1
vel humanisme, il est assez aisé de prévoir et de
décrire
une tentation qui le guette et à laquelle tout humanisme paraît encli
2
une écrivain. Son premier roman, Les Conquérants,
décrivait
la révolution communiste en Chine, et la figure centrale de Garine, a
3
1. Le courage presque agressif qu’elle apporte à
décrire
la figure de l’homme moderne en proie au seul orgueil de vivre, dénon
4
t » de l’art français. Mais s’il est malaisé de
décrire
, dès à présent, un art protestant de fait, peut-on, par contre, le dé
5
épète, est la chance de notre époque. Je voudrais
décrire
cette époque, telle qu’elle nous apparaît de ce point de vue, en quel
6
nant vous donner une contrepartie, tenter de vous
décrire
la pensée personnaliste, la pensée qui ne veut s’attacher qu’aux seul
7
e reprocher au christianisme. Voici comment il le
décrit
: … l’impuissance qui n’use pas de représailles devient par un menso
8
umanité que nous revendiquons les fausses valeurs
décrites
par Nietzsche. Nous ne voulons plus l’acte d’amour personnel — qui es
9
hrétien que renferme le mot. Ces quelques lignes
décrivent
assez bien le mouvement général de la critique de Scheler. À l’origin
10
intérieure ». Je ne vois pas où le recueillement
décrit
par M. Marcel trouverait sa place, entre la prière et l’acte, seuls m
11
-plan idéologique de son œuvre. Leurs manières de
décrire
des combats où, entre deux bandes de mitrailleuses, le héros médite s