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’homme moderne en proie au seul orgueil de vivre,
dénonce
la paresse de la religion qui n’est qu’un refuge contre la vie. Elle
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térature de nos jours n’est que trop habile à les
dénoncer
; mais le surpassement de soi qu’obtient la volonté tendue, c’est là
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ées, — au lieu qu’il eût fallu du premier coup le
dénoncer
, comme radicalement contraire à notre foi originale. Le siècle, hélas
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but ne fut jamais de démolir, mais bien plutôt de
dénoncer
un principe destructeur. C’est au nom d’une foi positive que l’on att
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On dira sans doute que l’auteur exagère quand il
dénonce
le péril d’une pensée que l’on peut bien appeler scolastique, pensée
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a corruption permanente fut ouvertement reconnue,
dénoncée
et battue en brèche. Notre époque, elle aussi, possède sa chance de g
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, dans certains milieux bien-pensants, veut qu’on
dénonce
le règne de la masse. On s’indigne du nivellement universel, à quoi d
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s mythes du siècle, sont tout-puissants sur nous.
Dénoncer
leurs méfaits, ce n’est pas encore leur échapper. Les nier purement e
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st pas échapper aux chimères publiques que de les
dénoncer
pour telles en vertu d’une idée de l’homme que la raison païenne adme
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xal et réaliste de Kierkegaard consiste à l’avoir
dénoncée
au plus intime de l’existence individuelle. Chaque fois que nous diso
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ordre même de son péché. Ainsi Maurras, lorsqu’il
dénonce
les mythes de l’hégélianisme social. « Le meilleur moyen de s’en affr
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tre la philosophie de l’Évolution selon Hegel, et
dénonçait
en elle non seulement un succédané païen de l’idée de Providence, mai