1
ité fondamentale. L’infaillible progrès aurait-il
fait
fausse route ? Est-il temps encore de le détourner du désastre spirit
2
a réalisé comme il est donné à peu d’hommes de le
faire
: 7000 voitures par jour, et la possibilité d’augmenter encore cette
3
t de sous-estimer. Les griefs que les socialistes
font
aux capitalistes européens ne sauraient l’atteindre. Au contraire, il
4
ord. Et, comme il est très intelligent, il a vite
fait
de démêler les conditions les plus rationnelles de la production, ave
5
. Par le procédé très simple de la répétition, on
fait
croire aux gens qu’ils ne peuvent plus vivre heureux sans auto. Voilà
6
besoin. Pour cela, on abaisse les prix. Le client
fait
la comparaison. Il est impressionné par la baisse, au point qu’il en
7
ustriel ait forcé (psychologiquement) le client à
faire
une dépense superflue ; le scandale est qu’il l’ait trompé sur ses vé
8
la réalisation concrète d’une théorie qui tend à
faire
de ce monde un séjour meilleur pour les hommes. » C’est le bonheur, l
9
u… Mais nous nous absorbons trop dans ce que nous
faisons
et ne pensons pas assez aux raisons que nous avons de le faire. Tout
10
ensons pas assez aux raisons que nous avons de le
faire
. Tout notre système de concurrence, tout notre effort de création, to
11
de tous les temps. On me dira que Ford a mieux à
faire
que de philosopher. Je le veux. Mais si j’insiste un peu sur ses « id
12
difficile et la plus grave : celle qu’on ne peut
faire
qu’au nom de l’Esprit et de ses exigences. Mais le « rien de nouveau
13
table, la connaissance de l’Esprit. C’est déjà un
fait
d’expérience. Et qui n’en pourrait citer un exemple individuel ? Nous
14
sens de l’âme se nomme bon sens américain. On en
fait
quelque chose de jovial et d’alerte, quelque chose de très sympathiqu
15
rès sympathique et pas dangereux du tout. On n’en
fait
pas une philosophie. Mais, sans qu’on s’en doute, cela en prend la pl
16
nde, c’est-à-dire à une nature dont l’usine lui a
fait
oublier jusqu’à l’existence, et à une liberté qu’il s’empresse d’alié
17
ffort de l’acquérir, les forces mêmes qui nous la
firent
désirer. 2° Accepter l’esprit, et ses conditions. Je dis que les êtr
18
ue sensibilité spirituelle deviennent par le seul
fait
de rester eux-mêmes dans un monde fordisé, des anarchistes. Car l’Esp
19
les écarte des engrenages où ils risqueraient de
faire
grain de sable. Ils se réfugient dans ce qu’on pourrait appeler les c
20
qu’une échappatoire utopique. Nous avons mieux à
faire
, il n’est plus temps de se désintéresser simplement des buts — si bas
21
que c’est une question de foi. 1. Une enquête
faite
à Genève a révélé que les livres les plus lus du grand public sont Ma
22
entreprise par certains philosophes des sciences
fait
-elle songer à l’activité de cet espion anglais qui parvint durant la
23
s que le style très tendu de M. Malraux n’est pas
fait
pour dissiper. Perken, dans ses conversations, fait parfois penser à
24
it pour dissiper. Perken, dans ses conversations,
fait
parfois penser à ces gens — on en rencontre dans les affaires — qui s
25
doute que l’idée la plus forte que M. Malraux se
fait
de lui-même. Je suis tenté de dire : son moi idéal, celui auquel il d
26
ines et humaines, n’eussent vraisemblablement pas
fait
encourir à notre auteur pareil ostracisme. Mais notre monde ne connaî
27
Sécularisme (mars 1931)e Il nous plaît de
faire
converser ici les gens les moins faits pour s’entendre : ce n’est pas
28
faute d’emploi, il n’y avait aucune correction à
faire
». D’ailleurs, il ne veut pas poétiser le tableau, car, pour lui, « ê
29
e la prose est plus vraie que la poésie, le petit
fait
plus vrai que le haut fait, la mesquinerie plus vraie que la grandeur
30
ue la poésie, le petit fait plus vrai que le haut
fait
, la mesquinerie plus vraie que la grandeur. C’est sans doute qu’on le
31
her de penser que cette peinture d’Aden est assez
faite
pour y contribuer : si grande est en effet l’horreur que M. Nizan épr
32
re est qu’elle sent son xixe siècle. On peut lui
faire
un grief plus grave : elle subordonne toute réforme à une préalable r
33
e n’hésite pas à le déclarer. On m’arrêtera en me
faisant
observer que cet orgueil n’a pas un caractère personnel, puisque l’Es
34
ition recèle de flatterie. Ce n’est pas tout : en
fait
l’idéaliste se substitue inévitablement à l’Esprit — et cette fois no
35
l’autre. La preuve, je m’amuse à la voir dans le
fait
que le pamphlet de M. Nizan, communiste, est encore plus dur que l’ar
36
ce temps, souscrirait aux critiques que M. Nizan
fait
à l’actuelle civilisation, souffrant comme lui de ce que « les hommes
37
-vous dit. Depuis le temps qu’on cherchait à nous
faire
croire qu’une origine protestante était un vice rédhibitoire pour tou
38
arriérés. Or nous n’étions pas raisonnables, nous
faisions
des projets dont on parlait, la nuit, dans les chambres où les curios
39
e valable pût être esquissée. Car, avouons-le, du
fait
même de la nouveauté que représentait une telle exposition, le caract
40
ontbéliard » grave et serein. Deux petits Lotiron
font
un coin de campagne lumineuse, et le « Douarnenez » de Mac-Avoy est t
41
é de décrire, dès à présent, un art protestant de
fait
, peut-on, par contre, le définir idéalement ? Il nous semble que cela
42
du développement exagéré de la technique dans le
fait
qu’aujourd’hui les masses veulent conquérir des biens spirituels et m
43
et-il en jeu les deux éléments dont l’antagonisme
fait
le fond de presque toutes les grandes œuvres romanesques : une indivi
44
mérite le plus rare de ce livre est sans doute de
faire
sentir et « réaliser » au lecteur le tragique de la durée d’une vie.
