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cette machine de route, jusqu’au jour présent, ma
grande
et constante ambition a été de construire une bonne machine routière.
2
ts, et le charme un peu facile mais fort goûté du
grand
public, de l’humour américain, l’on comprendra sans peine la populari
3
à l’heure quel fut le but de la vie de Ford, sa «
grande
et constante ambition ». Il semble que toute sa carrière — pensée, mé
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a fort bien montré, dans un article intitulé « Le
grand
paradoxe du monde moderne »3, ce qu’il y a de profondément antihumain
5
et cent autres pareilles, composent, au total, la
grande
Liberté idéale et mettent de l’huile dans les rouages de la vie quoti
6
ui que M. Cambon, dans sa préface, égale aux plus
grands
esprits de tous les temps. On me dira que Ford a mieux à faire que de
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les peuples. Ainsi, détournant de l’essentiel une
grande
part des forces humaines, il travaille contre l’Esprit. Rien n’est gr
8
rrogant avec lequel, de nos jours, on tranche les
grandes
questions humaines est une des manifestations les plus frappantes de
9
ueur de la nécessité — puisqu’elle est inutile au
grand
dessein matérialiste de l’Occident. La logique, parlant par la bouche
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à Genève a révélé que les livres les plus lus du
grand
public sont Ma vie et mon œuvre, de Ford et Mon curé chez les riches,
11
s de langue allemande, son succès est encore plus
grand
, et de meilleure qualité. Je ne parle pas de l’Amérique. 2. Victor C
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a installer ses machines : elles avaient l’air de
grands
joujoux ; et l’on continua d’apprendre rosa : la rose, d’admirer le P
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é » et le « conforme » au vrai. Mais n’est-il pas
grand
temps de dépasser une réaction de vulgarité non moins artificielle qu
14
ure d’Aden est assez faite pour y contribuer : si
grande
est en effet l’horreur que M. Nizan éprouve à contempler « ce résidu
15
e divergence entre eux et nous — si le mal est si
grand
qu’ils le montrent — et il l’est — aucun bouleversement matériel n’y
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tes de venir dans notre cercle. Héritiers du plus
grand
affranchissement et de la plus héroïque résistance, nous voulons alle
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ndissaient autour des livres dont nous savions de
grands
morceaux avec notre cœur. On remuait un climat de poèmes, une spiritu
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», « architecture ». Et Dieu avait une place plus
grande
dans la joyeuse lumière de notre ciel simplifié. Et voilà, n’est-ce
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art protestant. Il eût fallu peut-être qu’un plus
grand
nombre d’artistes exposassent pour qu’une réponse valable pût être es
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de la peinture à sujet religieux qu’annonce cette
grande
composition : trois longues croix dans une lumière dramatique, le cor
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guré en symbole mystique sur le ciel vert du plus
grand
jour de l’Histoire. On a beaucoup remarqué la part importante ménagée
22
Au sujet d’un
grand
roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)h M. Mau
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l’antagonisme fait le fond de presque toutes les
grandes
œuvres romanesques : une individualité et un milieu social bien défin
24
ougemont Denis de, « [Compte rendu] Au sujet d’un
grand
roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring », Foi et Vie, Paris,
25
prochaine des œuvres principales de l’un des plus
grands
esprits du xixe siècle, du plus méconnu peut-être, en France tout au
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ractérise cette existence (Commerce, n° XII). Le
grand
événement de sa vie fut la mort de l’Évêque Mynster qui avait été trè
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tombe de l’évêque, le loua d’avoir été l’un des «
