1 le, incapable d’en comprendre les correspondances divines et humaines, insensible même à sa déchéance, abandonné à la lutte tra

2 de ses besoins et de ses buts propres, humains et divins . Mauvais loisirs. Ford lui a donné une auto pour admirer la nature en

3 n. Être véritablement homme, c’est avoir accès au divin . Que sert de parler d’humanisme « chrétien » ? L’humanisme est de l’h

4 , de la pornographie en outre violations des lois divines et humaines, n’eussent vraisemblablement pas fait encourir à notre au

5 civilisation moderne à l’égard de toute autorité divine qui est le trait dominant de notre époque » — pour reprendre la défin

6 plutôt, elle est l’expression concrète d’une loi divine et humaine, et c’est ici que l’on peut voir sa profonde ressemblance

7 à la fois la charité, le risque, l’abandon et la divine légèreté, c’est-à-dire, qu’elle récusait la grâce autant que le péché

8 a nature. Ainsi la conception de la transcendance divine aboutit pratiquement, chez Goethe, à des affirmations nettement imman

9 ait devant le Christ comme devant la « révélation divine du plus haut principe de la morale », tout en vénérant également le s

10 on de la grâce. Et c’est en quoi la transcendance divine , sans cesse, se mêle à notre vie pratique et vient bouleverser nos sa

11 the paraît avoir négligées ou niées : le scandale divin , le péché radical. Mais un homme de l’envergure de Goethe, s’il ne pe

12 , et qu’il ne peut être lui-même que par le droit divin de la Parole qui le distingue. Suprême humilité du solitaire ! Il ne

13 uménisme considère que la diversité des vocations divines n’est pas une imperfection de l’union, mais sa vie même. Un deuxième

14 rielle et monétaire où cinq ou six émirs de droit divin , un roi madré et un dictateur fou pouvaient nous jeter d’un jour à l’