45
le tragique de la durée d’une vie. M. Baring nous
fait
suivre de sa naissance à sa mort toute l’existence de Blanche Cliffor
46
ste » désireux de justifier une thèse plus que de
faire
comprendre la réalité. Et c’est au cours des quarante pages qu’il con
47
t étant nul), ni la foi chrétienne en général (du
fait
précisément que les mobiles humains sont ici entièrement suffisants e
48
d’une loi organique, inéluctable, amorale, tout à
fait
indépendante de nos appréciations. Nous sommes naturellement portés à
49
ntolérable. — Elle l’est presque, mais pas tout à
fait
. Il faut l’accepter. Songez à l’agonie du Jardin des Oliviers. Blanch
50
le fond des vallées, — si l’on ose dire, — où il
fait
vivre d’imaginaires bons sauvages. Et pour la grande majorité de ceux
51
t pour la grande majorité de ceux qui, après lui,
feront
intervenir la montagne dans leurs œuvres, elle n’est guère qu’un déco
52
onnel, un élément de pittoresque, un sublime tout
fait
, dont on agrémente des digressions sur l’ordre social. Mlle Engel con
53
la connaissance de la misère, et par là même nous
fait
sentir combien nous sommes mesquins, sans exigences véritables et san
54
: Avant l’Aube comble cette attente, mais elle en
fait
naître une nouvelle. C’est, en effet, sous la forme d’un roman dont l
55
« genèse » à vrai dire passionnante, et qui nous
fait
pénétrer dans l’intimité d’une vie, aux sources mêmes de ses détermin
56
s bien le signe d’une absence d’hypocrisie tout à
fait
insolite, et qui dans certains cas, paraîtra presque scandaleuse à ma
57
e la fenêtre, ferma les yeux et somnola. Le train
faisait
un bruit épouvantable dans sa course. Il pensait que c’eût été bien a
58
noms de gares tels que Tenman, Tamazukuri, tout à
fait
dans le genre d’Osaka, écrits sur des lampes carrées. Entre les stati
59
iichi à la porte. Il lui reste la ressource de se
faire
instituteur. Il assiste un soir, par hasard, à une réunion d’évangéli
60
tout entier à la misère des bas-fonds de Kobé. Il
fait
siennes toutes les épreuves d’un peuple misérable, des pires brutes q
61
es prostituées qu’il soigne, des ivrognes qui lui
font
des scènes effroyables, et vont jusqu’à lui tirer dessus, — ce qui ne
62
me le Procureur. Au contraire, il en profita pour
faire
une étude psychologique, en observant sur le visage de celui-ci les e
63
qu’y imprimait la passion. Il lui semblait qu’il
faisait
une étude pratique de désordre mental dans une classe d’école, tant i
64
ustrait quand il le faut pour mieux vivre et n’en
fait
jamais une affaire. Homme terriblement vivant, tenté, et décrivant se
65
es motifs de ses actions journalières. Par là, il
fait
souvent penser aux grands Russes, à Tolstoï surtout. Et par tous les
66
onde. Et voici que, le 14 février, il se décida à
faire
profession de disciple du Christ. Page étrange, en vérité, et dont l
67
u voiler sa difficulté. Les rares allusions qu’il
fait
à sa vie spirituelle n’en sont que plus émouvantes : Un dimanche, su
68
’un Kagawa nous force à méditer chrétiennement le
fait
de la misère humaine, — cela ne saurait être sans fruits. 24. Ceux
69
ui veulent assimiler christianisme et capitalisme
feraient
bien de ne pas perdre de vue cet exemple. l. Rougemont Denis de, «
70
subtil les vaniteux verdicts d’une moralité toute
faite
. Je ne me récrie pas et ne compte nullement désigner l’auteur de l’Im
71
ue grandes. Car l’excès même de ces scrupules les
fait
tourner soudain, les fait cailler en coquetteries. Et voici que l’exp
72
me de ces scrupules les fait tourner soudain, les
fait
cailler en coquetteries. Et voici que l’explication de soi pareilleme
73
mais pour la rendre vraiment vivante, celui-là ne
fait
qu’usurper la forme du sacrifice ; et c’est en vain qu’il tenterait d
74
esquelles Gide répond à ses critiques sont tout à
fait
significatives à cet égard. L’on est d’abord séduit par la finesse et
75
dées, dont mon âme n’est que le théâtre, et où je
fais
fonction moins d’acteur que de spectateur, de témoin. » (p. 31.) Mais
76
utrement. » Gide, lui, se préoccupe sans cesse de
