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me du xxe siècle que l’idéaliste salue comme son
contemporain
; en tant qu’il croit à l’Incarnation et qu’il va à la Messe, il se c
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l’an dernier. 15. « Remarques sur l’irréligion
contemporaine
». e. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Sécularisme », Foi et Vi
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ifeste. Voici Dufy, le plus inventif des artistes
contemporains
, avec une « Peinture » d’un intense lyrisme de couleurs. Zingg avec u
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ans la lutte pour la vie que nous impose le monde
contemporain
, c’est l’habileté qui triomphe, et non plus la « virtu ». L’héroïsme,
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ntisme du xixe siècle se réduit, aux yeux de nos
contemporains
, à un moralisme libéral. Nous savons ce qu’une telle vue a d’injuste,
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estantisme de la fin du xixe siècle, tel que nos
contemporains
se le représentent, ne pouvait s’exprimer que dans la forme du roman
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s l’action qu’elle commande à des millions de nos
contemporains
. Il y a aussi ceux qui se bornent à affirmer la nécessité d’une pensé
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t donc abstraites. Il ne suffit pas de dire à ses
contemporains
qu’ils ont tort de penser ceci ou cela avec passion. Il faut encore l
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s. Et je crois distinguer à divers signes que mes
contemporains
, sans se lasser du romanesque, découvrent que la littérature peut app
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ace des forces terribles déchaînées dans le monde
contemporain
voit bien que la question n’est plus de s’évader, de se distraire en
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tieux au dernier degré. La grande majorité de nos
contemporains
ne croit pas en Dieu et sait qu’elle n’y croit pas. Mais elle garde c
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le suicide. L’élan qui jette des millions de nos
contemporains
dans les destins du siècle, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant
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croissant avec le temps. La philosophie allemande
contemporaine
, avec ses deux grands maîtres, Heidegger et Jaspers, procède de sa ph
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ais il faut prendre garde de laisser croire à nos
contemporains
que ce pire ne puisse être aggravé, si tant est qu’ils s’y abandonnen
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kegaard, cette opération paradoxale qui nous rend
contemporains
du Christ incarné, et qui nie par là même la valeur de tous les siècl
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rticipe pour son compte. Il est très vrai que nos
contemporains
ont cessé de croire, dans l’ensemble, que le salut était déjà venu. I
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hommes. Ne voyons-nous pas au contraire le monde
contemporain
entièrement dominé par une religion de la vie, de « l’intensité » de
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oient acceptées (ou simplement connues !) par nos
contemporains
, même chrétiens. Il s’en faut de beaucoup, de presque tout, que les a