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ve toujours au récit de succès mirobolants, et le
charme
un peu facile mais fort goûté du grand public, de l’humour américain,
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même auteur16, et il nous aide à mieux définir le
charme
de cette œuvre inoubliable. Antérieur de quelques années à Daphné, be
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haute société anglaise ne soit pas dépourvue d’un
charme
qui attirera certains lecteurs, qui agacera un peu les autres. M. Cha
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pas plus loin. Et c’est ainsi que de ce roman au
charme
pénétrant et presque trop certain, sourd, comme dit Charles Du Bos «
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et de nuances sarcastiques (celles du serpent qui
charme
à froid) — art qui tout ensemble se définit et se limite par l’épithè