grands
détenteurs de la vérité, dont la longue chaîne part des apôtres ». Ma
28
Panthéon spirituel : Kierkegaard fut le dernier
grand
protestant. On ne peut le comparer qu’aux grands fondateurs du christ
29
r grand protestant. On ne peut le comparer qu’aux
grands
fondateurs du christianisme, à Luther, à Calvin. Tous les autres para
30
t-être d’autant plus intéressant qu’il émane d’un
grand
théologien. Il s’agit maintenant de nous révéler ce « héros de la foi
31
ait vivre d’imaginaires bons sauvages. Et pour la
grande
majorité de ceux qui, après lui, feront intervenir la montagne dans l
32
’ordre social. Mlle Engel constate que « les plus
grands
poètes français du xixe siècle ont échoué dans leur interprétation d
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glorifie l’Évangile, elle accuse formellement la
grande
majorité des chrétiens. Tant mieux si ce livre nous passionne. Il fau
34
chef du Jeune Japon, l’initiateur de réformes de
grande
envergure, commencées dans les bas-fonds de la ville de Kobé et peu à
35
nger dans la vie active et mettre à l’épreuve son
grand
idéal. Que pouvait-il y avoir de plus noble que de partager la vie qu
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journalières. Par là, il fait souvent penser aux
grands
Russes, à Tolstoï surtout. Et par tous les revirements intérieurs de
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doyer pour André Gide. J’avoue qu’il sait dans un
grand
nombre de cas me convaincre ; et que, dans la plupart des autres, il
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orte subtile de loyauté à des fins rien moins que
grandes
. Car l’excès même de ces scrupules les fait tourner soudain, les fait
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otre époque est prodigue, ne s’étalaient point au
grand
jour, il y avait pour elles une autre issue : la prière en portait l’
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t que personne, croyons-nous, n’a relevé, que les
grands
« succès » littéraires de l’année 1931 soient allés à trois romans d’
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ue ici le moralisme survivant, c’est au nom d’une
grande
espérance. Que devons-nous attendre ? Tout, d’un réveil dogmatique qu
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drait pour en douter que l’on ait oublié les plus
grands
noms : Milton, Bach, Rembrandt, les sœurs Brontë, Henrik Ibsen et ces
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vres modernes inspirées, comme le furent les plus
grandes
, par le sentiment tragique du péché et de la grâce souveraine. C’est
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œuvres nées sous le signe fatal du moralisme. La
grande
poésie naît du tragique et de la joie surabondante : verrons-nous que
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vent sous le règne du christianisme. Mais le plus
grand
Occidental fut-il chrétien ? Nous ne saurions, surtout dans Foi et V
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depuis un siècle, le revendiquent comme leur plus
grand
païen. Les fragments des Conversations avec Eckermann que nous donnon
47
circonstances dans lesquelles Goethe évoluait. Un
grand
critique allemand, Ernst Robert Curtius, rappelait récemment dans un
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es) ; nous n’avons pas besoin d’avoir beaucoup de
grands
hommes — ni même d’avoir quoi que ce soit —, mais seulement d’être, e
49
e qu’il veut dégonfler, c’est la philosophie avec
grand
P, la doctrine officielle de la Sorbonne, cette pensée fabriquée par
50
eoise de la vie, et payée — en la personne de ses
grands
maîtres — par l’État bourgeois. Les Chiens de garde 39, tel est le ti
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rite de poser simplement, brutalement, une de ces
grandes
questions que la pensée moderne a convenu d’appeler « naïves », parce
52
ique que ces ouvrages aient rencontré d’emblée le
grand
succès qu’ils méritaient. Les Allemands vivent « la crise » depuis 19
53
ication du goût pour l’idéologie que manifeste le
grand
public allemand. Il est bien naturel qu’une société qui jouit d’une r
