1
repose la société ? Sur les hommes et les moyens
grâce
auxquels on cultive, on fabrique, on transporte. » « Toute notre gloi
2
e des vérités invisibles, qui gardent, par quelle
grâce
? un peu de cette connaissance active de Dieu que nos savants nomment
3
ence. Mais, participant de notre volonté et de la
grâce
, ils échappent à cette fatalité qui est le signe du monde matériel.
4
imentales la réponse aux premiers troubles que la
grâce
jette dans son âme. D’autre part, tous les catholiques qu’elle rencon
5
nt suffisants et rendent superflue l’action de la
grâce
). Mais quoi ? Nous laisserons-nous vraiment « tenter » par cette erre
6
elle ne peut survivre à cet acte suprême, à cette
grâce
. Aussi notre bonheur humain n’est-il en aucune mesure le signe de la
7
u dernier, priant continuellement pour obtenir la
grâce
de devenir capable de suivre Jésus. Une autre fois, à midi, il monta
8
tout précepte évangélique une fois détaché de la
grâce
se décompose avec virulence en sophismes, ou bien engendre des chimèr
9
u. Donc : refus ou ignorance des catégories de la
grâce
et du péché ; un certain ascétisme de la forme, mais jamais rien d’ex
10
’esprit protestant », tout ce qui rend inutile la
grâce
? Il y va pourtant de notre force de conquête. Que nous le voulions o
11
ivine légèreté, c’est-à-dire, qu’elle récusait la
grâce
autant que le péché. La censure moraliste est avant tout peureuse. El
12
r là rien d’autre que sa méfiance vis-à-vis de la
grâce
et son optimisme vis-à-vis de la nature humaine, qui, selon cette vue
13
essimiste quant à l’homme, mais confiante dans la
grâce
, cède le champ aux idées de Rousseau, optimistes quant à l’homme et p
14
rs que ceux qu’elle peut imaginer en dehors de la
grâce
, c’est-à-dire la police des mœurs, l’éducation bourgeoise et ces blas
15
ndes, par le sentiment tragique du péché et de la
grâce
souveraine. C’est cela qui donne aux romans de Dostoïevski ou d’Émily
16
visible du péché entraîne la considération de la
grâce
. Et c’est en quoi la transcendance divine, sans cesse, se mêle à notr
17
it cependant choisir. Ou bien tu crois à la seule
grâce
de Dieu, dans l’abîme infini où tu te vois, ou bien tu crois aussi à
18
ant qu’on n’a pas envisagé la doctrine de la pure
grâce
jusque dans son sérieux dernier, on peut soutenir que l’homme possède
19
voir qu’il n’y a de liberté possible que dans la
grâce
que Dieu nous fait. Toute l’argumentation de Luther vise le moment de