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ière du prix de la seule possession véritable, la
connaissance
de l’Esprit. C’est déjà un fait d’expérience. Et qui n’en pourrait ci
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, qui gardent, par quelle grâce ? un peu de cette
connaissance
active de Dieu que nos savants nomment mysticisme et considèrent comm
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nos gestes et nos pensées, nos créations et notre
connaissance
; le sentiment d’une harmonie à sauvegarder au sein de nos connaissan
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iment d’une harmonie à sauvegarder au sein de nos
connaissances
même, et dans l’allure de leur progrès. Les humanités nous paraissaie
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Les humanités y trouveraient bien leur place : la
connaissance
des étymologies est l’une des garanties les plus actives de la pensée
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ion ; et lorsqu’il dit spiritualité, nous pensons
connaissance
mystique. g. Rougemont Denis de, « Conférences du comte Keyserling
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t « par-delà », — cette joie « qui surpasse toute
connaissance
». 16. La Princesse Blanche, Stock, éditeur. 17. Qu’on lise, par
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plation de sommets assez rares. Personne, à notre
connaissance
, ne s’était risqué jusqu’ici dans pareille aventure. Personne même n’
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vre entièrement simple qui nous introduit dans la
connaissance
de la misère, et par là même nous fait sentir combien nous sommes mes
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Lavater ou d’un Jacobi. Mais ce « reste », cette
connaissance
mystique, il ne tardera pas à découvrir qu’on n’y atteint qu’en outre
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que impossibles ? Oui, certes ! Sur le plan de la
connaissance
désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun principe qui unifie. Mai
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st un homme incomplet, désuni. Et ce n’est pas la
connaissance
intellectuelle du destin de sa classe ou de sa race qui va suffire po
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as annoncé sa parution à grand fracas, et qu’à ma
connaissance
, tout au moins, presque personne encore n’en a parlé. Ce qui n’est pa
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s, et de cette liberté spirituelle que confère la
connaissance
vivante de « la seule chose nécessaire ». Rien de grand, dans l’ordre
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qu’à celui qui ose aller jusqu’aux extrêmes de la
connaissance
de soi-même et de la connaissance de la foi. Luther insiste sur cet «
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extrêmes de la connaissance de soi-même et de la
connaissance
de la foi. Luther insiste sur cet « extrêmisme » évangélique, que les
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verse, il faut oser descendre jusqu’au fond de la
connaissance
du péché pour voir qu’il n’y a de liberté possible que dans la grâce
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e ne les indique ici que pour montrer : 1° que la
connaissance
intime des processus religieux dans un pays donné fournit une clé des
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empiriques et des diversités spirituelles sur la
connaissance
desquelles se fonde nécessairement tout effort fédératif sérieux. 2.