faire
entendre qu’il « pourrait autrement ». Que rien de ce qu’il écrit ne
77
’aille pas croire pourtant que désormais la vertu
fera
prime, les vices ayant épuisé leurs saveurs. La question n’est pas d’
78
s. La question n’est pas d’être vertueux, mais de
faire
la volonté de Dieu. Et ce que nous voulons ce ne sont pas des exemple
79
c’est lui qui me regarde et qui me perce, — et me
fait
honte d’oublier la grandeur. 25. Remarquons le tour qu’il adopte :
80
çaise. M. Thibaudet ajoute à ce propos : On m’a
fait
observer très justement, à l’époque, que j’oubliais Loti. Loti est un
81
arts protestante — et l’est restée (la révocation
fit
quitter, selon Vauban, les vaisseaux du roi à neuf-mille marins). Lot
82
la vieille souche maritime. Évidemment, cela n’en
fait
pas un Genevois, au contraire ! Mais n’oublions pas que toute l’œuvre
83
Mais n’oublions pas que toute l’œuvre de Loti est
faite
du morcellement et de l’adaptation d’un livre unique, son journal int
84
rise la critique de M. Albert Thibaudet, nous ont
fait
penser qu’il existe bel et bien un Loti vu de Genève, non pas sous la
85
hé le ciel ; les mêmes aspirations demeurent, qui
faisaient
tressaillir nos ancêtres, mais leur légitime objet a été enlevé ; les
86
ombrables de notre littérature. L’ouverture s’est
faite
, mais non du bon côté ; l’âme, que tourmente un suprême besoin d’épan
87
r 1932)q Nos gloires nous jugent C’est un
fait
digne d’intérêt, et que personne, croyons-nous, n’a relevé, que les g
88
ofonds). Un critique fort écouté29, à son propos,
fit
observer que les romanciers protestants montrent de préférence la fam
89
is en effet pour les témoins d’une confession, de
faire
le compte de leurs gloires ? Ne doivent-ils pas au contraire considér
90
on — où l’on n’eût voulu voir qu’une pudeur — lui
fait
éviter toute allusion chrétienne, au point qu’en tels endroits où la
91
ieux : cela n’a point empêché ces trois romans de
faire
figure, aux yeux de beaucoup, de livres « bien protestants ». Je sera
92
ffirmations souvent indignées de nos docteurs, un
fait
prit corps, irréfutable : dans l’esprit du Français moyen, « protesta
93
orce de conquête. Que nous le voulions ou non, en
fait
, sinon toujours en droit, l’héritage intellectuel du protestantisme d
94
pés de sa généralité, de son insistance… Et de ce
fait
qui paraît bien la confirmer : le dessèchement distingué de notre art
95
s la reconnaissance éperdue de notre incapacité à
faire
par nous-mêmes le bien, dans l’abandon aux mains de Dieu, — aux viole
96
ilement une équivoque réelle, mais plutôt pour en
faire
sentir l’acuité. Mais, dira-t-on d’emblée, le simple fait qu’une équi
97
tir l’acuité. Mais, dira-t-on d’emblée, le simple
fait
qu’une équivoque si grave subsiste et paraisse avoir été cultivée par
98
Curtius, rappelait récemment dans un article qui
fit
quelque bruit37 les débuts piétistes du jeune Goethe et la part activ
99
port à notre pensée naturelle. Dès lors, pourquoi
faire
intervenir dans notre vie une recherche qui risque surtout d’être nui
100
Heine. Elle est un mythe, au moyen duquel on peut
faire
de l’agitation et de la propagande antireligieuse ». En vérité, Goeth
101
religieuse de sa position. Ce qui, plus que tout,
fait
défaut à ce génie, c’est le sens tragique du péché. Car c’est bien da
102
d’une nature harmonieuse — et quand bien même il
fait
intervenir, à la fin, « l’amour d’En-Haut » venant à sa rencontre — G
103
s « L’esprit désintéressé est mort. » C’en est
fait
, les clercs ont trahi, et les cris de M. Benda sont couverts par la r
104
n — et la pratique — du service nécessaire que se
fait
l’unanimité de la nouvelle génération. Quels que soient par ailleurs
105
t Dandieu, sans aller jusqu’à prôner comme ils le
font
« la révolution nécessaire ». Certes, on ne saurait demander à un rec
106
es concrets ? À quoi sert cette philosophie ? Que
fait
-elle pour les hommes ? Que fait-elle contre eux ? Selon M. Nizan, la
107
philosophie ? Que fait-elle pour les hommes ? Que
fait
