1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 compris par soi-même, la liberté et une certaine durée normale et capricieuse dans le plaisir, la conscience de ses besoins
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
2 ute la valeur de l’œuvre de Baring réside dans sa durée , dans son atmosphère et dans le son qu’elle rend. Il ne s’y passe rie
3 ntir et « réaliser » au lecteur le tragique de la durée d’une vie. M. Baring nous fait suivre de sa naissance à sa mort toute
4 , d’une volonté, d’une âme virile, trouve dans sa durée même l’élément le plus convaincant de sa grandeur, et le plus tonique
5 utrement de l’histoire d’une vie sentimentale. La durée est l’élément tragique par excellence du sentiment, parce qu’elle le
6 elle, ses manifestations dans notre vie — dans la durée — sont nécessairement douloureuses. Certains, peut-être, verront-là u