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n de l’homme. Chez Perken comme chez Garine, même
héroïsme
dépourvu d’idéal, même ardeur épuisante à vivre contre la mort, même
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es. Nous souffrons d’une carence inquiétante de l’
héroïsme
. Dans la lutte pour la vie que nous impose le monde contemporain, c’e
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abileté qui triomphe, et non plus la « virtu ». L’
héroïsme
, au vieux sens du mot, ne trouve plus où s’exercer. Et ce n’est guère
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nspire d’un conformisme bourgeois plutôt que de l’
héroïsme
chrétien ? En particulier, sommes-nous toujours assez conscients des
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nui, — le royaume illusoire de la fantaisie, de l’
héroïsme
et des grands sentiments bouleversants. C’était ce qu’il y avait de p
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mme naturel, une poussée de ressentiment contre l’
héroïsme
chrétien ; à l’origine de l’amour de l’humanité, il y a, comme Fichte
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la douleur physique. Ses héros subissent, avec un
héroïsme
et une révolte plus émouvants d’être silencieux, des tortures dont le