-elle contre eux ? Selon M. Nizan, la philosophie régnante est caract
108
hommes en dépit de sa promesse. » M. Brunschvicg
fait
un cours sur la technique du passage à l’absolu, parle de noumènes, d
109
té une importance qu’elle ne saurait avoir et lui
fait
par suite des reproches démesurés. Certes40. Mais dans la mesure, si
110
e inlassablement ce que les philosophes bourgeois
font
et comptent faire pour les hommes. Très bien. Nous le demandons aussi
111
ce que les philosophes bourgeois font et comptent
faire
pour les hommes. Très bien. Nous le demandons aussi. (Nous avons même
112
ensuite, et à notre tour, nous demanderons : que
fait
, que compte faire M. Nizan pour les hommes ? — Il compte leur apporte
113
tre tour, nous demanderons : que fait, que compte
faire
M. Nizan pour les hommes ? — Il compte leur apporter le marxisme. Or,
114
r « gagner du temps » ? Il semble que tout ce que
fait
l’humanité se retourne contre elle-même). Que doit lire un homme pres
115
par exemple, mais simplement parce que ces écrits
faisaient
penser. J’exagère à peine. La littérature de l’après-guerre, faite en
116
xagère à peine. La littérature de l’après-guerre,
faite
en grande partie par des hommes qui n’avaient pas eu le temps de se c
117
’un intérêt passionné pour la vie du monde. Et ce
fait
est nouveau dans l’Histoire. Jamais le document n’a été recherché ave
118
ur autant de publier des romans nouveaux, mais le
fait
est que le seul grand succès, dans cet ordre, est allé au livre de Cé
119
in du siècle, tout se simplifie aussitôt ; et si,
faisant
un pas de plus, nous posons la question de notre destin personnel en
120
e fois que nous venons dire : voici ce qu’il faut
faire
, nous répondent : Attention ! le problème est plus complexe ! Non, le
121
ut le mal dont nous souffrons. Il suffit, pour le
faire
apparaître, de poser cette simple question : comment un siècle peut-i
122
fatale, leur destinée. Autant dire que nous avons
fait
de toutes les réalités collectives des divinités nouvelles, des divin
123
ler, selon Trotski, s’explique entièrement par le
fait
qu’il était, à la fin de la guerre, caporal dans l’armée allemande. S
124
ce que dit Trotski, s’explique simplement par le
fait
que Trotski est un Juif. Voilà, n’est-ce pas, deux points de vue inco
125
envoyer dos à dos. L’un et l’autre tendent à nous
faire
croire que l’homme n’est rien, mais moins que rien, et que tout ce qu
126
n se fonder une loi historique ? Sur ce qui a été
fait
. Toute loi qu’on découvre dans la société humaine repose sur le princ
127
ivrogne qui s’arrête de boire, ne fût-ce que pour
faire
mentir le proverbe. Les lois générales, économiques ou sociales, sont
128
s : « Il paraît qu’il existe deux théories tout à
fait
opposées concernant l’origine du genre humain. Les uns prétendent que
129
x partisans de Marx et de Gobineau. Il est tout à
fait
vrai que les adeptes du marxisme et du racisme sont entièrement domin
130
os vies, je suis bien obligé de reconnaître qu’en
fait
, ils nous dominent. Ne fût-ce que par le moyen de la presse. On peut
131
dissiper un malentendu que cette description a pu
faire
naître dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le bon ton, dans ce
132
asse anonyme. Je crois que c’est là ce qu’il peut
faire
de mieux. L’individu, tel que le concevait le dernier siècle, l’homme
133
la solidarité entre les peuples est désormais un
fait
acquis, une réalité économique. Nous devons au progrès mécanique que
134
croire qu’ils ont la vie dure, et que le mieux à
faire
pour nous, c’est encore de compter avec eux. Mais compter avec eux, c
135
iquer sous leur implacable destin. Ceux qui l’ont
fait
et qui le font encore, je vois bien ce qui les poussait, je vois bien
136
implacable destin. Ceux qui l’ont fait et qui le
font
encore, je vois bien ce qui les poussait, je vois bien ce qu’il y ava
137
homme qu’il fallait refaire. Nous avons oublié ce
fait
très simple : que la société doit être composée d’hommes réels. Nous
138
es ces questions, c’est la réponse de l’Évangile.
