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où le fracas des machines couvre déjà la plainte
humaine
. Il y a ceux qui pleurent le passé et ceux qui prophétisent, ceux qui
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peut subsister qu’en progressant. Mais la nature
humaine
a des limites. Et le temps approche où elles seront atteintes. On peu
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ournant de l’essentiel une grande part des forces
humaines
, il travaille contre l’Esprit. Rien n’est gratuit. Nous payons notre
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l, de nos jours, on tranche les grandes questions
humaines
est une des manifestations les plus frappantes de notre régression. C
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le d’en comprendre les correspondances divines et
humaines
, insensible même à sa déchéance, abandonné à la lutte tragique et abs
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conscience de ses besoins et de ses buts propres,
humains
et divins. Mauvais loisirs. Ford lui a donné une auto pour admirer la
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a perdu le sens religieux, cosmique, de l’effort
humain
. Il ne peut plus situer son effort individuel dans le monde, lui attr
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Deux menaces mortelles assiègent notre condition
humaine
: la liberté de l’esprit et les lois de la matière. Pris entre une an
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énérations cette notion d’un équilibre proprement
humain
. Ainsi passèrent quelques siècles ; ainsi passa le xixe . On le laiss
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tant et toujours plus de mal à prouver la liberté
humaine
? C’est que l’on s’est trop bien assimilé les tours de la pensée scie
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t. C’est qu’il y apporte un peu plus d’expérience
humaine
qu’on n’a coutume d’en attendre aujourd’hui d’un jeune écrivain. Son
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La Voie royale, mérite mieux que notre curiosité
humaine
, ou que notre admiration littéraire11. Le courage presque agressif q
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nographie en outre violations des lois divines et
humaines
, n’eussent vraisemblablement pas fait encourir à notre auteur pareil
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élé de bonnes raisons brutales, de bonnes raisons
humaines
, de nous intéresser à l’Asie : les grèves à Bombay, les révolutions e
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ion radicale des conditions matérielles de la vie
humaine
. Je crois que l’homme ne peut être transformé que spirituellement. Et
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on. » Triste carence d’un jugement qui se prétend
humain
! Pensez-y M. Nizan : quelle que soit la Tchéka régnante, il y aura t
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nstituer en dehors de Dieu sur des bases purement
humaines
». Aux yeux du « séculariste », bien entendu, la question religieuse
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graphique, expose un portrait frappant de réalité
humaine
. Mais l’œuvre maîtresse de l’exposition est sans doute la « Crucifixi
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car c’est à cette condition seulement que la vie
humaine
gardera sa signification. En somme, on pourrait résumer la pensée de
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peur du monde-termitière qui sauvera la condition
humaine
menacée par le matérialisme : c’est un idéal positif, immédiat parce
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aussi, il ne lui est pas inférieur par l’intérêt
humain
, et sa qualité d’émotion n’est pas moins pure. C’est l’histoire de la
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nstitue un milieu privilégié pour l’étude du cœur
humain
. Si le rôle de l’art est d’affiner nos âmes au contact de réalités pl
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ut-être, verront-là une condamnation des passions
humaines
, et comme la morale du roman. Mais nous ne croyons pas qu’une œuvre d
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lle est l’expression concrète d’une loi divine et
humaine
, et c’est ici que l’on peut voir sa profonde ressemblance avec les Af
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e de nous en libérer. Car au-dessus des fatalités
humaines
, ce qui compte chez les personnages de Baring, c’est la manière d’acc
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e en général (du fait précisément que les mobiles
humains
sont ici entièrement suffisants et rendent superflue l’action de la g
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acte suprême, à cette grâce. Aussi notre bonheur
humain
n’est-il en aucune mesure le signe de la vérité. Personne, peut-être,
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r d’immoralisme tout acte qui entraîne des ruines
humaines
. Mais la vérité, elle, est indifférente à ce que nous appelons bonheu
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misère est plus que je ne peux supporter. La vie
humaine
