1 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
1 ois de la matière. Pris entre une anarchie et une fatalité également funestes, également démesurées, l’homme ne peut subsister q
2 te d’un nouvel humanisme sera de nous dégager des fatalités dont nous voyons l’empire s’étendre dans tous les domaines de notre e
3 tre volonté et de la grâce, ils échappent à cette fatalité qui est le signe du monde matériel. Je vois l’humanisme nouveau sous
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
4 ui permette de nous en libérer. Car au-dessus des fatalités humaines, ce qui compte chez les personnages de Baring, c’est la mani
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
5 r sur les hauteurs, mais une sombre et surhumaine fatalité (Byron), ou « la secrète force des choses » (Shelley), ou encore (Wor
4 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
6 ’amor fati, l’adhésion volontaire et joyeuse à la fatalité inéluctable. C’est dans cette volonté de reconnaître notre totale irr