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, et la figure centrale de Garine, anarchiste par
goût
de l’expérience, conférait à tout le livre un caractère assez directe
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ts : « hostilité à l’égard des valeurs établies…,
goût
des actions des hommes lié à la conscience de leur vanité…, refus sur
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d’esprits aventureux et atteints jusque dans leur
goût
de l’action par un intellectualisme anarchique. Je tiens au contraire
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le propos de M. Nizan n’est pas de nous rendre le
goût
de ce qui, en Europe, « allongeait la solution », je ne puis m’empêch
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Boulle, aux Gobelins, aux poteries de Palissy. Ce
goût
de la belle matière mise en valeur dans sa pureté, sa nudité, ce sens
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il, ne dissocie jamais la recherche du beau et le
goût
intransigeant du vrai, c’est le trait le plus évidemment « protestant
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entaux de la civilisation moderne. Décidément, le
goût
du colossal — transmis aux Américains — reste un trait marquant de l’
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érée. Comment ne point partager, en le lisant, ce
goût
qu’avait le vieux Goethe pour les ouvrages documentaires, pleins d’an
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leau franco-anglais, fournit un contraste de haut
goût
. Là, les montagnes se prêtaient successivement à des interprétations
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rait encore en déceler l’équivalent. Peut-être le
goût
du sport trahit-il la nostalgie d’une vie qui comporterait des risque
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Ces intéressantes remarques, où l’on retrouve le
goût
de l’analogie historico-littéraire qui caractérise la critique de M.
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orts avec le peuple. Il discute M. Malraux et son
goût
désespéré de l’action pour elle-même. Il condamne le populisme de M.
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niers temps. Et c’est là que gît l’explication du
goût
pour l’idéologie que manifeste le grand public allemand. Il est bien
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un moyen de « passer une heure agréablement ». Le
goût
des idées, même et surtout dans des cercles littéraires raffinés, éta
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éraires raffinés, était une sorte d’atteinte au «
goût
» tout court, c’est-à-dire à la mode. Il fallut la petite équipe des
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rement intellectuelles la plupart du temps, et le
goût
des « romans qui posent des problèmes ». On appelait cela de la « lit
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campagnes se vident ; les jeunes gens n’ont plus
goût
à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une m
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éalité, pas un critique, mais un commentateur des
goûts
de son public. Bien loin d’avoir à cœur de signaler les œuvres qui ri
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ue identiques. Chez l’un et l’autre, on trouve ce
goût
des situations extrêmes, où se dénude le fond secret d’un être, sa sa
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ès grandiose d’assimiler Luther et M. Hitler, par
goût
de la rime sans doute. Pour l’opinion moyenne sur Luther, je crois qu
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verdeur de polémique qui peut flatter en nous le
goût
du pittoresque ; l’élan génial, la violence loyale d’une certitude pe