Faites
toutes les sociétés que vous voudrez, bouleversez les institutions, o
139
nde par la contrainte ou dans la liberté, vous ne
ferez
pas une société si vous n’avez pas, avant tout, retrouvé le rapport p
140
e vérité que toute sa religion n’avait pas pu lui
faire
comprendre : le prochain, c’est celui qui exerce, en actes, la miséri
141
et acte, à chaque fois qu’il nous est donné de le
faire
, rétablit le rapport humain, fonde notre destin personnel, et fonde a
142
artout le cas. L’exemple de l’Allemagne peut nous
faire
réfléchir. Les philosophes y connaissent des succès dont rien, ici, n
143
, que leur autorité — sinon de droit, du moins de
fait
— dût s’exercer au bénéfice des auteurs réputés « difficiles ». Car l
144
naïveté ? Car il est évident que cette phrase, en
fait
, supprime toute philosophie. Ou bien le primum vivere se trouve être
145
n demandait à son retour en France ce qu’il avait
fait
en exil : « J’ai vécu, Monsieur, c’est bien assez ! ». Ou bien le pri
146
technique détourne des problèmes qui se posent en
fait
. Mais que faut-il penser de ces techniques d’abstention ? ⁂ Tel est l
147
cette lâcheté dont il est riche et qui, chez lui,
fait
antichambre, et attend à la porte, inévitablement, cette lâcheté se p
148
ardon des offenses (« car ils ne savent ce qu’ils
font
— nous seuls savons ce qu’ils font »). On parle aussi de l’« amour de
149
vent ce qu’ils font — nous seuls savons ce qu’ils
font
»). On parle aussi de l’« amour de ses ennemis » et l’on « sue à gros
150
ison à sa description du ressentiment — ce que je
fais
pour ma part sans réserve —, il reste à voir si les causes en sont bi
151
acifisme qui traduit bien plus la crainte de « se
faire
des ennemis » que la surnaturelle paix annoncée par le Christ à ceux
152
el est un de ceux dont nous devons attendre qu’il
fasse
passer de l’air dans la philosophie française ; un de ceux pour lesqu
153
n, et Montaigne l’en loue. Pour M. Marcel, on lui
ferait
plus volontiers dire que philosopher, c’est apprendre à ne pas se sui
154
s philosophes lui sont de peu de recours. Ils ont
fait
de l’être un problème qu’ils placent devant eux et qu’ils se mettent
155
le seul usage entièrement légitime qu’elle puisse
faire
de sa liberté consiste précisément à reconnaître qu’elle ne s’apparti
156
p. 297). Je sens bien qu’un aperçu si schématique
fait
tort au caractère concret de cette méditation. Si son mérite principa
157
i des références à l’actuel. La description qu’il
fait
de l’homme moderne réduit à un complexe de fonctions ; ses allusions
158
e assombrit toute sa vie ; il ne l’empêcha pas de
faire
fortune. Et c’est ainsi que Kierkegaard reçut en héritage de son père
159
re eut un immense succès ; mais à mesure qu’il se
fit
mieux comprendre, le public s’écarta, effrayé. Lorsqu’en 1854 il se m
160
n pas un « témoin de la vérité » ; c’est qu’il se
faisait
du christianisme une idée si pure et si absolue qu’il voyait claireme
161
n de cette crise que l’on dit sans précédent, que
fait
l’individu pour se défendre ? Et quels titres à l’existence vient-il
162
is sans y croire, ou du moins sans prouver par le
fait
qu’ils y croient. Il s’agirait alors de croire à quelque chose qui lé
163
mis. Supposez qu’un tel homme existe. Que va-t-on
faire
de lui, de ce héros, n’est-ce pas, des valeurs de l’esprit que justem
164
e pas, des valeurs de l’esprit que justement l’on
fait
profession de défendre ? La biographie de Kierkegaard va nous l’appre
165
On montrera sans trop de peine que ses idées sont
faites
pour rendre la vie impossible, puisqu’elles impliquent le martyre des
166
différence. Le savoir autonome, ou la puissance,
font
décorer celui qui les détient, mais l’exercice effectif du savoir peu
167
eul. Cette primauté de la foi sur les vérités qui
font
vivre, cette solitude première devant Dieu, est-ce bien cela que reve
168
Ils affirment trop tardivement que « l’argent ne
fait
pas le bonheur », et qu’il existe d’autres biens que nulle violence n
169
l’on voulait vraiment un champion de l’esprit, on
ferait
bien d’aller le prendre parmi ceux-là pour qui l’esprit n’a pas à se
170
re, mais bien à témoigner de son incarnation ; on
ferait
bien d’aller à ceux pour qui l’esprit n’est pas une espèce de confort
171
a plus absolue, la plus fondamentale qui lui soit
faite
, une figure littéralement gênante, un rappel presque insupportable à
172
nsable53. De cet homme, justement, que l’Histoire