me paraît intolérable. — Elle l’est presque, mais pas tout à fait. Il
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. Ils ont tous étudié presque exclusivement l’âme
humaine
. La montagne qui repousse l’homme, la montagne farouche, effrayante,
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tels que Tenman, Tamazukuri, tout à fait dans le
genre
d’Osaka, écrits sur des lampes carrées. Entre les stations, des étend
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force et délicatesse, éprouve tous les penchants
humains
, s’y soustrait quand il le faut pour mieux vivre et n’en fait jamais
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rce à méditer chrétiennement le fait de la misère
humaine
, — cela ne saurait être sans fruits. 24. Ceux qui veulent assimiler
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dialectique indépendante. Si des sophismes de ce
genre
n’apparaissent pas plus souvent chez d’autres « moralistes » c’est qu
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t les aurait ainsi fouillées ? Je ne sais ; l’âme
humaine
, je pense, depuis qu’elle existe, n’a pas changé de nature, et, si el
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ne trouve aucune paix dans une intimité purement
humaine
: Et l’homme seul répond à l’homme épouvanté 27. Il nous manque une
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la grâce et son optimisme vis-à-vis de la nature
humaine
, qui, selon cette vue, serait bonne, ou du moins meilleure, si on la
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’en outrepassant les limites normales de l’esprit
humain
. La transcendance de Dieu est absolue, par rapport à notre pensée nat
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Goethe, prônant dans Faust le salut par l’effort
humain
au sein d’une nature harmonieuse — et quand bien même il fait interve
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ui selon lui tend à la suppression de la personne
humaine
. Sa critique nous paraît pertinente, mais elle serait plus efficace s
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le de rendre une force offensive à cette personne
humaine
. Le choix des sujets abordés dans son livre montre un esprit averti d
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raison » … « Il n’y a aucune raison d’écarter ce
genre
de questions. Il n’y a aucune raison de ne pas leur donner de réponse
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nsée purement conceptuelle et dépourvue d’intérêt
humain
concret. On lui dira que ce n’est pas si grave, que le monde n’est pl
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s profond que le sien à l’endroit des résultats «
humains
» de toute philosophie.) Mais ensuite, et à notre tour, nous demander
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M. Nizan si son appel à une philosophie vraiment
humaine
, dont les pensées concernent chaque homme dans chaque situation de sa
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s, je veux parler de la vogue récente des essais,
genre
assurément fort ancien, mais auquel notre époque vient de redonner un
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de F. Sieburg, donneront une idée assez juste du
genre
. Son succès en Allemagne remonte aux premières années de l’après-guer
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nt dans des fictions romanesques. Le roman est un
genre
bourgeois — et c’est peut-être par là qu’il plaît tant au peuple. Le
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tre dirigé, plutôt qu’ébloui. ⁂ Le roman était un
genre
bourgeois, en ce sens que dans le monde bourgeois, privé de risques e
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autour du problème de l’humanisme (Conversion à l’
humain
, de J. Guéhenno, enquête de Foi et Vie sur l’humanisme nouveau, ouv
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gences, qui sont la foi aveugle et les sacrifices
humains
. Ces dieux ont même leur théologie, scientifique, bien entendu, et do
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té fait. Toute loi qu’on découvre dans la société
humaine
repose sur le principe démissionnaire par excellence du déterminisme,
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uvant dans leur élan vers une nouvelle communauté
humaine
. Mais ils se sont cruellement trompés de porte en s’adressant aux myt
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uvé le rapport primitif, le rapport véritablement
humain
, celui qui unit l’homme à son prochain. Or, ce prochain, l’Évangile s
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l nous est donné de le faire, rétablit le rapport
humain
, fonde notre destin personnel, et fonde aussi la seule société possib
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ruelle pénétration dont témoigne un passage de ce
genre
. Mais si l’on donne raison à sa description du ressentiment — ce que
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par un idiot » (p. 261). C’est une histoire de ce
genre
qui caractérise malheureusement l’existence de l’homme moderne, empri
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n voie de triompher, et ce serait aux dépens de l’
