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au cours des quarante pages qu’il consacre à la «
conversion
» au catholicisme de la princesse Blanche. Arrêtons-nous un peu à l’e
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u s’en dispenser d’ailleurs, car en définitive la
conversion
de son héroïne nous paraît être à tel point la seule solution possibl
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sion à ce qui lui semble être la vérité. Sa vraie
conversion
a lieu beaucoup plus tard, lorsqu’elle trouve, à force de souffrance,
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voire aux yeux de la foi scandaleux de parler de
conversion
d’un protestantisme au catholicisme ou l’inverse. On ne se convertit