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tient les choses de l’Esprit. Dans le cas le plus
favorable
, « il se passera bien de cette littérature ». Plus tard, « puisqu’ell
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s vont nous y contraindre. Que rien ne soit plus
favorable
à l’art que l’évangélisme dans sa pureté, héroïque ou sereine, il fau
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n de la pensée. Une telle évolution peut paraître
favorable
à la pensée chrétienne. La pensée protestante, en particulier, s’est
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nisme. — Il y a donc des mouvements, des signes
favorables
? — Des milliers de mouvements sont à l’œuvre. Au premier rang, ceux
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voies et ne les inventeront jamais. « Pas de vent
favorable
pour qui ne sait pas où il va », disait Sénèque. Mais pour celui qui