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le dirigée réellement, et non plus en discours et
croyances
, en faveur des hommes concrets ? À quoi sert cette philosophie ? Que
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, et c’est perdre son temps que de contester leur
croyance
. Ces hommes-là savent au moins ce qui les mène et poussent le monde d
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la plus répugnante qui soit. » Il faut perdre la
croyance
en Dieu, en la liberté et en l’immortalité, comme ses premières dents
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Et celui qui n’est pas mort une bonne fois aux «
croyances
» héritées sans examen de son milieu, aux idoles édifiées par ses bon