais voici ce que nous devons
126
le groupe expulse le « non-conformiste ». Ce sont
ces
expulsés de divers groupes qui fondent les premières thiases grecques
127
L’homme qui se convertit et s’incorpore à l’un de
ces
groupes y trouve d’une part une activité sociale qui le relie à ses «
128
r tous, tous pour un », est également valable sur
ces
trois plans. L’œcuménisme exclut l’orthodoxie fermée, créatrice de sc
129
itique. Lors donc que la foi s’est affaiblie dans
ces
pays, cette carence ne s’y est pas traduite par l’éclosion d’une anti
130
essus ecclésiastique se répéter de nos jours dans
ces
mêmes pays, cette fois-ci dans l’ordre politique et social. Les cadre
131
le mouvement œcuménique peut et doit exercer sur
ces
processus religieux, préparera le terrain pour une action politique r
132
osées, mais sur une attitude centrale qui dépasse
ces
erreurs en même temps qu’elle ré-axe les vérités égarées dans les deu
133
ncantes pour devenir une volonté. Ce qui manque à
ces
tentatives dispersées, c’est un arrière-plan spirituel commun (œcumén
134
en charge ? — Je ne serais pas tenu de répondre à
ces
questions, m’étant donné pour tâche de faire voir et sentir la nécess
135
alyse des causes de la pollution et du système de
ces
causes conduit, au-delà des déductions critiques, à l’escalade lente
136
tions sociales et politiques proposées au long de
ces
pages, et qui vont des petites communautés à la fédération du contine
137
rend nos désirs pour des réalités, jusqu’à ce que
ces
désirs créent ces réalités et leur donnent vie dans notre vie, les ré
138
ur des réalités, jusqu’à ce que ces désirs créent
ces
réalités et leur donnent vie dans notre vie, les réalisent. Désirer l
139
lieu de se demander : « Que puis-je faire ? » À
ces
deux questions, curieusement, il n’est qu’une seule réponse possible
140
de cap, changeons de buts, ordonnons nos moyens à
ces
buts — recréons la communauté ! Ce ne sera pas encore la fin de la pe
141
avril 1977, p. 145-155. ae. Une note précise : «
Ces
quelques pages forment la conclusion du livre à paraître chez Stock s