1 le détourner du désastre spirituel vers lequel il entraîne l’Occident ? Cris dans le désert. Déserts des villes fiévreuses où le

2 tte prétention des masses, légitime d’ailleurs, a entraîné le renversement de presque tous les buts de civilisation. C’est ainsi

3 les événements de son roman le contredisent. Ceci entraîne cela — bonheur ou catastrophe — non parce que c’est mal ou bien, mais

4 otre bien, et à taxer d’immoralisme tout acte qui entraîne des ruines humaines. Mais la vérité, elle, est indifférente à ce que

5 ns.) Ensuite, parce que je ne veux pas me laisser entraîner sur le terrain purement moral ou immoral où Gide provoque ses lecteur

6 u — à cause du péché. La réalité visible du péché entraîne la considération de la grâce. Et c’est en quoi la transcendance divin

7 s prodromes de l’hitlérisme.) Les risques qu’elle entraîne sont proprement incalculables. Qui donc voudra les encourir ? Ceux-là

8 main avant celui de la patrie.) Cet humanitarisme entraîne toute une série de perversions : un certain altruisme d’abord, qui pr

9 hésitent à poursuivre. L’un d’entre eux se laisse entraîner par des révolutionnaires qui préparent un coup de main contre le dict

10 re, d’un témoignage qui transcende toute dispute. Entraîné par sa fougue habituelle, excité (bien plutôt que « désarmé », comme

11 au thème de l’unité systématique. Notons qu’il n’ entraîne aucunement un éloge de la « tolérance » libérale à base d’indifférenc

12 e par les usages, et toute dissidence de conduite entraînait l’exécration ou la mort. Dans la cité, au contraire, chacun cherche à

13 à la fois) d’un régime coopératif. Mais ceci nous entraînerait dans un exposé qui déborde le cadre de ce schéma doctrinal. Notre obj