fait
trembler et qui se réfugie dans les soucis publics comme on va voir u
173
étien », celui qui se réclame de l’esprit, ou qui
fait
profession de l’appeler. « Le Nouveau Testament ressemble à une satir
174
u’on nous prêche, est-ce possible ? 2) Puis-je le
faire
? Deux questions témoignent de l’absence de l’esprit : 1) Est-ce réel
175
st-ce réel ? 2) Mon voisin Christofersen l’a-t-il
fait
? l’a-t-il réellement fait ? »55 Nous posons toujours la dernière qu
176
Christofersen l’a-t-il fait ? l’a-t-il réellement
fait
? »55 Nous posons toujours la dernière question. Nous ne croyons pas
177
l apporte sa consolation, et sur ce texte on nous
fait
des sermons, à nous qui n’avons pas voulu souffrir ». « Dans l’église
178
aard. Ce n’est pas le rire d’un Molière : Molière
fait
rire la foule au dépens de l’extravagant. Mais Kierkegaard rit tout s
179
de sa peur de toute extravagance. « On peut leur
faire
faire ce qu’on veut, que ce soit le bien ou le mal, une seule conditi
180
peur de toute extravagance. « On peut leur faire
faire
ce qu’on veut, que ce soit le bien ou le mal, une seule condition leu
181
arence de la contradiction nous oblige à choisir,
fait
à la foi sa place, nous contraint à l’originalité. « Mais quoi, profe
182
ue personne peut-être ne saurait dire qui l’avait
fait
ou qui avait commencé, celles-là l’auraient eu, ce courage ! Ô menson
183
us lucides entrevoient le péril que ces doctrines
font
courir à l’homme, et j’entends, à l’homme tel qu’il est, dans l’ordre
184
er gage, les habitudes de l’esprit religieux leur
font
concevoir une Âme du Monde qu’ils se figurent (mais sans franchise, n
185
os désirs. Cette sorte de providence brute tout à
fait
inintelligible est le simple succédané de l’intelligible providence s
186
oderne est protestant », ajoute M. Benda, qui, en
fait
de protestants, ne connaît guère que Renouvier, son maître… 54. Jean
187
uvoir l’affirmer. Le roman le plus fort, le mieux
fait
, le plus impressionnant, celui qui apporte le plus de nouveauté, d’hu
188
assez suspect, les paye mais ne leur donne rien à
faire
; finalement, pour se débarrasser d’eux, il les fait tomber dans un p
189
e ; finalement, pour se débarrasser d’eux, il les
fait
tomber dans un piège grossier : un agent provocateur leur offre un en
190
uïes. Mais ils ne se retrouvent que pour aller se
faire
tuer ensemble devant Rio de Janeiro, au cours d’un combat acharné con
191
guerre encore plus cruel qu’auparavant, et qui en
faisait
un pays pauvre, abattu, désuni et impuissant… » Mais tandis que Bell,
192
n peuple ». ⁂ J’ai tenu à citer ces passages pour
faire
sentir à quelle hauteur se situe le drame de ce livre. Nous sommes bi
193
ens, y est engagé. À vrai dire, il est malaisé de
faire
la part, dans ce drame, de ce qui est national et de ce qui est plus
194
elle nation, de n’importe quelle communauté. Le «
fait
nation », dans les dernières phrases de Pillau, n’apparaît-il pas lié
195
lemand évoque bien d’autres questions. Edschmid a
fait
le tour du monde ; il a séjourné longtemps en Orient et en Amérique ;
196
spectacle de la vie politique en Amérique du Sud
fait
mesurer la déchéance d’une race qui n’a pas su se garder pure. Alors
197
les héros de Malraux n’ont pas toujours renoncé à
faire
de la littérature. On comprend bien que je n’oppose pas ici le nation
198
marxistes de Malraux (encore que l’un et l’autre
fassent
figure d’hérétiques dans leurs camps respectifs). Mais sur le plan de
199
e celle qu’adopta Nietzsche dans les écrits qu’il
fit
paraître. On ne saurait trop recommander la lecture de ce recueil aux
200
a, l’époque actuelle est, dans son esprit, tout à
fait
historique, elle témoigne par ce fait que l’humanité n’est plus courb
201
rit, tout à fait historique, elle témoigne par ce
fait
que l’humanité n’est plus courbée sous le joug, qu’elle est redevenue
202
sition » du moindre d’entre nous. Nietzsche croit
faire
un reproche terrible au christianisme en le traitant d’agent « non hi
203
orique de Karl Marx. En vertu de cet acte de foi,
fait
en révolte contre la vraie foi, ils se persuadent que l’humanité sera
204
nde sans l’acuité et la profondeur de l’intellect
fait
de la religion la chose la plus répugnante qui soit. Oui, je sais bi
205
du monde sans l’acuité et la profondeur de la foi
fait
de l’intelligence la chose la plus répugnante qui soit. » Il faut pe
206
