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e monde pour « se séculariser, pour se constituer
en dehors de
Dieu sur des bases purement humaines ». Aux yeux du « séculariste »,
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t d’autres recours que ceux qu’elle peut imaginer
en dehors de
la grâce, c’est-à-dire la police des mœurs, l’éducation bourgeoise et
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res, échappant à notre domination et poursuivant,
en dehors de
nos vies personnelles, leur évolution fatale, leur destinée. Autant d
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a tâche est strictement limitée, rien ne subsiste
en dehors de
l’œcuménisme, qui permette de mettre en relations des groupes nationa