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re. ⁂ En France, plus longtemps qu’ailleurs, le «
grand
public » considéra que la lecture d’un livre n’était qu’un moyen de «
55
e illusoire de la fantaisie, de l’héroïsme et des
grands
sentiments bouleversants. C’était ce qu’il y avait de plus subversif
56
? Des collections documentaires, des reportages à
grande
distance, les mémoires d’Alain Gerbault, les aventures d’Henri de Mon
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de notre temps. Et depuis lors, que de volumes à
grand
succès qui pourraient reprendre le titre fameux de Paul Valéry : Rega
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de Paul Valéry : Regards sur le monde actuel. Les
grandes
controverses modernes sont nées en France autour de la Trahison des c
59
s leur naissance les désirs à peine conscients du
grand
public. On n’a pas cessé pour autant de publier des romans nouveaux,
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des romans nouveaux, mais le fait est que le seul
grand
succès, dans cet ordre, est allé au livre de Céline, Voyage au bout d
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est sans doute le recueil d’Essais espagnols, du
grand
écrivain qu’est José Ortega y Gasset, l’un des fondateurs de la Répub
62
ion revient comme une véritable hantise, comme le
grand
lieu commun de la peur qui s’est emparée des hommes. On ne nous parle
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promène par les rues de nos villes européennes de
grands
panneaux-réclame qui parlent un langage clair. Jamais il ne fut plus
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tre les choix nécessaires. Désordre, oui, et plus
grand
que jamais. Désarroi ? Non. Les doctrines sont contradictoires ? Les
65
nous des professeurs d’abstention distinguée, des
grands
prêtres de l’Insoluble. Mais, un beau jour, les événements nous révei
66
polythéiste et superstitieux au dernier degré. La
grande
majorité de nos contemporains ne croit pas en Dieu et sait qu’elle n’
67
’un chapeau de paille avant la date fixée par les
grands
fournisseurs. On prétend que l’individu se perd de plus en plus dans
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er dans vos pensées les origines concrètes de ces
grands
faits qui bouleversent le monde. C’est à vous de déceler, par exemple
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en nous, qui est au fond de notre désespoir. Les
grandes
lois historiques et révolutionnaires peuvent bien nous servir de refu
70
un Karl Jaspers ont, dès longtemps, conquis le «
grand
public », celui-là même qui, chez nous, consacre ses loisirs à dévore
71
Mais l’insuccès notoire des philosophes auprès du
grand
public a des causes plus graves, qu’il faut attribuer autant aux phil
72
lles se présentent au sein d’un ensemble vécu. Le
grand
service rendu par la phénoménologie, c’est de nous avoir délivrés d’u
73
ons. Sa vie était très simple. Il travaillait une
grande
partie de la nuit. Il aimait se promener à l’aube. Puis il se remetta
74
la plus complète solitude qu’ait jamais connue un
grand
esprit. Un an plus tard, épuisé par la lutte, il tomba dans la rue. O
75
à Pascal. Lui-même ne s’est jamais comparé qu’aux
grands
modèles apostoliques : à saint Paul, à Luther, mais pour se condamner
76
hilosophie allemande contemporaine, avec ses deux
grands
maîtres, Heidegger et Jaspers, procède de sa philosophie de l’existen
77
emble de ses écrits : Kierkegaard fut le dernier
grand
protestant. On ne peut le comparer qu’aux grands fondateurs du christ
78
r grand protestant. On ne peut le comparer qu’aux
grands
fondateurs du christianisme, à Luther, à Calvin. Tous les autres para
79
onscience. Que disent les collectivistes ? Que le
grand
nombre est plus précieux que le petit : Que la vie de l’esprit n’est
80
lectiviste. Il soutient que le solitaire est plus
grand
que la foule anonyme, que la vie de l’esprit n’est possible que si l’
81
nouvelle mesure de l’esprit. Nous irons donc à ce
grand
solitaire, à ce témoin extrême et décisif dont la mort, comme un scea
82
la primauté de l’acte spirituel : Kierkegaard. Le
