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, bêtes et anges, — le voici devenu sourd à cette
harmonie
universelle, incapable d’en comprendre les correspondances divines et
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et singulièrement de la Grèce, le sentiment d’une
harmonie
nécessaire entre nos gestes et nos pensées, nos créations et notre co
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ations et notre connaissance ; le sentiment d’une
harmonie
à sauvegarder au sein de nos connaissances même, et dans l’allure de
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qui manque à l’homme moderne, c’est un principe d’
harmonie
qui lui garantisse le caractère « d’humanité » de ses démarches intel
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ses membres, et la vie d’un membre dépend de son
harmonie
avec les autres membres, assurée par l’appartenance à un même chef. N
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plus loin, et à plusieurs reprises, ce thème de l’
harmonie
organique opposé au thème de l’unité systématique. Notons qu’il n’ent
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libérale à base d’indifférence dogmatique. Car l’
harmonie
des membres n’est pas une tolérance, mais une nécessité vitale. Le po
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urs originales. Spinoza définit la paix comme « l’
harmonie
des âmes fortes ». Nous pourrions pareillement définir l’œcuménisme e