1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 restitue au monde vers 5 heures du soir, dans la détresse des dernières sirènes. Au monde, c’est-à-dire à une nature dont l’usi
2 urelles. Il en ressent une vague et intermittente détresse , — qu’il met d’ailleurs sur le compte de sa fatigue. Neurasthénie. La
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
3  : « … dans nos églises j’éprouve un sentiment de détresse aiguë, ou bien je m’y ennuie. » Et l’on découvre soudain que cette fe