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e tel qu’il est, dans son effarante et magnifique
diversité
. Sort menacé, comme il le fut de tout temps, certes, mais de nos jour
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ns un seul et même ciel, ou encore doctrine de la
diversité
des membres d’un seul et même corps : quel que soit le nom qu’on lui
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l établit avec le plus de force la légitimité des
diversités
. Ce qui me paraît d’une excellente méthode.) Est-il permis d’en appel
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t : la théologie de l’œcuménisme considère que la
diversité
des vocations divines n’est pas une imperfection de l’union, mais sa
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té d’unité s’oppose à l’union. Elle transforme la
diversité
en division. Alors il y a scandale, et c’est alors que le corps souff
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on spirituelle centrale qui fonde l’union dans la
diversité
, nous avons à chercher la position philosophique centrale qui fonde l
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tion centrale définissant à la fois l’union et la
diversité
, l’engagement et la liberté, les droits du tout et les droits des par
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édéralisme, comme l’œcuménisme, reconnaît que les
diversités
régionales sont la vie même de l’Union. Mais par l’organe central qui
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paraît ici-bas, selon ses propres termes, dans la
diversité
« des Églises et des personnes particulières ». Elle doit donc s’orga
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-dire tenant compte des données empiriques et des
diversités
spirituelles sur la connaissance desquelles se fonde nécessairement t