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eut-être est-il temps encore. Ici et là, quelques
cris
s’élèvent dans le désert d’une époque déjà presque abandonnée par l’E
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re spirituel vers lequel il entraîne l’Occident ?
Cris
dans le désert. Déserts des villes fiévreuses où le fracas des machin
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iberté. Mais pourquoi dira-t-on, s’arrêter à ces
cris
d’une révolte égarée par la haine ? C’est qu’ils caractérisent une at
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rt. » C’en est fait, les clercs ont trahi, et les
cris
de M. Benda sont couverts par la rumeur de la place. Dans toute la je
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n d’exaspérer la Reine. Elle tempête et hurle son
cri
favori : « Qu’on lui coupe la tête ! » Alors, le chat s’élève dans le
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issance dans notre cœur. Écoutons maintenant le
cri
sublime. De Séir, une voix crie au prophète : — Sentinelle, que di