humain
. Au sein de cette crise que l’on dit sans précédent, que fait l’indiv
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force d’utiliser leurs énergies, leurs vocations
humaines
. L’un d’eux est architecte, et il rêvait d’entreprises coloniales : m
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i est national et de ce qui est plus généralement
humain
. Destin allemand pourrait aussi s’appeler « La condition humaine ». E
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allemand pourrait aussi s’appeler « La condition
humaine
». Et plusieurs des paroles de Pillau, — les plus belles peut-être —
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urrait s’intituler tout aussi bien « La condition
humaine
». C’est qu’elle éveille, en dépit de ses intentions nationalistes —
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en soient choqués — le sentiment d’une fraternité
humaine
que le roman d’André Malraux, qui porte précisément ce titre, était l
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t romanesque, autant que sur le plan généralement
humain
, je suis contraint de reconnaître qu’Edschmid est le plus authentique
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i nous ramènent puissamment au sens de la réalité
humaine
, au sens de la dégradation humaine, au sens du péché concret de l’hom
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de la réalité humaine, au sens de la dégradation
humaine
, au sens du péché concret de l’homme. Et qui rendent à notre jugement
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e chose nécessaire ». Rien de grand, dans l’ordre
humain
, ne peut être vraiment dangereux pour un chrétien qui sait en qui il
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dieu : morale, devoir kantien, conscience, notion
humaine
de la justice, science, mystique de la vie, droit au bonheur, etc., l
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l a seul le droit de contredire nos notions, trop
humaines
et trop intéressées, de toutes ces choses. N’est-ce pas ce « Dieu mor
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lle d’un christianisme qui se met au service de l’
humain
(j’entends bien de l’humain purifié, « divinisé » par les efforts de
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e met au service de l’humain (j’entends bien de l’
humain
purifié, « divinisé » par les efforts de la religion s’ajoutant à ceu
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ue son volume matériel soit bien écrasant pour le
genre
. Mais on s’aperçoit, sans tarder, que la discussion avec Érasme et sa
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me ce Retour éternel paraît exclure toute liberté
humaine
, il se met à prêcher l’amor fati, l’adhésion volontaire et joyeuse à
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fermer par le haut pour mieux assurer sa cohésion
humaine
, devient à la fois isolée et génératrice de schismes. Son attitude es
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ion philosophique centrale qui fonde la communion
humaine
dans la liberté. Je l’appelle le personnalisme. Cherchons à illustrer
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la solitude ; d’autre part, il revêt une dignité
humaine
nouvelle, puisqu’il a été racheté, et qu’il a reçu la promesse de sa
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eux autres ne sont que des maladies. Dans le plan
humain
immanent, il n’y a pas d’équilibre possible entre l’anarchie et l’uni
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torique sans précédent, une lourde responsabilité
humaine
, et, n’hésitons pas à le dire, une vocation. 4. La renaissance liturg
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outien d’une catholicité réelle, d’une communauté
humaine
fondée dans la communion des saints. Cette communauté ne se révélera
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a croissance à tout prix des formules d’équilibre
humain
qui prennent en compte le bonheur, ou simplement l’aisance à vivre, p
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urplus de « petites cellules urbaines à l’échelle
humaine
», d’ampleur limitée à 50 000 habitants75 ; enfin des futurologues co
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sormais à prendre des mesures conservatoires de l’
Humain
, quelqu’un demanda : — « Pourquoi voulez-vous donc que ça dure ? » Qu
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voyons aujourd’hui certaines causes du péril où l’
humain
risque de s’anéantir, et nous disons : — ce serait trop bête ! Nous v
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ons, ni d’Europe, ni de paix, ni de futur, à vues
humaines
. J’ai voulu dire l’avenir inscrit en nous, — non certes dans nos chro
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ment n’adviendra pas dans le réseau des relations
humaines
, dans la cité, s’il ne s’est opéré d’abord en vous. Si vous voulez ch
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interrogé sur l’avenir par la voix de l’angoisse
humaine
dit seulement : Convertissez-vous ! Le mot doit être ici reçu dans to