1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
1 , et la figure centrale de Garine, anarchiste par goût de l’expérience, conférait à tout le livre un caractère assez directe
2 ts : « hostilité à l’égard des valeurs établies…, goût des actions des hommes lié à la conscience de leur vanité…, refus sur
3 d’esprits aventureux et atteints jusque dans leur goût de l’action par un intellectualisme anarchique. Je tiens au contraire
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
4 le propos de M. Nizan n’est pas de nous rendre le goût de ce qui, en Europe, « allongeait la solution », je ne puis m’empêch
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
5 Boulle, aux Gobelins, aux poteries de Palissy. Ce goût de la belle matière mise en valeur dans sa pureté, sa nudité, ce sens
6 il, ne dissocie jamais la recherche du beau et le goût intransigeant du vrai, c’est le trait le plus évidemment « protestant
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
7 entaux de la civilisation moderne. Décidément, le goût du colossal — transmis aux Américains — reste un trait marquant de l’
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
8 érée. Comment ne point partager, en le lisant, ce goût qu’avait le vieux Goethe pour les ouvrages documentaires, pleins d’an
9 leau franco-anglais, fournit un contraste de haut goût . Là, les montagnes se prêtaient successivement à des interprétations
10 rait encore en déceler l’équivalent. Peut-être le goût du sport trahit-il la nostalgie d’une vie qui comporterait des risque
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
11 Ces intéressantes remarques, où l’on retrouve le goût de l’analogie historico-littéraire qui caractérise la critique de M.
7 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
12 orts avec le peuple. Il discute M. Malraux et son goût désespéré de l’action pour elle-même. Il condamne le populisme de M.
8 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
13 niers temps. Et c’est là que gît l’explication du goût pour l’idéologie que manifeste le grand public allemand. Il est bien
14 un moyen de « passer une heure agréablement ». Le goût des idées, même et surtout dans des cercles littéraires raffinés, éta
15 éraires raffinés, était une sorte d’atteinte au «  goût  » tout court, c’est-à-dire à la mode. Il fallut la petite équipe des
16 rement intellectuelles la plupart du temps, et le goût des « romans qui posent des problèmes ». On appelait cela de la « lit
9 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
17 campagnes se vident ; les jeunes gens n’ont plus goût à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une m
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
18 éalité, pas un critique, mais un commentateur des goûts de son public. Bien loin d’avoir à cœur de signaler les œuvres qui ri
11 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
19 ue identiques. Chez l’un et l’autre, on trouve ce goût des situations extrêmes, où se dénude le fond secret d’un être, sa sa
12 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
20 ès grandiose d’assimiler Luther et M. Hitler, par goût de la rime sans doute. Pour l’opinion moyenne sur Luther, je crois qu
21 verdeur de polémique qui peut flatter en nous le goût du pittoresque ; l’élan génial, la violence loyale d’une certitude pe