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Ford lui a donné une auto pour admirer la nature
entre
17 et 19 heures : vraiment, il ne lui manque plus rien — que l’envie.
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damné à ne plus saisir que des rapports abstraits
entre
les choses. Il ne comprend presque plus rien à l’Univers. Par la tech
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berté de l’esprit et les lois de la matière. Pris
entre
une anarchie et une fatalité également funestes, également démesurées
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la Grèce, le sentiment d’une harmonie nécessaire
entre
nos gestes et nos pensées, nos créations et notre connaissance ; le s
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éalisme de cette espèce est inévitablement coincé
entre
une philosophie religieuse concrète d’une part, et le matérialisme hi
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es marxistes — et c’est ici le nœud de divergence
entre
eux et nous — si le mal est si grand qu’ils le montrent — et il l’est
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ités et les enthousiasmes en désordre s’agitaient
entre
les murs d’où nous arrachions les moulures et les vieux papiers à fle
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le merveilleux, on mettait notre volonté aimante,
entre
toutes les pages, sur toutes les choses. Nous écrivions aux auteurs,
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le genre d’Osaka, écrits sur des lampes carrées.
Entre
les stations, des étendues de toits de tuiles, avec de la fumée noire
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ière visite aux bas-fonds : Eiichi était partagé
entre
deux désirs. L’un était de se sauver au plus vite de cet horrible end
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à une grève, et le récit se termine par une scène
entre
le procureur et le prévenu, qui vaut d’être citée : — Pourquoi me re
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révélateur, car quoi qu’on dise de la différence
entre
la vie et le roman, la composition de celui-ci dépend toujours de la
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libéralisme l’absence de toute exigence unifiante
entre
la pensée et l’action. Certes, nos prédicateurs affirmaient le salut
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ste un scandaleux écart, une scandaleuse distance
entre
ce qu’énonce la philosophie et ce qui arrive aux hommes en dépit de s
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x assuré la paix du monde et les rapports normaux
entre
les hommes ? Croit-on vraiment que le « désarroi » soit seulement « a
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quement de la haine. On me dira que la solidarité
entre
les peuples est désormais un fait acquis, une réalité économique. Nou
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au désordre social ; la corrélation qu’il indique
entre
l’optimisme du progrès technique et une philosophie du désespoir, — a
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llement décrit par M. Marcel trouverait sa place,
entre
la prière et l’acte, seuls moments d’unité dans la vie du chrétien.
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ale : « Il y a une différence qualitative infinie
entre
Dieu et l’homme. » Le sens réel et profond de toute son œuvre réside
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ire », de l’homme qui vit de la Parole seulement,
entre
les temps, dans l’instant éternel. Le solitaire peut-il agir ?
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d’un roman d’aventures. Destin allemand est bien,
entre
autres, un roman d’aventures, et même d’une intensité peu commune. Ma
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œuvre. Leurs manières de décrire des combats où,
entre
deux bandes de mitrailleuses, le héros médite sur son sort, sont pres
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a tradition codifiée ; sens de la décision totale
entre
un oui et un non absolus, et refus de tout moyen terme ou médiation p
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oyen terme ou médiation plus ou moins rationnelle
entre
les règnes en guerre ouverte du Dieu de la foi et du Prince de ce mon
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et constituant la véritable « action » de l’homme
entre
les mains de Dieu. Tels sont les thèmes qu’illustre cet ouvrage. S’il
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a fait croire que ta vie était une partie à jouer
entre
toi et le monde, par exemple ; ou encore entre l’individu et le Sort,
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er entre toi et le monde, par exemple ; ou encore
entre
l’individu et le Sort, cette idole païenne ? C. M. — J’ai besoin de
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t presque mortel. Conflit politique et économique
entre
l’État totalitaire et les droits de l’homme. Conflit moral entre le c
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talitaire et les droits de l’homme. Conflit moral
entre
le collectivisme oppressif et l’individualisme anarchisant. Conflit i
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sme anarchisant. Conflit idéologique et religieux
entre
l’unité imposée et la division irréfléchie, entre la centralisation r
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entre l’unité imposée et la division irréfléchie,
entre
la centralisation rigide et l’éparpillement poussiéreux. Remarquons t
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deux erreurs ne sont que des déviations morbides.
Entre
la peste et le choléra, il n’y a ni « juste milieu » ni synthèse poss
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’étatisme sur l’individualisme devenu anarchique.
Entre
individualisme et dictature, l’opposition n’est pas aussi profonde qu
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uation qui rappelle étrangement la lutte présente
entre
démocratie individualiste et étatisme totalitaire — se produit l’évén
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ersonne ainsi définie se résout l’éternel conflit
entre
la liberté individuelle et les devoirs vis-à-vis de la collectivité.
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r ce point : la personne n’est pas un moyen-terme
entre
l’individu trop flottant et le soldat politique trop esclave. Elle es
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umain immanent, il n’y a pas d’équilibre possible
entre
l’anarchie et l’unité forcée, l’individu et l’État. Mais dès qu’inter
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llemagne, en Italie et en Espagne, la distinction
entre
l’Église et l’État n’avait jamais été établie d’une manière satisfais
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ires actuels. Il ne se fonde pas sur un compromis
entre
des erreurs opposées, mais sur une attitude centrale qui dépasse ces
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rnalistique, je la vois partagée dans sa majorité
entre
deux attitudes : — opportunisme à très court terme (trouver un job) e
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programmé ? Puissance ou Liberté, qui tranchera ?
Entre
le besoin de sécurité à tout prix et la soif de liberté à tous risque