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ndre et attester les valeurs doctrinales les plus
gênantes
pour ce monde sans Dieu. Or, ce sont justement les valeurs que le « c
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nu d’appeler « naïves », parce qu’elles sont trop
gênantes
. Le livre est mal composé. Ses phrases courtes se pressent en paragra
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tale qui lui soit faite, une figure littéralement
gênante
, un rappel presque insupportable à la présence dans ce temps de l’éte