1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 repose la société ? Sur les hommes et les moyens grâce auxquels on cultive, on fabrique, on transporte. » « Toute notre gloi
2 e des vérités invisibles, qui gardent, par quelle grâce  ? un peu de cette connaissance active de Dieu que nos savants nomment
2 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
3 ence. Mais, participant de notre volonté et de la grâce , ils échappent à cette fatalité qui est le signe du monde matériel.
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
4 imentales la réponse aux premiers troubles que la grâce jette dans son âme. D’autre part, tous les catholiques qu’elle rencon
5 nt suffisants et rendent superflue l’action de la grâce ). Mais quoi ? Nous laisserons-nous vraiment « tenter » par cette erre
6 elle ne peut survivre à cet acte suprême, à cette grâce . Aussi notre bonheur humain n’est-il en aucune mesure le signe de la
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
7 u dernier, priant continuellement pour obtenir la grâce de devenir capable de suivre Jésus. Une autre fois, à midi, il monta
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
8 tout précepte évangélique une fois détaché de la grâce se décompose avec virulence en sophismes, ou bien engendre des chimèr
6 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
9 u. Donc : refus ou ignorance des catégories de la grâce et du péché ; un certain ascétisme de la forme, mais jamais rien d’ex
10 ’esprit protestant », tout ce qui rend inutile la grâce  ? Il y va pourtant de notre force de conquête. Que nous le voulions o
11 ivine légèreté, c’est-à-dire, qu’elle récusait la grâce autant que le péché. La censure moraliste est avant tout peureuse. El
12 r là rien d’autre que sa méfiance vis-à-vis de la grâce et son optimisme vis-à-vis de la nature humaine, qui, selon cette vue
13 essimiste quant à l’homme, mais confiante dans la grâce , cède le champ aux idées de Rousseau, optimistes quant à l’homme et p
14 rs que ceux qu’elle peut imaginer en dehors de la grâce , c’est-à-dire la police des mœurs, l’éducation bourgeoise et ces blas
15 ndes, par le sentiment tragique du péché et de la grâce souveraine. C’est cela qui donne aux romans de Dostoïevski ou d’Émily
7 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
16 visible du péché entraîne la considération de la grâce . Et c’est en quoi la transcendance divine, sans cesse, se mêle à notr
8 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
17 it cependant choisir. Ou bien tu crois à la seule grâce de Dieu, dans l’abîme infini où tu te vois, ou bien tu crois aussi à
9 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
18 ant qu’on n’a pas envisagé la doctrine de la pure grâce jusque dans son sérieux dernier, on peut soutenir que l’homme possède
19 voir qu’il n’y a de liberté possible que dans la grâce que Dieu nous fait. Toute l’argumentation de Luther vise le moment de