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l’abord, et légitimeront aux yeux de beaucoup, le
choix
des œuvres exposées. Il ne s’agit nullement de présenter l’ensemble d
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— reste un trait marquant de l’âme allemande : le
choix
de la salle, les sujets abordés, jusqu’à la stature du conférencier e
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dine. Car il sait que la modestie est la vertu de
choix
du classicisme. Et qu’il est le dernier de nos classiques… Pareille m
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de de demain va contraindre, contraint déjà à des
choix
dramatiques ? Certaines phrases pourraient le laisser supposer qu’il
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l faut choisir. Or, notre temps ne comporte qu’un
choix
profond : christianisme ou marxisme. Ce qui revient à dire que seuls
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une force offensive à cette personne humaine. Le
choix
des sujets abordés dans son livre montre un esprit averti des vraies
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itue un progrès sur la libre-pensée : il force au
choix
, à la prise de conscience. La révolution menaçante viendra comme le
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. Jamais il ne fut plus facile de reconnaître les
choix
nécessaires. Désordre, oui, et plus grand que jamais. Désarroi ? Non.
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stin personnel en face des destins collectifs, le
choix
nécessaire apparaît avec une netteté qui, je le répète, est la chance
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sir. La pensée redevient un danger, un facteur de
choix
et de risque, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas :
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tableau, c’est que je veux maintenant dégager le
choix
, la décision que chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècl
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us de puissance que la personne. Dans l’homme, le
choix
peut avoir lieu, effectivement. Et votre rôle d’étudiants, c’est-à-di
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e ? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un
choix
subjectif ? Vous préférez l’homme créateur à l’homme qui s’abandonne
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n se plaît à poser gratuitement pour esquiver les
choix
concrets. La démarche assez sinueuse, le titre un peu rebutant de cet
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’exigence de Kierkegaard se limite à l’instant du
choix
, où l’homme s’engage, « en vertu de l’absurde », sur le chemin que Di
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ou bien même possible ? Est-ce un effet de notre
choix
, ou un moment de notre vie ? Ils en parlent bien aisément…) Certains
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us les systèmes s’évanouissent devant l’effroi du
choix
concret, du risque, dans la passion du désespoir total. Maintenant, t
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nt de paraître au Mercure de France un volumineux
choix
de sentences, aphorismes et notes tirés des papiers posthumes de Niet
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nietzschéens 66. Ce qui est certain, c’est qu’un
choix
tel que celui qu’on vient de nous donner, nous restitue la totalité d
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ns ironie toutefois, et sait enfin conférer à son
choix
la force et la simplicité d’une constatation évidente. D’un point de
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out prix et la soif de liberté à tous risques, le
choix
de l’espèce sera fonction de la chose la moins prévisible du monde, q