ntradictoires : il attaque ici l’égoïsme, dont il
fait
par ailleurs l’apologie, mais sans jamais « déclarer ses valeurs », s
207
sme : l’opposition du péché et de la foi. « Je ne
fais
pas le bien que j’aime, mais je fais le mal que je hais. » C’est pour
208
foi. « Je ne fais pas le bien que j’aime, mais je
fais
le mal que je hais. » C’est pourquoi, lorsque Paul critique la vie de
209
c autorité, tandis que les critiques de Nietzsche
feront
toujours l’effet de criailleries. L’intensité de la vie prise comme
210
le sens contraire de celui qu’on imagine. Car, on
fait
pis que de l’ignorer et même que de le méconnaître : on prétend, sans
211
es, de contradictions. Est-ce avec cela que s’est
faite
la Réforme ? D’autres, moins exigeants, n’hésitent pas à soutenir que
212
e et sa Diatribe (souvent personnifiée) n’est, en
fait
, que le support apparent d’une réflexion de plus vaste envergure, d’u
213
tout catholique se doit, en bonne logique, de les
faire
siens puisqu’il croit au mérite des œuvres ; et tous les protestants
214
stants qui jugent encore que Calvin et Luther ont
fait
leur temps, — que dire de Paul bien plus ancien ! — tous ceux qui tie
215
hommes de bonne volonté », tous ceux-là sont, en
fait
, avec Érasme et son armée de grands docteurs de tous les siècles pour
216
me dirait le jargon d’aujourd’hui), tout est bien
fait
, dans ce Traité, pour heurter de front le lecteur incroyant, ou celui
217
ologique. (Un tel homme est bien trop vivant pour
faire
de la psychologie ; trop engagé dans le réel pour prendre au sérieux
218
science du spectateur.) Ce qui ne manquera pas de
faire
crier au dogmatisme. Tout se passe ici « à l’intérieur » du christian
219
notre effort ? Il ne sert plus de rien. Nous n’en
ferons
plus ! Nous refusons de jouer si, d’avance, le vainqueur a été désign
220
s-tu seulement les vraies règles du jeu ? Qui t’a
fait
croire que ta vie était une partie à jouer entre toi et le monde, par
221
de compte : car je sens, malgré tout, que je les
fais
librement, et tu viens me dire qu’elles sont prévues ! Et prévues par
222
tuer Dieu, comme Nietzsche a proclamé qu’il avait
fait
. L. — Mais l’homme est « chair », et cette chair est liée à l’espace
223
dispensé d’agir, et que ce n’est plus la peine de
faire
aucun effort. Si tout est décidé d’avance, il n’y a plus qu’à se lais
224
ole dans notre cœur. Quelle étrange illusion nous
ferait
croire qu’une décision de l’Éternel est une décision dans le passé !
225
e c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le
faire
. » (Phil. 2 : 12-13). C’est parce que Dieu fait tout que nous devons
226
faire. » (Phil. 2 : 12-13). C’est parce que Dieu
fait
tout que nous devons agir, selon qu’il nous l’a commandé. C’est parce
227
dû mourir — cet acte extrême — pour nous sauver,
fait
voir que nous n’avons aucune liberté, par nous-mêmes, dans notre péch
228
liberté possible que dans la grâce que Dieu nous
fait
. Toute l’argumentation de Luther vise le moment de la décision, et né
229
ieu avec nous ! 68. À la proposition qu’on lui
faisait
, en 1537, d’éditer ses œuvres complètes, le réformateur répondit : «
230
ins une sorte de conscience anxieuse de l’œuvre à
faire
, c’est ce que prouvent ses « encycliques » improvisées à la veille de
231
s, dans le plan politique, provient sans doute du
fait
qu’ils sont des compromis, des accords minima, obtenus non sans peine
232
de l’autre. Sans doute n’était-il pas possible de
faire
davantage à ce moment. En fait, on a examiné la situation mondiale et
233
l pas possible de faire davantage à ce moment. En
fait
, on a examiné la situation mondiale et l’on a tenté de l’améliorer, c
234
nfluencer le cours des événements. L’histoire est
faite
d’initiatives, non de retouches, de vœux et d’amendements. Et pour qu
235
tréfonds de sa foi créatrice. Les hommes qui ont
fait
l’histoire sont ceux qui avaient une vision passionnée de leur but et
236
ue, de la combinaison de deux erreurs, on ne peut
faire
sortir une vérité, mais seulement une erreur aggravée. De même l’orth
237
De même l’orthodoxie ne sera jamais retrouvée en
faisant
une somme d’hérésies. Du conflit politique et économique, résultent p
238
oncernant l’Église universelle, implicitée par le
fait
même qu’il existe un effort œcuménique. Nous supposons cette doctrine
239
, certaines ont ajouté, et peu à peu substitué en
fait
, un principe d’unité immanent, c’est-à-dire humainement contrôlable.
