1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 , bêtes et anges, — le voici devenu sourd à cette harmonie universelle, incapable d’en comprendre les correspondances divines et
2 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
2 et singulièrement de la Grèce, le sentiment d’une harmonie nécessaire entre nos gestes et nos pensées, nos créations et notre co
3 ations et notre connaissance ; le sentiment d’une harmonie à sauvegarder au sein de nos connaissances même, et dans l’allure de
4 qui manque à l’homme moderne, c’est un principe d’ harmonie qui lui garantisse le caractère « d’humanité » de ses démarches intel
3 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
5 ses membres, et la vie d’un membre dépend de son harmonie avec les autres membres, assurée par l’appartenance à un même chef. N
6 plus loin, et à plusieurs reprises, ce thème de l’ harmonie organique opposé au thème de l’unité systématique. Notons qu’il n’ent
7 libérale à base d’indifférence dogmatique. Car l’ harmonie des membres n’est pas une tolérance, mais une nécessité vitale. Le po
8 urs originales. Spinoza définit la paix comme « l’ harmonie des âmes fortes ». Nous pourrions pareillement définir l’œcuménisme e