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nsitoires, ajoute Keyserling. Nous traversons une
crise
d’adaptation, et il s’agit de la résoudre dans le sens d’une philosop
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a position politique de ce journal. Le titre : La
Crise
est dans l’homme 38, s’oppose d’emblée aux thèses des économistes bou
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nomistes bourgeois ou marxistes, pour lesquels la
crise
est dans les institutions. Il paraît supposer une rénovation intérieu
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ccès qu’ils méritaient. Les Allemands vivent « la
crise
» depuis 1919, et l’atmosphère de crise baigne toutes leurs activités
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vent « la crise » depuis 1919, et l’atmosphère de
crise
baigne toutes leurs activités, à un degré bien plus profond qu’on ne
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lucider les causes lointaines ou prochaines de la
crise
sans précédent où s’engage l’humanité tout entière. ⁂ En France, plus
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mme, depuis le déluge, le monde se débat dans une
crise
millénaire dont les périodes dites « prospères » ne sont que les temp
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e serait aux dépens de l’humain. Au sein de cette
crise
que l’on dit sans précédent, que fait l’individu pour se défendre ? E
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ne, dans une plantation de thé où, d’ailleurs, la
crise
mondiale l’aura précédé. Les quatre autres atteignent enfin La Paz, c
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six hommes63 ont été chassés de leur pays par une
crise
qui n’est pas seulement économique, par une crise qui atteint à la fo
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crise qui n’est pas seulement économique, par une
crise
qui atteint à la fois leur attachement à la patrie et leur humanité,
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ne à l’homme la vision réaliste du péché, crée la
crise
bien davantage qu’elle n’en résulte. Ce qui résulte inévitablement d’
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n’en résulte. Ce qui résulte inévitablement d’une
crise
que la foi ne résout pas (en lui substituant une autre crise plus rad
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a foi ne résout pas (en lui substituant une autre
crise
plus radicale et salutaire) c’est, par exemple, le culte du Surhomme.
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isme, la décevante marche sur la Lune, ni même la
crise
de l’énergie. Tout ou presque semble indiquer à l’observateur objecti
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ineux du 24 août 1973, et donnais pour exemple la
crise
énergétique, industrielle et monétaire où cinq ou six émirs de droit
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guerre du Kippour fournissait un prétexte à la «
crise
du pétrole », m’obligeant à jeter au panier, pour cause de confirmati