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anisation générale de la vie mondiale. Toutes les
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du temps y concourent obscurément ; et, pour peu que cela continue, p
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nisme de la machine, méconnaissance glorieuse des
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spirituelles, le tout agrémenté d’humour et exposé avec un simplisme
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si, détournant de l’essentiel une grande part des
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humaines, il travaille contre l’Esprit. Rien n’est gratuit. Nous payo
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, en l’acquérant, par l’effort de l’acquérir, les
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mêmes qui nous la firent désirer. 2° Accepter l’esprit, et ses condi
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aux yeux du monde ; la proie d’on ne sait quelles
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occultes sans doute dangereuses, puisqu’elles les rendent inutilisabl
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. Mais M. Nizan a trop de préjugés pour sentir la
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neuve perpétuellement de la vérité religieuse. Il parle des religions
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roit du roman où l’auteur intervient visiblement,
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les faits, agit comme un « moraliste » désireux de justifier une thès
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é. Personne, peut-être, n’a répété avec autant de
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que Baring le fameux, l’irrépressible argument du bonheur, fondement
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e et surhumaine fatalité (Byron), ou « la secrète
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des choses » (Shelley), ou encore (Wordsworth) « les types et les sym
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l’âme qu’elle révèle. Une âme qui sent tout avec
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et délicatesse, éprouve tous les penchants humains, s’y soustrait qua
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fermement dans sa sphère actuelle, enrichi par la
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de la mort. Tout était merveilleux, la mort, lui-même, la terre, les
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tout, le sens de la pauvreté ? Qu’un Kagawa nous
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à méditer chrétiennement le fait de la misère humaine, — cela ne saur
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ques… Pareille modestie est, d’ailleurs, signe de
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: les critiques auxquels il adressa les lettres reproduites dans ce r
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oti appartient à ce pays de Saintonge, qui, si la
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de l’unité française n’avait été irrésistible, avait ce qu’il fallait
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u sentiment, et, dans leur tumulte intérieur, les
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vives de l’être ont déchiré leur enveloppe, les âmes se sont ouvertes
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estants montrent de préférence la famille dans sa
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de conservation morale, alors que le catholique Mauriac s’attarde au
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ssaire, aujourd’hui, de confesser. Aussi bien, la
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qui nous est promise doit-elle nous rendre ce courage léger. Le mo
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rend inutile la grâce ? Il y va pourtant de notre
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de conquête. Que nous le voulions ou non, en fait, sinon toujours en
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e certains, déjà, disent banale, pour lui ôter sa
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, je le crains. ⁂ Le puritanisme, expression d’une doctrine héroïque,
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une puissance décuplée, excessive, et qui, par la
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des choses, tournerait bientôt en révolte, en insolence, en démence :
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réveil de la foi, ne peut manquer de libérer des
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créatrices. Or les temps vont nous y contraindre. Que rien ne soit p
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oit pouvoir fabriquer son bonheur par ses propres
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, notre devoir est net : nous avons à défendre et attester les valeurs
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e par un principe spirituel capable de rendre une
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offensive à cette personne humaine. Le choix des sujets abordés dans
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n rénovatrice, une joie au sein de la douleur, la
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de supporter des souffrances physiques, la force et la joie d’envisag
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force de supporter des souffrances physiques, la
force
et la joie d’envisager la mort comme une transfiguration tragique, la
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er la mort comme une transfiguration tragique, la
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et la joie d’envisager la vie comme un combat perpétuel dont l’enjeu
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cal constitue un progrès sur la libre-pensée : il
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au choix, à la prise de conscience. La révolution menaçante viendra
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journée a senti peser sur son œuvre la menace des
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terribles déchaînées dans le monde contemporain voit bien que la ques
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le garde chevillé au cœur le besoin d’obéir à des
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invisibles et de leur rendre un culte de latrie. Tous, nous servons c
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le. Sans eux, les partis politiques seraient sans
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, les luttes sociales perdraient beaucoup de leur violence. Sans eux,
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Et celui qui recourt à son moi révolté contre les
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d’anéantissement, s’appuie sur le néant et précipite sa propre ruine.
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ne, pour laquelle ils se sont battus, n’a plus la
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d’utiliser leurs énergies, leurs vocations humaines. L’un d’eux est a
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agique de l’Allemagne actuelle, que son destin la
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à n’envisager plus le sort de l’homme que sous l’aspect du sort de la
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toutefois, et sait enfin conférer à son choix la
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et la simplicité d’une constatation évidente. D’un point de vue purem
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s ? Ou n’es-tu pas toi-même agi par de puissantes
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sociales, historiques et économiques ? Toute ta science ne s’occupe-t
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ais ma dignité consiste à lutter contre de telles
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, une fois que je les ai reconnues ; à m’affirmer dans mon autonomie p
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artir du jour où il sera capable de répondre avec
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et autorité aux questions politiques de notre temps. Qu’il le pressen
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on, précisément, que Paul établit avec le plus de
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la légitimité des diversités. Ce qui me paraît d’une excellente métho
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e l’un ou de l’autre parti. L’examen objectif des
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en présence ne permet d’envisager pour l’Europe et le monde de demain
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tler abat les barrières, le passé. C’est toute sa
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, et sa victoire même l’épuiserait. Il n’y aurait plus qu’une table ra
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st jamais partie de la prudente considération des
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dont il croyait pouvoir disposer, mais de ce que Dieu voulait qu’il f
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dans ma prudence. L’action risquée m’apporte les
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dont je manquais. De toutes parts, un appel est ressenti : je le nomm
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valuez-vous les chances de votre projet ? Quelles
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peut-il mobiliser ? Qui est pour ? Qui sera contre ? Et qui va le pre
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sible et réel ; le refus de croire que l’état des
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cataloguées, tel que vous venez de le caractériser très justement, ne
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n avenir vivant, qui peut faire se lever d’autres
forces
. Rien de ce qui nous semble aujourd’hui définitivement installé dans
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réalisent. Désirer le meilleur en nous et par la
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du désir, le devenir, c’est anticiper notre avenir, mieux : c’est le
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ez-vous ! Le mot doit être ici reçu dans toute sa
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et dans la plénitude de son sens. (Qui n’est pas limité à « devenez c