grand
mal de l’époque, et la terreur que commencent d’y semer nos faux dieu
83
des doctrines, reparaître les traits ironiques du
grand
visage de Kierkegaard, il me vient à l’esprit une image dont le burle
84
onde le paradoxe et le scandale du solitaire plus
grand
que tous. Il a voulu que tout s’explique, que tout s’implique, c’est-
85
doute, mais c’est le sort commun, tu ne cours pas
grand
risque. Si tu dis non, si tu agis, elle te tuera peut-être, quitte à
86
sprit ? Mais ne fallait-il pas qu’il ait connu de
grandes
aides pour oser nous montrer la vanité de toutes les nôtres ? Somnium
87
ie de le dire qu’on n’a pas annoncé sa parution à
grand
fracas, et qu’à ma connaissance, tout au moins, presque personne enco
88
vivante de « la seule chose nécessaire ». Rien de
grand
, dans l’ordre humain, ne peut être vraiment dangereux pour un chrétie
89
s y trouverez cette confession ahurissante : « Un
grand
savant, M. Langevin, expliqua un jour devant moi que nous avions derr
90
Les religions se consolident dans des périodes de
grands
troubles et d’insécurité. Lorsque tout cède, on se cramponne à l’illu
91
seul pape de Rome et pour les seuls conciles. Les
grands
mouvements fascistes ne se réclament-ils pas, eux aussi, d’un « spiri
92
logique… Ceci dit, il est juste d’insister sur la
grande
valeur des travaux de quelques spécialistes français qui, au niveau d
93
cident, c’est s’interdire de rien comprendre à la
grande
discussion millénaire, à la grande tension spirituelle dans laquelle
94
omprendre à la grande discussion millénaire, à la
grande
tension spirituelle dans laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créa
95
es » Mais il s’en faut de presque tout que les
grandes
thèses pauliniennes de la Réforme soient acceptées (ou simplement con
96
eux-là sont, en fait, avec Érasme et son armée de
grands
docteurs de tous les siècles pour soutenir le libre arbitre religieux
97
maîtrise, qu’on attendait d’ailleurs du chef d’un
grand
mouvement (comme dirait le jargon d’aujourd’hui), tout est bien fait,
98
e de voir le vrai tragique du débat. Mais le plus
grand
des adversaires du christianisme dans les temps modernes, Nietzsche,
99
nt essai n’a d’autre ambition que d’esquisser les
grandes
lignes de ce développement, et d’en indiquer les articulations. Que l
100
isolé, comme l’individu se trouve isolé dans une
grande
ville moderne ou dans un vaste État centralisé. D’autre part, on n’es
101
que de réaliser la vraie démocratie. Mais il a le
grand
avantage de réaliser en même temps ce qu’il y a de valable dans l’app
102
, cependant que Sully, leur chef, concevait son «
Grand
Dessein », c’est-à-dire le premier plan d’une Europe confédérée. Il
103
ons pas que l’on combat, de part et d’autre, sans
grand
espoir mais avec une pathétique sincérité.) ⁂ Le tableau que nous ven
104
és. Ils meurent encore de faim, mais en bien plus
grand
nombre — c’est un résultat du Progrès — cependant que l’on meurt chez
105
nt : sa structure leur dicte ses lois. Quant au «
grand
public » de la droite et aux « masses » de la gauche, catégories de n
106
ec vous ni les gouvernements ni les partis, ni la
grande
industrie ni le prolétariat, ni les masses ni même les élites à la mo
107
ôtre : ni le consensus des meilleurs, ni celui du
grand
nombre ; ni l’amour pieux ou gouailleur du peuple, ni le dévouement r
108
ligents quoique inconscients. Si elles sont assez
grandes
pour réveiller le monde, pas assez pour tout écraser, je les dirai pé
109
volution : Il faut attendre un mal général assez
grand
pour que l’opinion générale éprouve le besoin de mesures propres à fa
110
ence accrue d’un changement de cap, mais une plus
grande
lisibilité de l’évolution, qui peut faciliter ce changement. Les cata
111
êmes. Et c’est pourquoi la Sentinelle de Juda, le
grand
prophète, interrogé sur l’avenir par la voix de l’angoisse humaine di
112
eux. Pour les évangiles, la puissance est la plus
grande
des tentations que le diable dresse au désert devant Jésus. Toute la
113
précipite vers l’holocauste général avec une très
grande
et très profonde stupidité, qui amène des éthologistes à penser que s