1 omphe est facile. C’est le technicien parfait qui combat les techniciens imparfaits. Il ne se demande jamais si la technique m

2 moins artificielle que le lâche idéalisme qu’elle combat avec raison ? D’ailleurs, si je vois bien que le propos de M. Nizan n

3 te à se risquer en faveur des hommes, un acte, un combat . Fin de l’esprit désintéressé, cela signifierait pour les clercs, sel

4 , la force et la joie d’envisager la vie comme un combat perpétuel dont l’enjeu est à chaque instant total, éternel et urgent.

5 uer ensemble devant Rio de Janeiro, au cours d’un combat acharné contre une section des troupes régulières, dont le chef n’est

6 gique de son œuvre. Leurs manières de décrire des combats où, entre deux bandes de mitrailleuses, le héros médite sur son sort,

7 ées dans les deux camps. (N’oublions pas que l’on combat , de part et d’autre, sans grand espoir mais avec une pathétique sincé