240
identelle d’un même organe, n’ont rien de mieux à
faire
qu’à fusionner le plus tôt possible. 2. Philosophie de la personne
241
onne par des exemples historiques susceptibles de
faire
image. L’individu est une invention grecque, et sa naissance signale
242
et à réfléchir « pour son compte », et qui, de ce
fait
même, se distingue et s’isole. Raisonner, c’est d’abord douter, et c’
243
t puissant. À bien des égards même, l’étatisme ne
fait
qu’achever le processus de dissolution commencé par l’individualisme
244
C’est avec la poussière des individus que l’État
fait
son ciment. Mais cet État centralisé, cette unité rigide et trop cont
245
agé et libéré, et ceci en vertu d’un seul et même
fait
: la vocation qu’il a reçue de l’Éternel. Cet homme d’un type nouveau
246
vec le groupe, on a la possibilité matérielle d’y
faire
entendre sa voix. Si cela ne suffit pas, on peut changer de groupe. L
247
est exclue par le régime totalitaire, qui prétend
faire
coïncider les frontières de l’État avec celles de toutes les activité
248
s triomphent, aucun problème ne sera résolu de ce
fait
. Tout le monde sent ou pressent d’ailleurs que les deux termes de cet
249
e ruines pulvérisées. Le rôle de Churchill est de
faire
la guerre. Mais il ne pourra pas la gagner réellement s’il ne propose
250
e et crée pour ceux qui croient la possibilité de
faire
ce qu’il demande. Dans l’état d’impuissance apparente où se voient au
251
us la Troisième République ? Comment expliquer ce
fait
? À défaut d’une étude nuancée, — dont je ne puis donner ici que le t
252
dans ce dernier pays, étant prédéterminée par le
fait
— d’ordre ecclésiastique — qu’il fut fondé par des seceders.) Et l’on
253
anisation du Conseil œcuménique se trouve être de
fait
la seule Internationale en formation. On sait assez que les Internati
254
relations des groupes nationaux non étatiques. Ce
fait
simple institue pour le mouvement œcuménique une possibilité historiq
255
uvoir disposer, mais de ce que Dieu voulait qu’il
fît
. C’est toujours une utopie apparente ; en réalité, ce n’est qu’une ré
256
a nostalgie fédéraliste. Des auteurs isolés l’ont
fait
entendre. Des groupes d’intellectuels ont tenté de formuler certaines
257
e ce soit en version capitaliste ou communiste ne
fait
aucune différence. Ils se trompent d’Europe, quand ils veulent l’imit
258
équivalents TNT ». Condamner l’Europe et ne rien
faire
pour sa fédération, c’est priver le tiers-monde des seuls moyens de s
259
age. Mais ce qui est sûr, c’est qu’en refusant de
faire
les régions et de se « faire » du même mouvement, l’Europe perdrait s
260
st qu’en refusant de faire les régions et de se «
faire
» du même mouvement, l’Europe perdrait ses dernières chances de paix,
261
ndre à ces questions, m’étant donné pour tâche de
faire
voir et sentir la nécessité des régions, en tant qu’elle me paraît li
262
nversation ou un colloque privé. Pourtant, ils ne
font
rien de visible dans ce sens, tout occupés qu’ils sont à se maintenir
263
draient aussitôt, et à coup sûr, le pouvoir de le
faire
peut-être un jour… Je n’en vois pas un seul qui ait risqué l’expérien
264
ite, ou même de la Jeunesse. Les hommes d’État ne
feront
rien, pour la raison que je viens de dire, et les politiciens moins e
265
t de nécessités vitales et ça ne vote pas. Qu’ont
fait
tous nos gouvernements, avertis par le club de Rome ? Et qu’ont fait
266
rnements, avertis par le club de Rome ? Et qu’ont
fait
les partis politiques ? Ils sont encore « nationaux » avant tout, don
267
indiquer à l’observateur objectif que rien ne se
fera
, ni ne convaincra, ni ne s’imposera au xxe siècle, en temps utile.
268
délai ; et la vision d’un avenir vivant, qui peut
faire
se lever d’autres forces. Rien de ce qui nous semble aujourd’hui défi
269
à celle-ci : qu’est-ce que le monde a désormais à
faire
sous le ciel ? Dans les partis, tout peut changer. Certains, disait
270
s partis grâce aux quelques centaines de voix qui
font
toute la différence. Déjà, un régime scandinave vient de se voir renv
271
lution régionaliste le levier politique qui avait
fait
défaut aux mouvements personnalistes des années 1930, puis aux fédéra
272
e sentir optimiste tant que je verrai que je puis
faire
quelque chose, quel qu’en soit d’ailleurs le succès ! Attitude qui n’
273
vous imposer ce que le bon sens jamais n’aura pu
faire
, et c’est la réalité elle-même qui va recourir à la pédagogie des cat
274
n générale éprouve le besoin de mesures propres à
faire
le bien. Saint-Just ajoutait : Ce qui produit le bien général est t
275
passé, des faits, c’est-à-dire du factum, du déjà
fait
. Toute pensée créatrice est du « wishful thinking », prend nos désirs
276
r, c’est anticiper notre avenir, mieux : c’est le
faire
. La décadence d’une société commence quand l’homme se demande : « Q
277
rriver ? » au lieu de se demander : « Que puis-je
faire
? » À ces deux questions, curieusement, il n’est qu’une seule répons
278
seuls en masse, il vous reste à vous convertir, à
faire
votre révolution, c’est le même mot. Je ne vais pas vous demander de
279
ses options de base : la puissance ou la liberté.
Faire
des régions et recréer ainsi des possibilités de communauté où la per